Lorsqu’il n’utilise pas des appareils technologiques, soit par choix soit parce qu’ils n’existent pas, le géobiologue utilise directement son ressenti ou un outil radiesthésique (pendule, baguettes) pour le décrypter.
En réalité, cela n’est pas réservé au géobiologue et tout un chacun est capable d’avoir des ressentis et de les décrypter.
Premier point : à l’instar du géobiologue, tout individu a des modifications physiologiques lors des modifications de son environnement. Cela peut-être très facilement identifiable (picotements, chaleur, sentiment d’angoisse, etc) ou plus difficilement (modification du rythme cardiaque, des glandes endocrines, etc).
Deuxième point : Plus de 95% des informations que reçoit notre cerveau restent au stade de l’inconscient. Moins de 5% parviennent à notre conscient. Cela veut dire que, même si nous ne sommes pas conscients de certaines choses, notre cerveau peut les avoir intégrées à notre insu.
Ainsi, si l’on prête attention aux réactions de notre corps et que l’on a appris à reconnaitre quels phénomènes sont reliés aux divers ressentis, nous sommes tous capables de décrypter notre environnement par le seul ressenti.
Mais nous pouvons aussi interroger notre subconscient, par l’intermédiaire d’un outil radiesthésique. Idéalement, cela est plus facile si l’on a été paramétré sur les différents phénomènes lors d’un stage, mais il est également possible de les puiser dans nos connaissances innées (inconscient collectif, connaissances transmises par nos ancêtres).
L’eau est ce qu’il y a de plus facile à ressentir
Car notre corps réagit énormément dans la mesure où il est lui-même composé de plus de 70 % d’eau
Exercez-vous en premier sur ce sujet : prêtez attention aux réactions de votre corps en présence de fortes quantités d’eau dans le sol (sur nappes phréatiques, sur des sédiments, sur des sols argileux) : picotements, chaleur, rétention d’eau avec aucune envie d’aller aux toilettes, etc.
Dans un premier temps, comme vous n’avez pas de référence, essayez juste de percevoir des différences entre 2 lieux : doigts qui gonflent, picotements, qui apparaissent sur un terrain et disparaissent sur un autre.
Les animaux intellectualisent moins le processus et l’utilise naturellement : lors d’un tremblement de terre, de nombreux et forts courants électriques circulent dans le sol. L’animal ressent ces modifications environnementales mais également celles de son corps, puis il sait les traduire… et fuir. Nous, nous restons sur place et pourtant nous avons été soumis à ces mêmes modifications physiologiques.