Difficile en ces temps de forte angoisse et d’incertitude, de ne pas plonger à corps perdu dans les plaisirs sucrés. Le caractère émotionnel du « doudou sucré », qui réconforte car il nous rappelle la douce époque de la tété maternelle, n’est plus à démontrer. Et quand rien ne va plus, il est facile de céder à la petite douceur qui remonte « un peu » (mais de façon très temporaire) le moral. Pour autant, ces excès de sucre vont avoir tendance à nourrir vos bactéries intestinales (nous en avons déjà parlé), tout en maltraitant votre pancréas et vos surrénales et risquer de vous plonger dans un cycle infernal et compulsif.
Mais savez-vous que votre organisme réagit de manière tout à fait différente en fonction de la forme de sucre ingéré ? Et nous ne parlons pas ici des sucrettes et autres édulcorants (de synthèse ou naturels) qui trompent le corps et ses mécanismes d’assimilation des sucres, et qui peuvent par là-même devenir « un remède pire que le mal ».
Nos corps vivent de sucres et d’oxygène
Vous le savez, nos corps ont besoin de carburant pour fonctionner (un peu comme nos voitures à essence). Parmi ces carburants, on trouve des acides aminés (protides), des acides gras (lipides) et surtout… des sucres (glucides).
Les sucres sont un facteur important de la santé : au niveau cellulaire, nos mitochondries (les centrales énergétiques de nos cellules) mélangent le glucose ou le fructose avec de l’oxygène pour obtenir une énergie cellulaire connue sous le nom d’ATP (adénosine triphosphate). Sans ATP, la cellule va s’affaiblir et risque d’être attaquée par des parasites ou des virus (ce que l’on préfère évidemment éviter par les temps qui courent !).
Le sucre et l’oxygène constituent donc les besoins essentiels et indispensables du corps humain. Et la carence de l’un ou de l’autre peut entraîner, à court terme, un grand stress physiologique.
Ce que vous ne savez en revanche peut-être pas, c’est qu’un glucide contient du carbone (C), de l’hydrogène (H) et de l’oxygène (O). Le sucre est un glucide qui flatte nos papilles en diffusant une saveur sucrée sous le palais. Sachez toutefois qu’il existe de multiples types de sucres qui ont des impacts différents sur l’organisme. On distingue principalement deux grandes classes : les sucres simples, très assimilables, mais qui peuvent épuiser votre pancréas et sécréter tellement d’insuline que vos cellules risquent de développer “une résistance à l’insuline” (première marche vers le diabète), et qui en excès sont stockés sous forme de graisse et les sucres complexes (les Poly ou Disaccharides) : l’amidon et les sucres complexes sont constitués de plusieurs liaisons glucose/fructose selon le type d’amidon ou de glucide. Ils nécessitent un plus grand effort de digestion que les sucres simples, et impliquent la présence de cortisol.
Le rôle clé des surrénales
Le cortisol est une hormone stéroïde produite par la glande surrénale qui favorise la néoglucogenèse (c’est la fabrication de sucre assimilable à partir de nos réserves). Il est libéré en réponse au stress et à l’hypoglycémie afin d’augmenter la glycémie (via la néoglucogénèse).
Or, le cortisol est également indispensable pour transformer les sucres complexes en sucres simples. Aussi, plus vous ingérez des sucres complexes, plus votre corps épuise ses précieuses réserves de cortisol. Mais si les glandes surrénales sont affaiblies (par un stress chronique par exemple) et que le taux de cortisol est bas (excès de sucres complexes), les problèmes risquent de commencer.
L’utilité des parasites
La nature est bien faite : elle utilise le règne parasitaire afin de nettoyer et d’éliminer ce qui n’est pas nécessaire, superflu ou endommagé. Ainsi, si vous consommez trop de sucres, et que votre corps ne parvient plus à l’assimiler, il va faire appel à ses éboueurs : les parasites, parmi lesquels le célèbre Candida Albicans.
Mais de quels sucres se nourrit celui qui fait tant parler de lui ? Le Dr Morse a comparé le temps de moisissure du pain, du fromage et d’un fruit. Et c’est ce dernier qui résiste le mieux à la moisissure, puisque le pain et le fromage sont déjà fermentés. Il sera donc le moins propice à nourrir un Candida, en dépit de sa saveur sucrée !
Point trop n’en faut
Ainsi abuser des sucres complexes (par exemple des produits à base de blé), risque de vous épuiser (besoin élevé de cortisol), et va entrainer la fabrication d’une quantité phénoménale de sucres simples. Cette surcharge va ensuite obliger votre corps à les stocker sous forme de graisse, et de faire appel aux parasites (comme les Candidas) afin de nous aider à nous débarrasser de tout le sucre inutile par fermentation, au prix d’une belle acidose tissulaire.
Le Z-flora pour soutenir votre intestin !
Alors pour faire face aux potentiels abus des apéros, tout en apaisant les quelques angoisses « intestinales », nous vous proposons de découvrir le Z-Flora. Ce complément alimentaire repose sur une formule innovante qui mêle prébiotiques (inuline), ferments lactiques (pour faciliter la fermentation du bol alimentaire) et probiotiques naturels revivifiables. Il facilite la digestion, contribue à un confort digestif, favorise un bon transit intestinal et aide à limiter les inconforts digestifs tels que les ballonnements grâce au Carvi noir.
Posologie : 1 gélule midi et soir au cours du repas, et jusqu’à 4 gélules en cas de constipation.
Belle découverte !