Home / Mémoire, se préparer à apprendre et à transmettre

Selon l’Ayurveda, une bonne mémoire est un signe de bonne santé. En effet, contrairement à l’Occident où l’on attend souvent l’apparition des symptômes d’une maladie neurodégénérative pour intervenir, en Inde, on considère qu’il faut protéger et entretenir cet organe tout au long de la vie. La mémoire est un « outil » qui sert non seulement à chacun pour vivre au quotidien, mais qui permet aussi de léguer, de transmettre les connaissances acquises. Avec l’Ayurveda, il n’est pas question d’oublier ce que contient la plus belle machine du monde : nous !

L’Ayurveda est une méthode de soins extrêmement ancienne. Elle trouve ses racines en Inde à une époque où l’écriture n’avait pas encore été révélée. Comme c’était le cas sur tous les continents, la transmission des savoirs se faisait donc à l’oral, de maître à disciple. La mémoire était « l’outil » indispensable de celui qui voulait apprendre !

 

Transmission de l’Ayurveda

L’élève qui suivait le praticien devait retenir une importante quantité de notions. En Ayurveda, les choses étaient peut-être plus compliquées que pour d’autres sciences, car celle-ci est une pratique holistique. Il y a donc une connaissance de l’Homme, mais aussi des plantes, de l’alimentation, des bonnes pratiques physiques et beaucoup d’autres éléments qui sont pris en compte. La somme de notions à acquérir était sans fin pour le disciple… À titre d’indication, la lecture du Rig Véda, l’un des quatre grands Védas, prend environ 8 heures… À l’époque où la transmission n’était qu’orale, tous les élèves étaient capables de le réciter !

On sait aujourd’hui que les thérapeutes ayurvédiques et les élèves s’appuyaient sur une plante pour augmenter leur capacité de mémorisation et être en mesure de retenir les fondamentaux de la pratique ayurvédique : le brahmi (ou bacopa monnieri). C’est à cette époque très ancienne que ce végétal a donc commencé à être consommé comme plante médicinale, et, jusqu’à aujourd’hui, les étudiants indiens en font des cures régulières pour être performants tout au long de l’année.

 

Recette ayurvédique
CONFITURE D’AMLA

Pour 1 pot :
250 g de baies d’amalaki
50 g d’eau
250 g de sucre
1 c. à c. de poudre de bilva (ou coing du Bengale, fruit du bael)

Dans une casserole à fond épais, mettez à fondre les baies d’amalaki préalablement lavées. Ajoutez 1 verre d’eau environ. Couvrez et laissez cuire à feu doux pendant 12 mn. Quand la chair des baies est tendre, ôtez les noyaux en ouvrant chaque fruit délicatement.
Hachez ou mixez (en fonction de vos goûts) la chair des baies.
Mélangez-la avec le sucre et l’eau. Laissez macérer 1/2 h environ. Ajoutez de l’eau si vous voulez une confiture peu épaisse. Allumez le feu sous la casserole et faites cuire pendant 15 mn à feu doux.
En fin de cuisson, ajoutez le bilva, mélangez et mettez en pot.

 

Les feuilles de brahmi contiennent en effet des principes actifs, les bacosides A et B, qui stimulent les facultés intellectuelles, spécialement la mémoire à court terme et l’attention. Outre cette action très recherchée pour l’apprentissage, le brahmi régule aussi l’humeur et le niveau d’anxiété. Il favorise ainsi la mémorisation en période de révision, harmonisant le terrain en cas de surmenage et s’opposant aux pertes de concentration dues à l’âge, à la fatigue ou au stress.

Lorsque, quelques siècles plus tard, l’écriture a été le moyen de transmettre encore plus vite et à un plus grand nombre toutes les connaissances de cette médecine, le praticien ayurvédique a gardé cette habitude de stimuler sa mémoire avec le brahmi, mais il a enrichi la pharmacopée par d’autres plantes.

La centella asiatica – ou gotu kola – a entre autres éte? remarquée pour son action complémentaire à celle du brahmi. Cette plante semi-aquatique appartient à la famille des hydrocotyles. Plante médicinale de l’Ayurveda, la centella asiatica est parfois utilisée comme anxiolytique, mais c’est surtout pour ses vertus sur le cerveau qu’elle est réputée. En effet, elle stimule la capacité de raisonnement et d’analyse pour une réflexion plus vive ! La centella asiatica renferme de l’huile essentielle à hauteur de 0,1 %, des phytostérols, des caroténoïdes, de la vitamine C, des flavonoïdes et un peu de tanins, entres autres substances actives dont elle regorge !

Plusieurs plantes antioxydantes sont également excellentes pour renforcer la mémorisation : l’amalaki ou le moringa, par exemple. L’association du brahmi et de la centella asiatica appuiera toutes les initiatives pour apprendre en phase d’examen ou de gros dossier à terminer dans une période stressante, mais ces plantes seront aussi efficaces au long cours, en cures régulières de 3 mois tout au long de la vie.

 

L’apprentissage en fonction des doshas

La notion de transmission occupe une place importante en Ayurveda ; mais, en fonction des doshas, chacun reçoit les informations avec plus ou moins de vivacité intellectuelle…

Une personne de constitution ayurvédique à dominante Vata peut avoir du mal à se concentrer et donc une mémoire un peu « paresseuse ». C’est notamment dû au naturel créatif, enthousiaste, libre et joyeux d’un Vata, qui passe rapidement d’un sujet à un autre !

Pitta étant plutôt vif, concentré et assoiffé de connaissances, il va saisir rapidement les informations et stocker principalement celles qu’il jugera utiles… Si cela ne l’intéresse pas, sa mémoire sera moins bonne pour tout ce qui concerne les dates d’anniversaire… Ne comptez pas non plus sur lui pour retenir la liste de courses !

Avec leur esprit stable, les individus à dominante Kapha garderont longtemps le souvenir de ce qu’ils ont appris, même s’ils mettent un peu de temps à le mémoriser. La petite particularité de Kapha est de ne pas forcément chercher à en apprendre davantage et à se contenter de ce qui est déjà acquis ; donc, s’il s’agit de votre dosha dominant, forcez-vous pour découvrir de nouvelles choses à retenir !

 

Nourrir la mémoire

La mémoire humaine s’enrichit avec le temps, au fil des expériences et des émotions ressenties, dans le plaisir d’échanger et d’apprendre, mais aussi dans le silence ou le sommeil. C’est un organe qui a besoin d’une « alimentation » bien spécifique et basée, parmi d’autres nutriments, sur les omega 3 et 6 contenus dans les huiles végétales et les poissons gras, ou sur des substances riches en minéraux, comme le shilajit (substance mi-végétale, mi-minérale), par exemple.

Par ailleurs, en plus de l’alimentation, des recherches réalisées en Occident ont démontré qu’un déficit de la mémoire est lié à une carence en vitamine D. Cette vitamine est donc désormais bien identifiée pour stimuler le niveau de neurotransmetteurs et les messages chimiques du cerveau. Elle est synthétisée par la peau grâce à l’exposition au soleil.

 

La mémoire, un « outil » prodigieux

La mémorisation d’une information fait appel à trois étapes successives : l’encodage, le stockage et la récupération. Pour bien mémoriser, il faut en effet d’abord « imprimer » l’information dans nos circuits, puis la « ranger » à sa place, pour ouvrir le « bon tiroir » quand nous aurons besoin de la récupérer.
1- La première étape d’enregistrement des données sollicite la mémoire à court terme (moins d’1 minute) et la mémoire de travail (environ 3 minutes) : cet apprentissage est très dépendant du contexte (plaisir, émotions, sensations), de nos capacités d’attention et de notre motivation.
2- La deuxième étape permet de graver plus ou moins durablement ce que nous avons encodé : ce stockage dépend beaucoup de la qualité de l’encodage, et donc de l’attention que nous avons portée
aux informations qui nous étaient présentées. Bien rangées, celles-ci seront plus facilement accessibles en cas de besoin, pendant plus de temps.
3- La troisième étape cherche à récupérer un souvenir pour le restituer à notre conscience : les indices ou repères liés à l’encodage peuvent nous aider à le retrouver. Dans quelle situation étais-je (lieu, entourage, contexte) et quel était mon ressenti ? Le trou de mémoire est comme un « tiroir bloqué », qui finit toujours par s’ouvrir, sauf en cas de maladie de la mémoire.

 

Vieillir est une chance

Les plus grands scientifiques cherchent le moyen de nous faire vivre au-delà de 100 ans ; pourtant, notre société occidentale a peur de la vieillesse… Or, laisser filer le temps est une chance quand on en profite pour acquérir sagesse et maturité et, surtout, transmettre son savoir. La « personne âgée » a souvent vécu de nombreux événements, des changements sociétaux, parfois des conflits ou des périodes heureuses, et elle en a tiré des enseignements qui serviront aux générations futures si celles-ci prennent le temps de l’écouter.

En effet, depuis l’invention de l’écriture, les méthodes de transmission ont bien évolué. Aujourd’hui, nous sommes à l’ère du presque tout-numérique, avec cette impression que la mémoire n’a plus sa place dans notre quotidien. Mais, à force d’utiliser tous nos appareils comme des disques durs externes et de ne plus rien retenir, saurions-nous cultiver un radis ou une pomme de terre sans tutoriel ? reconnaître si la mer est calme ou menaçante ? observer les nuages avant de partir en randonnée dans les montagnes ? Les anciens ont cette connaissance et c’est ce qu’il faut cultiver tout au long de sa vie.

 

Toujours apprendre

Notre manière de vivre conditionne notre vieillesse, mais pas seulement, il y a aussi la manière d’aborder le monde qui nous entoure. On le sait désormais : bien vieillir, c’est rester « enseignable ». Ce terme renvoie à deux significations :

– Avoir envie de continuer à apprendre. La curiosité se provoque et passe aussi par des relations sociales épanouies, qu’il s’agisse de la famille, d’amis ou de collègues de travail. En échangeant avec d’autres, la stimulation des neurones se fait naturellement. Le pire ennemi de la mémoire étant sans doute la fameuse phrase : « Ça ne me servira à rien d’apprendre ça » !

– Posséder la capacité physique de se concentrer et de mémoriser. Des aides telles que les plantes ou les nutriments pourront « alimenter » le cerveau autant qu’il en a besoin. Par ailleurs, il ne faut pas hésiter à être intransigeant-e avec sa mémoire. Ne vous dites pas que ce n’est pas grave si vous avez oublié le prénom de votre voisin, mais faites au contraire un effort pour le retrouver !

 

Vata : l’âge de la transmission

Selon l’Ayurveda, il existe trois temps majeurs dans notre vie et, parfois même, un quatrième. Chacun correspond à des schémas communs entre tous les individus.

La naissance, l’enfance et l’adolescence – jusqu’à 25 ans environ – sont des moments Kapha, le dosha terre et eau. Chacun prend racine dans l’existence et y pousse tranquillement. C’est le moment des bêtises, de l’innocence et de l’apprentissage. C’est à cet âge que nous sommes à la recherche de Kama, le plaisir, à travers le monde qui nous entoure. Cette période est appelée Brahmacharya (brahman : absolu et cârya : se mouvoir, en sanskrit), ce qui signifie l’apprentissage et la discipline. La mémoire et la concentration sont sollicitées en permanence pour acquérir les savoirs et les compétences qui conduiront à l’âge adulte.

L’âge adulte, justement, correspond à la période Pitta, le dosha feu et eau. C’est le temps de la vie familiale, de l’énergie, de l’activité sous toutes ses formes. Cette période nommée Grihastha (griha : maison) va de 25 à 50 ans environ. À ce moment-là, tout est mouvement, accélération et impulsion. En s’appuyant sur ce qui a été acquis dans la période Brahmacharya et en puisant dans le savoir des anciens, l’individu construit sa vie.

Vana-Prashta (vana signifie forêt, source, prashta qui est établi) est l’âge de la maturité et celui de la ménopause pour la femme, vers 50 ans. À cette étape, les enfants ont grandi, la réflexion devient plus philosophique et les souvenirs engrangés atteignent une certaine maturité. Vata domine ce temps de la plénitude. Il n’y a plus rien à prouver, mais tout à donner, à transmettre. C’est le temps de la réflexion, du savoir et de la transmission. Les grands-parents aident à élever les petits-enfants en donnant de leur temps et de leur savoir. Les relations sont apaisées, plus légères, entre autres grâce à l’influence de Vata, qui est air et espace. Il est fréquent que ceux qui entrent dans cette période de vie s’impliquent en politique ou dans des activités sociales, qui nécessitent leurs connaissances.

Il existe parfois une quatrième phase : la période Sanyasa. Elle peut être traduite par « renoncement », mais c’est, en réalité, une période de douceur, de lâcherprise et de confiance accordée aux plus jeunes à qui l’on a transmis le savoir. Sanyasa n’est pas une étape obligatoire et il est fréquent que les grands-parents restent dans la période Vana-Prashta pour aider leurs descendants, particulièrement à notre époque où l’espérance de vie en pleine santé augmente.

 

L’ÉNERGIE DANS L’ASSIETTE

Pour un esprit libre et prêt à assimiler de nouveaux apprentissages, l’Ayurveda attache une grande importance à l’alimentation.
Avant de manger, il faut se poser la question : est-ce que notre nourriture augmente notre processus mental ?
La viande, par exemple, porte en elle l’énergie de la mort et apporte une forme de brutalité et des émotions négatives. Après un repas composé de viande, l’esprit sera moins apte à recevoir des enseignements.
En période de stress ou de besoin accru de concentration, l’Ayurveda recommande des légumes frais, colorés et cuisinés avec des épices.

 

En conclusion

Il y a tellement à apprendre et à transmettre qu’il serait dommage de se priver de ces échanges entre les générations. L’Ayurveda accorde un profond respect aux enseignements des anciens et l’Occident réapprend à utiliser leurs savoirs, car transmettre est sans doute le meilleur moyen de préserver la mémoire. Une hygiène de vie saine, une alimentation équilibrée, une activité physique et de bonnes nuits de sommeil contribueront également à préserver notre « capacité de stockage », et ce à tous les âges de la vie !

 

Le saviez-vous ?

En Ayurveda, tout repose sur la transmission. Selon la légende, Brahma – Dieu créateur – a enseigné la science médicale à Dakhma Prajapati, le géniteur, qui l’a transmise aux Asvin, les médecins des dieux, qui l’ont à leur tour confiée à Indra, le roi des Dieux. Devant la survenue de maladies, les sages ont sollicité l’aide d’Indra et ont alors reçu la révélation lors de leurs méditations profondes (Samadhi). Ces sages se sont ensuite transmis la base de ce qui deviendra l’Ayurveda, de maîtres à disciples, jusqu’à ce que Charaka et Sushruta (400 à 200 ans avant notre ère) écrivent ce savoir dans les Védas, premiers textes « médicaux ».

 

Les écrits fondamentaux

La culture ancienne de l’Inde s’est développée il y a près de 5 000 ans sur les rives de l’Indus, au nord de ce souscontinent. Les premières traces écrites sont des poèmes qui retranscrivant les connaissances qui étaient auparavant seulement transmises de maîtres à disciples. Ces poèmes portent le nom de Védas et remontent au XVe siècle avant J.-C.

Bien après, au VIIIe avant J.-C., Punarvasu Atreya fonde la première école de médecine ayurvédique. Ses élèves et lui complètent des traités médicaux qui, un siècle plus tard, serviront de base à Charaka pour décrire des remèdes d’origine minérale, ainsi que 341 plantes dotées de propriétés thérapeutiques dans un ouvrage majeur appelé Charaka Samhita.

Une autre référence bibliographique est écrite à peu près à la même époque : le Susruta Samhita. Il constitue la base de la chirurgie moderne.

Ces deux écrits fondamentaux ont été élaborés à partir de la mémoire, puis de la transmission des praticiens de l’Ayurveda. On comprend ainsi à quel point les fonctions cognitives jouent un rôle essentiel dans cette méthode de soins.

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