Opinions
Notre plus beau cadeau pour Noël !
France Guillain
À l’heure où l’on s’apprête à explorer la planète Mercure, la grande majorité des humains a très peur du phénomène le plus naturel, le plus traditionnel, le plus inéluctable, le phénomène qui est regardé comme le plus menaçant dès avant même la naissance, je veux parler de la mort.
Mes nombreux voyages autour du monde m’ont appris que cette peur est proportionnelle à tout ce que nous pensons avoir à perdre avec la mort. Que bien souvent, plus l’on possède, plus vivre est aisé et facile matériellement, plus la mort fait peur.
Selon sa cause, la mort est regardée comme une injustice, une horreur, un échec. Dans le cas le plus favorable, un échec médical. Jamais comme un vrai choix.
Charles Aznavour n’est pas mort à 94 ans parce qu’il avait fini son magnifique voyage chantant sur Terre ! Non ! L’autopsie a montré qu’il était mort d’un oedème pulmonaire. Car on meurt toujours de maladie, n’est-ce pas ? Sachez-le, même le coeur qui s’arrête est une maladie ! Si on l’avait soigné à temps, il serait encore vivant. Alors que rien n’est plus naturel qu’un corps qui se déglingue brutalement quand on a décidé de mourir. Même si cette décision, qui, à mon sens, nous appartient, n’affleure pas toujours à notre conscience intellectuelle. Dans La plus belle histoire des animaux, collectif collection Points aux éditions du Seuil, Boris Cyrulnik nous explique que les cochons d’élevage, jeunes et sains, se fabriquent des cancers durant le transport qui les conduit à l’abattoir. Ils se déglinguent avant de mourir.
Pour mesurer ce regard de peur et d’horreur de la mort, il suffit de voir comment le suicide est souvent vécu comme une honte et avec une grande culpabilité par l’entourage. Il suffit aussi de voir les polémiques et discussions sans fin au sujet de l’euthanasie, du choix de mourir à son heure dans la dignité. Comme si nous n’avions pas le droit de nous débarrasser de ce corps, qui n’est qu’un véhicule, lorsque ce véhicule est devenu un lieu infernal de souffrances. De quel droit se permet-on de nous priver de cette liberté ?
Le vrai problème, à la base de toute cette misère autour de la mort, est que, malgré nos fusées, nos prouesses médicales et notre intelligence artificielle, nous ne savons toujours pas, ou nous avons totalement oublié le sens de la vie.
Alors que nous devrions célébrer la mort à l’égale de la naissance, comme la grande fête* du passage d’une vie à une autre vie, brève ou longue mais accomplie, nous en faisons un drame, nous essayons d’épargner aux enfants cette vision, nous les menaçons de la mort afin de les rendre prudents.
Toute peur engendre de la violence, envers soi-même comme envers les autres. Ne serait- il pas grand temps d’y réfléchir avec la même force d’intelligence que nous consacrons à aller explorer Mercure ? Manger bio, faire le Miam-Ô-Fruit, des bains dérivatifs, ne faire que 2 repas par jour, suivre bien des conseils de l’écolomag, tout cela augmente nos fonctions cognitives. Profitons-en pour diminuer la violence de ce monde en réfléchissant au sens de la vie !
Ce serait notre plus beau cadeau pour Noël !
* Il existe encore des lieux sur Terre où la mort est une grande fête où l’on chante et danse joyeusement ! Où, le dimanche, on pique-nique assis sur des tombes en jouant du ukulele !
France Guillain
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Le bain dérivatif ou D-Coolinway,
100 ans après Louis Kuhne
de France Guillain
Nouvelle édition revue et augmentée
La recherche se passionne depuis peu pour le fascia : ces 20 kilos de tissus conjonctifs étaient autrefois regardés avec dédain et destinés à la poubelle des étudiants en anatomie. Le docteur Still, fondateur de l’ostéopathie, disait que pour comprendre la maladie, il fallait d’abord comprendre le rôle du fascia. Aujourd’hui, la recherche internationale reprend cette formule comme s’il s’agissait d’une découverte étonnante. Le bain dérivatif – ou poche froide dans l’entrejambe – a pour objet essentiel de faire fonctionner le fascia. En supprimant l’état inflammatoire, il permet au fascia de vibrer. Ce faisant, il fait circuler les graisses brunes réparatrices et active 18 fonctions fondamentales au bon équilibre du corps. Ces graisses brunes sont visibles au PET Scan sous la forme de taches brunes dans les canaux lymphatiques du fascia. Voici donc une technique de remise en forme à la portée de tous, sans aucun danger, qui se pratique tous les jours, de la naissance jusqu’au bout de la vie, au plus grand bénéfice de tous. Accompagné de l’alimentation universelle et traditionnelle résumée en Miam-ô- Fruit et Miam-ô-5, largement décrits dans la Méthode France Guillain, alimentation définie depuis 2008 par Harvard à la suite de 22 000 études internationales, le bain dérivatif – ou poche froide – nous remet complètement en forme. La musculature se refait bien plus sûrement qu’en allant s’agiter sur un stade avec de mauvaises graisses.
Adieu allergies, douleurs diverses, adieu maigreur ou embonpoint, adieu constipation et boutons au visage, adieu allégement des muscles et des os soi-disant liés à l’âge ! Nous avons tous le moyen et les moyens de retrouver un bon fonctionnement général de notre corps et une silhouette des plus agréable ! Et cela ne coûte pratiquement rien.
Éditions du Rocher – 250 pages – 18 €
Mar 11, 14:29