Tissus W.-C. pour remplacer le papier toilette jetable

Amandine Zajakala a confectionné, il y a plusieurs années, des tissus W.-C. qui lui servent à remplacer le papier toilette jetable. Un jour, elle s’est dit 2 choses :
– j’en ai assez de mettre à l’un des endroits de mon corps les plus sensibles aux perturbateurs endocriniens, aux irritations et aux mycoses, et ce, 10 fois par jour, un truc dont je ne maîtrise ni la provenance, ni l’exacte composition (la cellulose blanchie au chlore, non merci !) ;
– j’en ai assez de consommer cet objet jetable, tellement indispensable que, si on n’en a plus, on doit courir en racheter ! Ce papier W.-C. toujours emballé pollue l’eau potable, nécessite d’utiliser du coton venant de loin et est très gourmand en eau, en engrais et en pesticides… De plus, il pèse bien lourd dans le budget familial… Bref : j’ai passé un cap et – une fois n’est pas coutume – toute ma famille avec ! Je nettoyais déjà les fesses de mes enfants avec des cotons lavables et, pour le change, je leur mettais des couches lavables ; alors je me suis dit que, dans le fond, je pouvais faire pareil pour moi. Et je me suis lancée !

 

 

Pour 100 ml
Très bon marché
Préparation : 5 mn par pièce
Difficulté : 1

Matériel :

  • Fil de coton
  • Ciseaux
  • Machine à coudre ou aiguille

Ce qu’il faut :

  • du tissu fin en coton (ancien drap, par exemple)
  • Du tissu éponge en coton (de type serviette de toilette ou peignoir)

Découpez des rectangles de 10 cm par 15 cm dans les deux types de tissu (drap et serviette éponge).
Placez 2 rectangles de chaque type endroit contre endroit.
Cousez le tour en vous arrêtant 2 cm avant la fin du tour complet.
Utilisez l’ouverture de 2 cm pour retourner votre travail.
Cousez, à 2 mm du bord, un point droit sur tout le tour de votre rectangle.

Bon à savoir : Si vous avez une machine à coudre qui le permet, surjetez tout le tour de vos 2 rectangles posés l’un sur l’autre envers contre envers.
Nous n’utilisons nos tissus W.-C. que pour les pipis et nous avons du papier toilette classique pour les selles ou pour les invités qui le souhaitent.
Comptez 50 tissus par personne vivant dans votre foyer afin d’avoir un roulement correct entre 2 lessives.
Pour stocker les tissus avant lavage, j’utilise une petite poubelle de toilette (avec un seau à l’intérieur). Cela peut attendre plusieurs jours avant que je fasse une machine appropriée (linge de maison, serviettes de bain, gants de toilette…). Cela ne sent strictement rien ! En pratique, je prends le seau intérieur de la poubelle et je le vide par le hublot du lave-linge sans toucher les tissus W.-C. J’ajoute 1 verre de percarbonate de soude dans le tambour et je mets le reste du linge de maison. Je lance un cycle à 40 °C ou à 60 °C, avec 1 verre de lessive à la cendre (recette en p. 78 du livre) dans le bac à lessive et 1 verre de vinaigre blanc dans celui de l’adoucissant.

 

Recette extraite du livre :

La voix veìrte, un podcast dédié au jardinage

La voix veìrte, un podcast dédié au jardinage, aux plantes et à la nature

Proposé par Veìr Magazine, un magazine papier, indépendant et trimestriel consacré au jardinage, aux plantes et à la nature

Constatant que le monde du podcast manquait de contenus de qualité voués à ce sujet, Veìr Magazine a récemment décidé de lancer La voix veìrte, un nouveau podcast ayant pour sujets le jardinage, les plantes et la nature. Il s’adresse aux débutants, aux urbains, aux experts et à tous ceux qui veulent mener une vie plus verte !

On y parle potager, plantes vertes, plantes sauvages, botanique, nature en ville…

Lancé en mai 2021 sur toutes les plateformes de podcasts, La voix veìrte propose un nouvel épisode d’environ 45 mn tous les 15 jours, où Julie et Laetitia discutent d’un sujet autour du jardinage et de la nature avec leurs invités.

Au programme :
– des discussions passionnantes avec des experts, sur de nombreux sujets liés aux thèmes abordés dans les numéros de Veìr Magazine ;
– des partages d’expérience ;
– et, à la fin de chaque épisode, l’incontournable mémo de Veìr Magazine, avec tous les conseils pratiques sur la thématique de l’épisode.

Découvrir le podcast :
https://veirmagazine.com/podcast
https://www.facebook.com/veirmagazine
https://www.instagram.com/veirmagazine

Petit lexique de géobiologie… Réalité des actions à distance

Aide à la conception d’un habitat biotique. Expertises / Formations / Livres

DÉFINITION. Si la géobiologie moderne utilise de plus en plus de techniques rationnelles (comme de nombreux appareils technologiques), il reste néanmoins des domaines encore controversés car sans base scientifique avérée. C’est notamment le cas pour les actions à distance.

En géobiologie, il s’agit des recherches et actions à distance sur plan, avant ou à la place des interventions sur site. Un exemple connu est celui de l’abbé Mermet, qui a obtenu des résultats spectaculaires dans la recherche des sources sur plan, sans se déplacer. Pas d’explication, mais seulement des constats puisque l’eau était ensuite effectivement trouvée à l’endroit indiqué à distance.

À noter que cela est aussi le cas dans d’autres domaines, comme le magnétisme sur photo (voire sans photo). Par exemple, l’action des barreurs de feu à distance n’a pas non plus trouvé d’explication, mais a été constatée, puis utilisée avec succès par certains hôpitaux en France.

Mais aucune explication ne fait consensus à ce jour. Cela a pour conséquence le fait que la réalité de ces actions sans lien apparent n’est souvent par reconnue, sinon par les pratiquants eux-mêmes, confortés par leurs propres expériences.

De grands espoirs de reconnaissance sont apparus avec le développement de la physique quantique, dont les règles sont totalement différentes de celles de la physique classique. Une notion importante de la physique quantique est l’intrication quantique. Elle se réfère à l’existence d’un lien inextricable entre deux particules dites « intriquées », quelle que soit la distance qui les sépare. Si l’état de l’une d’elles est modifié, celui de l’autre change instantanément, comme s’il s’agissait d’un seul et même système.

L’intrication donne donc lieu à des actions non locales et sans lien apparent. Nous pouvons alors penser que la physique quantique apportera bientôt des explications à tous ces phénomènes que la physique classique ne peut comprendre.

Philippe Bouchaud – GCB Conseils
www.geobiologie-pb.com
info@geobiologie-pb.com
06 15 21 18 74

Et si les matériaux biosourcés étaient la solution ?

par Yannick Etougué

La maison écologique est au cœur des réflexions pour de plus en plus de ménages en France, surtout quand il s’agit d’investir dans leur projet d’habitat tout en minimisant leur impact environnemental. Avec la hausse des prix du foncier et des matériaux, due à cette période économique instable, la construction ou la rénovation d’une maison traditionnelle n’est pas envisageable pour toutes les bourses. Dans ce cas, recourir à des matériaux bio- et géosourcés en réponse à la hausse des prix des matériaux de construction, est-ce une bonne solution ?

L’écoconstruction ou l’écorénovation en réponse aux enjeux budgétaires des foyers

Quand on analyse la complexité des matériaux modernes et leur cycle de vie, il est difficile d’imaginer qu’une maison constituée de béton et de matériaux issus de l’industrie pétrochimique puisse être moins chère qu’une maison en matériaux naturels, dont certains sont gratuits et se trouvent sous nos pieds ! Nous devrions pourtant être tous conscients que si le coût environnemental était pris en compte, les matériaux industriels deviendraient vite obsolètes.

On peut construire une maison avec des matériaux biosourcés locaux et un budget restreint. Une maison en bois, terre et paille peut être conçue à base de la terre du terrain sur lequel elle est implantée, la paille peut venir de l’excès de production de l’agriculteur voisin – en circuit court – et le bois peut être prélevé de façon raisonnée par un exploitant forestier de proximité. L’utilisation de ces matériaux engendrera une grande économie sur la construction, ainsi qu’à l’usage.

Mais alors, d’où vient le surcoût lié à l’emploi de matériaux biosourcés ? Essentiellement de la main-d’oeuvre. Alors que nos anciens faisaient eux-mêmes leurs maisons et s’appuyaient sur l’entraide à l’échelle de leur village pour réaliser leurs ouvrages, nous avons créé, avec l’ère industrielle, des matériaux standardisés, induisant une pose facile et rapide.

Une qualité et une performance à l’épreuve du temps

Cerise sur le gâteau et contrairement aux croyances établies, les matériaux biosourcés sont plus durables que les matériaux traditionnels et se prêtent parfaitement aux nouvelles normes environnementales du bâtiment. En effet, ils sont déjà utilisés depuis des années pour atteindre, entre autres, le très exigeant standard passif (PassivHaus, par exemple).

Pour avoir accès à la maison écologique à moindre coût, il faut se poser les bonnes questions et connaître les « bonnes personnes ». Aujourd’hui, de multiples solutions permettent aux porteurs de projets écologiques d’atteindre leur rêve.

La France est dynamique dans ce domaine et de nombreux acteurs du changement proposent des réponses pour concrétiser des projets adaptés à leurs futurs habitants, tout en étant vertueux pour l’environnement.

Sans être un expert du bâtiment, en se formant, en étant encadré par les bons professionnels, en profitant des matériaux locaux et en organisant des chantiers participatifs, l’habitat écologique de ses rêves dans un budget maîtrisé devient réalité. La formation en Design de Bâtiment Écologique dispensée par Solution ERA France, qui réunit les meilleurs experts du domaine pour la concrétisation de votre projet écologique, sera un bagage précieux dans votre démarche.

Une ambiance saine et naturelle, des matériaux performants et à l’épreuve du temps, la maison écologique devient une évidence.

Pour plus d’infos sur l’habitat écologique, retrouvez la série de vidéos gratuites de Solution ERA du 20 septembre au 7 octobre 2021 en écrivant à info@solutionera.fr
www.eco.solutionera.fr

Bénéficier des calories du soleil …

Un complément de chaleur, un système de ventilation par un apport d’air neuf, la ventilation d’un lieu humide sans coûts de fonctionnement, ni entretien, ni taxes… Une utopie ?

Le total des hausses « saupoudrées » du prix du gaz en 2021 atteint environ 20 %, 30 % des ménages français utilisant cette énergie… Vérifiez et profitez-en pour examiner l’augmentation du tarif de toutes les autres énergies depuis quelques années. Pourtant, la nature nous offre des moyens gratuits de produire différentes énergies, avec l’eau, le vent, le soleil, les marées, les déchets végétaux, etc.

Notre confort habituel nous évite bien des réflexions : l’électricité est au bout du doigt. ON, ça marche, et OFF, ça s’arrête ; le gaz est au bout du tuyau et même facile à trouver en bouteille ; idem pour l’eau ou le bois, transformé en granulés. Mais quand les factures s’accumulent, subitement, ce n’est effectivement plus Versailles ! Récupérer les calories du soleil avec un système alliant simplicité et efficacité, une mise en oeuvre facilitée est à la portée d’un bricoleur équipé, le tout à un prix raisonnable.

C’est ce que vous propose Solarventi avec ses capteurs solaires à air fabriqués depuis 1981, qui équipent des habitations principales, des résidences secondaires, des salles communales et bien d’autres lieux, à conforter à moindre coût. Environ 83 000 utilisateurs de capteurs solaires à air Solarventi dans 20 pays… L’intérêt est grandissant. À bientôt ?

Sylvain Bouhot – CAPT’AIR SOLAIRE
Importateur-distributeur SOLARVENTI depuis 2010
solarventifrance@captairsolaire.com
06 33 87 77 95 (Dijon)
www.captairsolaire.com

Adaptez vos techniques de jardinage pour préserver le climat

2 pratiques communes à éviter

Le réchauffement climatique est dû à la présence de gaz dans l’air et, notamment, de dioxyde de carbone, de méthane et de protoxyde d’azote. Ces gaz proviennent de diverses activités humaines, comme les industries, les gaz d’échappement ou encore l’agriculture intensive.

Pour diminuer votre impact écologique au jardin, voici 2 méthodes culturales, communes aux agriculteurs et aux jardiniers, à éviter :

– Le labour, une fausse bonne idée

Considéré pendant longtemps comme une étape incontournable avant la mise en culture d’une parcelle, le labour a des effets positifs et immédiats sur le rendement. Il permet, entre autres, le désherbage et l’enfouissement de la matière organique. Le retournement de la terre favorise l’aération et l’imbibition du sol (capacité du sol à se gorger d’eau), ainsi que la remontée de la fertilité.

Mais le labour a aussi des effets néfastes à long terme sur la fertilité de la terre, ainsi que sur le climat ! Le retournement de la terre a un impact sur les vers de terre et les micro-organismes du sol, qui se retrouvent dans des strates non adaptées à leur milieu de vie. Le sol nu est davantage sujet à l’érosion et retient moins bien les ions et les minéraux. L’aération du sol provoque une augmentation de la respiration et un appauvrissement rapide de matière organique, ce qui entraîne la hausse du taux de CO2 dans l’air.

Comment faire pour que le carbone reste dans le sol et ne soit pas libéré dans l’atmosphère ? En utilisant des outils tels que la gélinette, qui aère les sols compactés ou tassés sans trop les perturber.

– L’importance de maîtriser l’irrigation

Une des causes d’émission de gaz à effet de serre est l’irrigation par inondation des sols.

Dans un sol aéré, la matière organique respire et produit du CO2 ; dans un sol inondé (sans air), certaines bactéries respirent du CO2 et produisent du méthane. En parallèle, d’autres bactéries puisent les nitrates du sol et produisent du protoxyde d’azote (ce processus est appelé la dénitrification).

Plus il y a d’eau dans le sol, plus la dénitrification est importante. Les sols agricoles (et potagers) sont souvent très riches en engrais azotés et bien irrigués, ce qui favorise la formation de protoxyde d’azote.

Pour éviter cela, il faudrait arroser moins et plus souvent.

Source : www.jardiner-autrement.fr

Cabanots : 2 écolodges dans la Vallée d’Ossau

Pour s’offrir une immersion en totale harmonie avec la nature !

Marie et Rémy, deux amoureux de la nature qui vivent déjà en autonomie énergétique, proposent les Cabanots : deux écolodges en Vallée d’Ossau, en plein coeur de la nature. Un cadre idéal pour expérimenter des vacances en mode slow life, dans un écrin de verdure en aire d’adhésion du Parc national des Pyrénées et de la réserve naturelle La Falaise aux Vautours – une zone magique, à forts intérêts écologique, faunistique et floristique, parfaite pour se déconnecter et se ressourcer.

Au programme : écouter les oiseaux chanter, croiser un chevreuil, admirer un milan royal ou un vautour, dormir au son de la chouette, partir randonner sans prendre de véhicule, se prélasser durant une douce sieste, admirer les étoiles, prendre soin de soi, savourer un bain nordique ou un sauna au feu de bois…

Bref, partir le temps d’un week-end ou de plusieurs jours aux Cabanots, c’est vivre une expérience où chacun découvre un autre rapport au temps et se reconnecte à la nature, dans un havre de paix qui invite à la détente et au bien-être !

C’est aussi un projet d’échange et d’entraide avec des personnes qui croient en cette approche, qui souhaitent s’offrir un moment de bien-être et de reconnexion à soi, tout en découvrant des réflexes et des solutions pour vivre plus en adéquation avec l’environnement. Participer à l’aventure Cabanots permet ainsi de soutenir des producteurs, artisans et acteurs locaux.

Pour la petite histoire…

Portés par le besoin de vivre en symbiose avec la nature, Marie et Rémy se sont installés dans une bergerie à 900 m d’altitude, en zone d’estive, loin de la civilisation. Ils ont réussi à atteindre l’autonomie énergétique et travaillent la terre dans un grand potager en permaculture. Ils élèvent des poules en plein air pour les oeufs, ainsi que des canards coureurs indiens, des alliés du potager.

C’est pour montrer qu’un autre mode de vie est possible, en union avec la nature, qu’ils se sont notamment lancés dans la réhabilitation d’une cabane de berger (cabanot, en béarnais) en auto- et écoconstruction.

Ces chambres d’hôtes écologiques sont ainsi conçues exclusivement avec des matériaux green : pierres de la vallée, sable, chaux, chanvre, briques, charpente en rondin de sapin du bois près de chez eux et toiture d’ardoises naturelles plantées au clou.

Les techniques utilisées sont des techniques ancestrales d’écoconstruction du Béarn, ce qui contribue à perpétuer un précieux savoir-faire.

Pour avancer sereinement dans ce projet, Marie et Rémy sont soutenus et conseillés par des artisans et des professionnels de la construction.

Côté pratique…

– Les 2 chambres sont spacieuses (18 m2) et confortablement équipées : lit double avec vue sur la nature et les étoiles, un poêle à bois pour passer les soirées au coin du feu, un W.-C. et une salle de bains, ainsi qu’une terrasse privée avec feu de camp.

Capacité maximale d’accueil de 6 personnes sur le site : 2 personnes + 1 lit d’appoint par écolodge.

– Les repas sont traditionnels, faits maison et végétariens, avec des produits locaux et du potager. Tous sont concoctés sur place avec amour par Rémy, traiteur de métier, et Marie, qui a une grande expérience de la cuisine végétarienne. Ces repas sont à déguster dans votre nid ou en terrasse.

– Cabanots se situe à 45 minutes de Pau, à moins de 3 h de Bordeaux et de Toulouse, à 2 h de la côte basque et à 1 h 30 de l’Espagne.

Les premières nuitées, ainsi que les prestations associées (apéritifs, petits déjeuners, repas, balades, séances d’hypnose humaniste ou d’équilibrage énergétique…), sont déjà disponibles en prévente sur KissKissBankBank (déjà financé en fonds propres à 80 %, Cabanots propose ses nuitées en prévente pour financer les 30 000 € qui serviront à l’acquisition des matériaux manquants).

Pour en savoir plus : La campagne sur KissKissBankBank : https://www.kisskissbankbank.com/fr/projects/cabanots-ecolodges-en-vallee-d-ossau
Facebook : https://www.facebook.com/cabanots64ecolodges
Instagram : https://www.instagram.com/cabanots_ecolodges/

« Surtout n’hésitez pas à nous contacter au 06 70 63 44 77 si vous souhaitez en savoir plus ou tout simplement échanger sur notre projet. »

En route vers le Parc national des Écrins

Une terre de randonnée dans un espace naturel protégé

La rando vous attire ? Et si vous vous évadiez au coeur d’un territoire d’exception à l’univers minéral ? empruntiez des sentiers de montagne à pied, en rando à la journée, en itinérance ou en trail… ? D’autant plus lorsque celle-ci promet la découverte d’un espace naturel protégé, à savoir le Parc national des Écrins.

Tout au long de l’année, de nombreux randonneurs foulent les sentiers des 7 vallées du Parc, pour découvrir à leur façon et à leur rythme la diversité des richesses naturelles, culturelles, paysagères et climatiques du plus haut massif des Alpes du Sud. Pourquoi pas vous ?! Un petit bol d’air frais pour réveiller le corps et l’esprit…

Et qui dit randonnée dit parfois nuits en refuges ! Le Parc national des Écrins compte plus de 40 refuges, dont certains estampillés Esprit parc national.

Lieu privilégié d’échanges, de partage et de convivialité mêlant jeunes, anciens, familles, alpinistes, randonneurs, professionnels, amateurs… Passer une nuit en refuge est une occasion unique de vivre une expérience particulière en pleine montagne.

ZOOM SUR 2 D’ENTRE EUX

– Le refuge de Font Turbat
Altitude 2 169 m – Valbonnais (Isère)

Ce refuge est niché sur la moraine face à l’imposante face nord de l’Olan, l’une des plus grandes faces de granit des Alpes, au fond d’un vallon sauvage du Parc national des Écrins, dans le Valjouffrey. La marche d’approche est accessible à tous et traverse petits bois, alpages et moraines. Ici, 39 couchages répartis en 4 dortoirs de 6 à 15 couchettes, équipées de couettes et d’oreillers, attendent les randonneurs. Il est également possible de prendre une douche chaude. Et après l’effort, le réconfort ! Au menu, planches apéro, tartes, pique-nique, assiettes complètes… La réputation des délicieux plats cuisinés par la gardienne n’est plus à faire ! Ce refuge est le seul sur le tour du Pic de Valsenestre.

Tarifs et infos : https://refugefontturbat.ffcam.fr

– Le refuge de Vallonpierre
Altitude 2 262 m – Valgaudemar (Hautes-Alpes)

Situé au coeur du Parc national des Écrins, sur la commune de la Chapelle-en-Valgaudemar, Florence, Guillaume et leurs 3 enfants accueillent leurs convives dans ce petit coin de paradis. Ce refuge est à la fois un point final à une randonnée en famille, une étape du célèbre GR®54, du tour des refuges en Valgaudemar en trail et du tour du Vieux Chaillol, ainsi que lors de courses d’alpinisme au Sirac. Cette belle bâtisse en bois et en pierre a été rénovée en 2001, et se trouve au bord d’un petit lac où foisonnent têtards et grenouilles. Le petit déjeuner est le moment idéal pour observer les chamois gambadant dans la grande prairie proche du refuge !

Le + : Ces 2 refuges disposent de la marque Esprit parc national et se distinguent par leurs pratiques respectueuses de l’environnement et la valorisation de produits et services locaux.

Tarifs et infos : https://refugevallonpierre.ffcam.fr

Bouger en Drôme Provençale aux couleurs d’automne

L’équipe de l’association Prendre un temps pour soi vous propose une rentrée dynamique et riche de pratiques dans le cadre toujours renouvelé des jardins du Mas aux Trois Fontaines, à Nyons.

9, 10 et 11 octobre : Bien-Être, yoga et Jardinage. L‘harmonie du bien et du beau.

16, 17 et 18 octobre : Chant, Yoga, Instagram. Exprimer, vivre et communiquer avec les moyens du temps présent.

24 au 28 octobre : Dessin et Aquarelle. La nature pose pour vous. Elle a beaucoup à dire.

Nous serons heureux de partager avec vous ces moments de vie. Pour plus de renseignements, visitez notre site :
www.PrendreUnTempsPourSoi.com
ou appelez-nous au 06 18 71 57 38.

Ma Bulle Naturo : box nature et bien-être

Une toute nouvelle box dédiée à la nature et au bien-être

Fondée sur les principes fondamentaux de la naturopathie et présentée de façon ludique et originale, Ma Bulle Naturo est conçue autour d’une thématique santé nature qui varie à chaque fois, par exemple la vitalité pour Ma Bulle Naturo #01, l’immunité pour la box #06… Le thème se décline dans le contenu de la box, ainsi qu’à travers des explications et conseils dans un livret d’accompagnement rédigé par une naturopathe.

Ma Bulle Naturo se veut la plus écologique possible, respectueuse de l’environnement et de l’humain. Son but est de faire découvrir ou d’approfondir l’univers de la naturopathie, et de permettre à chacun de devenir acteur de sa propre santé.

Au fil des box, l’utilisateur peut tester de nouveaux aliments, connaître leurs bienfaits, leurs propriétés et expérimenter des recettes originales et simples pour les préparer. Il peut utiliser de nouveaux objets ou techniques liés au thème abordé pour améliorer son bien-être et sa santé, et pratiquer les mouvements présentés par un professionnel de la discipline.

L’idée de départ était d’allier la vision et l’exercice de la naturopathie de la créatrice, Maiwenn L’Hostis, à une sensibilisation « grand public ».

Beaucoup d’attention et d’enthousiasme sont portés dans le choix des fournisseurs par l’équipe. Elle déniche des aliments bio, originaux, venant de petits producteurs locaux, avec qui elle établit une relation directe de partenariat. Elle sélectionne des objets naturels, toujours en lien avec le thème abordé, avec souvent une composante Do It Yourself. Un autre pilier de la naturopathie et de la santé est abordé à travers la recommandation d’une pratique gestuelle, enrichie d’un tuto vidéo.

Tous ces éléments sont illustrés (par une recette, un mode d’emploi) et expliqués dans le livret d’accompagnement, élément essentiel de la box. Celui-ci débute par un dossier complet sur le thème abordé et son application au quotidien. Il se poursuit par la présentation et les commentaires concernant chaque aliment ou objet.

Pour limiter leur impact environnemental, l’équipe a évidemment choisi d’éviter le suremballage ; c’est pourquoi la box est conditionnée directement dans son emballage postal (recyclé et recyclable), afin d’éviter une autre boîte carton qui pourrait facilement finir à la poubelle… Elle travaille en circuit court avec de petits producteurs et des produits majoritairement non transformés et souvent introuvables dans le circuit commercial. Tous ces contenus sont enrichis sur le site par des vidéos, des recettes supplémentaires, des actualités… Ma Bulle Naturo est vendue à l’unité aux prix de 39 € à 65 € selon les modèles, frais de port inclus avec livraison par La Poste. Il est possible de l’acheter par packs, de 69 € à 129 €.

Le principe de la box thématique évite les contraintes de l’abonnement et permet à chacun de choisir en fonction de ses besoins, sans surconsommer.

Les commandes se font en ligne uniquement, soit sur le site www.mabullenaturo.com, soit sur le site de Nature & Découvertes, ou encore les places de marché PandaPlace, et prochainement l’Effet Pap’ et IYOO.

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