Quadra Terra : une solution clé en main pour un potager bio et autonome

Alexandre, Kevin et Xavier sont amis d’enfance. Tous les 3 agronomes, ils décident de développer leur propre solution de potager clé en main et autonome, pour répondre à une problématique de temps, parfois difficile à trouver pour les jeunes actifs, les parents débordés ou encore les seniors abonnés aux escapades à répétition.
Après plusieurs mois de tests, ils parviennent à lever un à un les freins habituels posés par la gestion d’un potager « classique », pour le rendre accessible au plus grand nombre.
Résultat : grâce à leur solution, plus besoin d’arrosage, ni de désherbage, les fruits et légumes poussent en totale autonomie et sans intrants chimiques.
Il ne faut compter que 10 minutes d’entretien par semaine, et il est même possible de partir 3 semaines en vacances sans avoir recours aux voisins. Cultiver son jardin pour manger sainement devient beaucoup plus simple. Ces potagers Quadra Terra mobilisent en effet les techniques les plus efficaces du maraîchage biologique. Grâce à l’utilisation d’équipements uniques, étudiés et conçus par l’entreprise, cultiver ses légumes devient un jeu d’enfant : barrière anti-limaces, pergola à tomates, système d’irrigation autonome, substrat de plantation ou encore gabarits de plantation sont autant d’outils imparables pour faire pousser ses fruits et légumes sans risque d’erreur. Et pour garantir des saveurs authentiques, Quadra Terra a fait le choix de plants bio et de variétés anciennes pour chacun des potagers commercialisés. En fonction de la surface, il est possible de cultiver jusqu’à 30 variétés différentes sur une parcelle.
De quoi régaler famille et amis durant plusieurs mois et éduquer les plus jeunes à une alimentation saine et à des saveurs authentiques, sans ajout de pesticides chimiques. À noter, en outre, qu’en optimisant la gestion des ressources en eau, la méthode Quadra Terra répond aux exigences environnementales les plus élevées.
Diagnostic : à partir de 69 €.
Renouvellement : à partir de 349 €.
Potager kit à faire soi-même : à partir de 350 €.
Potager clé en main : à partir de 999 €.
Rendez vous sur : https://quadra-terra.com
Créateur de séjours nature et sur mesure hors des sentiers battus
Idéal pour les voyageurs en manque de temps ou d’inspirations, On se met au vert apporte une solution clés en main pour partir en escapade l’esprit léger !
Selon vos envies, vos contraintes et votre budget, l’équipe de On se met au vert vous concoctera une offre sur mesure pour un tourisme vertueux et responsable, ouvert sur l’humain et le partage. Prônant le respect, la proximité, l’authenticité et la rencontre, On se met au vert privilégie en effet des acteurs du tourisme responsables et engagés pour vous faire découvrir des terroirs français et européens.
Toutes les offres s’articulent d’ailleurs autour du terroir et de la nature, dans l’idée que l’avenir passe par un tourisme durable, responsable, respectueux des hommes, des femmes, et de la nature.
Une expérience nature et gourmande au coeur des terroirs pour votre prochaine escapade responsable !
Quelques exemples d’offres :
- Découverte du milieu sauvage, cueillette et cuisine de plantes sauvages comestibles.
- Le vignoble à vélo : visite de caves, de vignes, pique-nique local et engagé.
- Les produits du bord de mer : pêche à pied, cueillette d’algues, cours de cuisine.
- Relâchez la pression : week-end 100 % bière.
- Cidre au fil de l’eau : rencontre d’un cidrier, visite d’un verger, dégustation de cidres, accord mets-cidre, déplacements en canoë.
À partir de 20 € par jour d’escapade
Plus d’infos : https://onsemetauvert-escapades.fr/
contact@osmav.fr – 07 64 21 26 83
Rencontre avec Jérôme Raingeard, éleveur engagé de volaille bio Le Picoreur depuis 2017
Fils d’aviculteur bio, Jérôme Raingeard est, depuis son enfance, très soucieux de l’environnement et du bienêtre animal. Passionné par son métier, sa vision est d’élever ses volailles en plein air dans des conditions de vie agréables, avec des soins appropriés, à partir d’une alimentation saine. Ainsi, c’est tout naturellement que Jérôme a commencé son partenariat avec Le Picoreur, qui partageait les mêmes convictions : offrir au consommateur une volaille biologique et de qualité. Rencontre avec Jérôme Raingeard : sa vision, ses valeurs, sa passion du métier et son partenariat.
Qu’est-ce que l’agriculture bio pour vous ?
L’agriculture bio est une pratique agricole qui permet de respecter au mieux l’environnement et son écosystème. Pour moi, elle recrée une biodiversité perdue par des pratiques trop intensives des générations antérieures. Depuis mon installation, je peux déjà constater des évolutions positives sur mon exploitation.
Pourquoi faites-vous de la volaille bio ?
Depuis mon enfance, j’ai toujours rêvé de devenir éleveur de volailles bio. Mon père travaille avec la marque Le Picoreur depuis plus de 20 ans et m’a transmis sa passion au fil des années. Pour moi, c’était comme une évidence de m’orienter vers cette production, qui est à mon sens la plus vertueuse sur l’environnement, le bien-être animal et la qualité des produits vendus aux consommateurs.
Depuis combien de temps travaillez-vous avec Le Picoreur ?
Cela fait maintenant 4 ans. À la suite de mes études, en 2017, j’ai eu l’opportunité de m’installer et j’ai choisi de rejoindre la marque Le Picoreur pour ses convictions en faveur de l’agriculture biologique.
En plus de vos élevages de volailles, vous avez également des cultures en bio.
Oui, car, pour élever des volailles de qualité, il faut qu’elles soient nourries avec des céréales saines. Dans la démarche de proposer le meilleur aux consommateurs, j’ai décidé de produire des cultures biologiques selon une agriculture de conservation des sols. C’est-àdire limiter au maximum le travail mécanique de la terre en utilisant des couverts végétaux et laisser les vers de terre travailler le sol à ma place. Ainsi, en développant la vie microbiologique de mon sol, je contribue à améliorer la qualité des céréales produites. C’est un cercle vertueux qui n’a que des avantages pour les consommateurs et la planète.
Les volailles Le Picoreur sont nourries avec des céréales et végétaux bio cultivés uniquement en France, est-ce important pour vous ?
Bien sûr, c’est un point essentiel. Personnellement, je consomme bio, local et français, donc je trouve cela logique que mes volailles soient nourries dans la même démarche. En travaillant localement, nous diminuons considérablement les émissions de gaz à effet de serre et améliorons le bilan carbone. De plus, en nous approvisionnant chez des agriculteurs français, nous sommes certains d’obtenir des céréales de qualité correspondant à nos critères.
Pour vous, quels sont les avantages de cette démarche sur vos cultures, et pour nos lecteurs ?
Le fait que la marque Le Picoreur se soit engagée à nourrir exclusivement ses volailles avec des céréales et végétaux bio cultivés en France nous permet d’avoir une sécurisation sur les ventes de nos cultures. Cette démarche nous a ouvert des portes vers de nouvelles cultures, telles que le lupin, le tournesol, le soja. Nous participons donc au développement de ces nouvelles cultures bio en France.
Et pour vos lecteurs qui achèteront un poulet Le Picoreur, c’est à la fois la garantie d’une meilleure traçabilité et celle de soutenir les agriculteurs bio français !
Plus d’infos sur https://www.bodinbio.fr
Au Japon, boire du thé est une pratique quotidienne : aux repas, on boit du Hojicha infusé à froid ; pour accompagner une pâtisserie, on déguste du Sencha et, au restaurant, le thé est servi gratuitement ! Il s’agit même là de l’un des secrets des scores de longévité en bonne santé des Japonais, auxquels s’intéresse la recherche médicale et scientifique depuis une trentaine d’années.
Mais saviez-vous que vous pouvez aussi cuisiner le thé japonais ? Feuilles de Sencha, poudre de thé vert Matcha, ils viennent sublimer votre repas !
Recettes proposées par Aromandise :
« Riz à la japonaise » au tofu et au Sencha Aromandise
Spaghettis au Gyokuro Aromandise et légumes de saison
Cookies au thé Matcha Aromandise et chocolat blanc
Matcha Bubble tea, recette végétalienne sans gluten
Des yaourts au lait de brebis bio du Pays Basque, une filière est née !
Si vous parcourez les routes sinueuses du Pays Basque, vous remarquerez, dans les prés, ces drôles de brebis à têtes noires, pourvues de belles cornes. Il s’agit d’une race spécifique au territoire : la Manech tête rousse ou tête noire. Une race rustique, adaptée au climat et au relief vallonné du pays.
Leur lait est principalement réservé à la fabrication du fromage Ossau-Iraty, spécialité de la région. Pour autant, des débouchés autres existent pour valoriser le lait de brebis bio du Pays Basque.
Baskalia, laiterie artisanale, installée à Espelette depuis 1998, fabrique yaourts et spécialités laitières (caillé, faisselle de brebis, etc.) régionales et biologiques sous la marque Douceurs Basques.
Chaque jour, 20 personnes s’attellent à transformer le lait de manière artisanale pour en faire de bons yaourts au lait entier de brebis. Un véritable savoir-faire !

Mais voilà, le volume de lait de brebis bio issu du Pays Basque est insuffisant pour couvrir les besoins en Ossau-Iraty et en yaourts. De plus, seulement 2 % de la production sont réalisés en agriculture biologique.
De ce fait, pour l’heure, la laiterie est contrainte de se fournir principalement en Aveyron, mais cherche localement des éleveurs de brebis bio.

Pour y parvenir, Baskalia s’est ainsi donné pour mission d’encourager les éleveurs à la conversion vers le bio, en leur apportant une aide à l’installation et à la valorisation de leur lait.
Le 9 juillet dernier, l’entreprise a convié différents acteurs du territoire pour construire la filière laitière ovine biologique du Pays Basque, et ainsi trouver des solutions visant à étendre la production de lait de brebis bio.

Les desserts Douceurs Basques sont élaborés suivant des méthodes traditionnelles afin de préserver toute l’intégrité du lait. Tous sont confectionnés à partir de lait entier, non standardisé, non homogénéisé ; signifiant que son goût et ses qualités nutritionnelles varient selon les saisons et l’alimentation de l’animal. Caillé, faisselle, yaourts brassés… il y en a pour tous les goûts.
Retrouvez l’ensemble des produits Douceurs Basques en magasin bio ou sur : www.douceursbasques.fr
Mon jeune enfant mange à la cantine : comment équilibrer son alimentation à la maison ?
Si certaines collectivités s’attachent à mieux répondre aux besoins nutritionnels des enfants de 3 à 6 ans en réduisant les quantités d’aliments, en proposant un repas à 4 composantes au lieu de 5, en introduisant des protéines végétales… force est de constater qu’encore trop de cantines servent des déjeuners déséquilibrés. Excès de protéines animales, de calcium, de fer, de sodium, de graisses saturées, déficit en fruits et légumes, potassium, vitamines C et D…
Quels sont les besoins nutritionnels réels des jeunes enfants et comment tenter de rétablir l’équilibre avec les repas pris à la maison ?
Des protéines, pourquoi, lesquelles et combien ?
Les protéines sont indispensables à la croissance des enfants car elles participent à la construction de l’organisme : elles apportent des acides aminés qui serviront à la synthèse des muscles, des os, des hormones. Dans les aliments, elles peuvent être d’origine animale (produits laitiers, viande, poissons, oeufs…) ou végétale (quinoa et céréales complètes, légumineuses, oléagineux). Nécessaires, oui, mais en respectant les quantités !
En effet, il est démontré aujourd’hui, par les chercheurs en nutrition, qu’un excès de protéines dans la petite enfance et dans l’enfance est associé à un risque plus élevé de surpoids et d’obésité à l’adolescence et plus tard, probablement par une activation de facteurs de croissance.
Trop de protéines à 4 ans = des kilos en trop à 7 ans ! Résultat d’une étude portugaise portant sur 2 000 enfants parue dans la revue International Journal of Obesity. Cette étude s’inscrit dans le cadre du projet Generation XXI (G21), qui suit la croissance et le développement d’une cohorte d’enfants nés au Portugal.
Besoins en protéines pour un déjeuner : 4,8 g (1/3 environ des besoins en protéines d’un enfant de 3 ans pesant 15 kg, soit 0,9 g de protéines par kilo de poids).
Il est fréquent que les restaurants scolaires fournissent un déjeuner qui couvre les besoins totaux de la journée. Cette position peut se justifier par la volonté d’assurer aux enfants, dont ils ignorent les habitudes alimentaires à la maison, leurs besoins quotidiens.
Par ailleurs, ce n’est pas le niveau d’apport en protéines qui pose en soi des problèmes, mais l’excès de protéines animales. Or, il arrive que l’on serve aux enfants 3 parts de protéines animales : sardines en entrée, poulet en plat principal et fromage ou yaourt en dessert !
Une solution à la maison ?
- Le soir, proposer un repas végétarien en pratiquant l’association bien connue des végétariens : des légumineuses (légumes secs), qui restent les meilleures sources de protéines végétales, et des céréales complètes.
Par exemple, des lentilles, très digestes et appréciées par la plupart des enfants, qui contiennent 25 g de protéines par 100 g, et du quinoa, pseudo-céréale riche en acides aminés, qui compte 14 g de protéines par 100 g.
De plus, ces deux aliments possèdent un index glycémique bas, renferment d’indispensables fibres et du potassium, nécessaire pour rééquilibrer le rapport sodium/potassium, souvent défavorable.
Quelle proportion de glucides et pourquoi à index glycémique bas ou modéré ?
Dans l’idéal, le déjeuner devrait dispenser 30 à 40 % des calories quotidiennes, c’est-à-dire environ 500 calories pour un enfant de 4 ans. Les glucides devraient contribuer à hauteur de 40 % de ces apports caloriques, soit 200 calories, et ce sont des glucides à index glycémique (IG) bas ou modéré qui doivent être privilégiés afin de diminuer l’impact sur le sucre sanguin. « La dose et la digestion rapide des amidons et des sucres dans nos aliments sont l’une des causes de l’épidémie actuelle d’obésité et de diabète », affirme Dariush Mozaffarian, professeur et chercheur à la Friedman School (université Tufts, Medford, Massachusetts).
Clairement, l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) recommande qu’un enfant (entre 2 et 18 ans) ne consomme pas plus de 100 calories chaque jour sous forme de « sucre libre », soit 25 g. Il faut entendre par sucre libre les glucides à IG élevé, dont font partie le pain blanc, les pizzas, les quiches, les pommes de terre (surtout sous forme de purée et de frites), les gâteaux…
Ainsi, servir dans le même repas des pommes de terre noisettes (IG élevé) et une tarte à l’abricot (IG élevé) ou une part de pizza en entrée et une assiette de purée présente un important impact général sur le sucre sanguin !
Une solution à la maison ?
- Proposer des crudités et des fruits en entrée et au dessert, des légumes cuits en accompagnement du plat protidique1.
- Associer des pâtes semi-complètes (souvent appréciées des enfants) avec une part de légumes (courgettes, tomates, olives…).
- Confectionner des purées de légumes colorées et goûteuses en utilisant des laits végétaux et/ou des oléagineux.
- Au petit-déjeuner, préférer des flocons d’avoine ou du pain complet associé à des fruits secs oléagineux (amandes et noix de toutes sortes) ou des purées 100 % oléagineux (purée d’amande, de noisette, de cacahuète…), un carré de chocolat noir, des baies (goji, myrtilles…) à des corn flakes, des céréales au blé et riz soufflés, du pain blanc avec de la confiture, des viennoiseries…
D’autant qu’en 2017, des journalistes scientifiques ont analysé les menus de 19 cantines dans différentes régions et ont noté qu’ils étaient tous en deçà des besoins en :
- vitamine C, fixés par la plupart des chercheurs en nutrition à 250 mg/jour, car les fruits sont souvent proposés en option et les légumes verts à feuilles (salades, épinards…), les meilleures sources, peu servis. De plus, les légumes sont souvent trop cuits ;
- potassium, minéral indispensable à la qualité des os, fixés à 4 000 mg/jour pour cette tranche d’âge. Un demi-avocat en apporte environ 650 mg, 100 g de chou cuit 520 mg et une banane environ 390 mg : 3 aliments faciles à glisser dans le menu !
Quelles sources de lipides et quelle quantité ?
Les recommandations des autorités sanitaires françaises vont de 30 à 35 % de calories sous la forme de graisses. Mais, comme pour les protéines et les glucides, la qualité des corps gras est plus importante que leur quantité.
La répartition conseillée est actuellement de :
- graisses saturées : 10 % (beurre, laitages et viandes),
- graisses monoinsaturées : 14 à 20 % (huile d’olive, de colza, avocat, noisettes, noix de macadamia),
- graisses polyinsaturées : 5 à 6 % (oméga 6 contenus dans les huiles de tournesol, maïs, pépins de raisin, les graisses des animaux alimentés aux céréales et oméga 3 des poissons gras et des huiles de colza, de noix, de lin, de chanvre, de cameline et des oeufs de poules nourries aux graines de lin).
Ainsi, un même repas avec du pâté de campagne, du steak haché et un petit suisse serait trop riche en graisses saturées !
Une solution à la maison ?
- Proposer systématiquement des crudités en entrée, assaisonnées avec un mélange d’huile d’olive et de colza à parts égales, ratio oméga 9/oméga 6/ oméga 3 le plus favorable pour l’organisme. Éviter – ou, tout au moins, limiter fortement – la fréquence des charcuterie, quiches, feuilletés au fromage, tartes salées au jambon, farces à la viande…
- Bannir totalement les produits frits ou pré-frits (panés, frites, rissolés, beignets) dans de mauvaises graisses saturées hydrogénées (type margarine).
- Ajouter des noisettes dans les crudités de l’entrée, les salades de fruits du dessert, le petit-déjeuner et en collation au goûter.
- Éviter de servir des légumes en béchamel (lait + beurre) ou confectionner une béchamel végétale.
- Introduire 2 fois par semaine des poissons gras pour leur précieux apport en oméga 3 (les enfants aiment souvent les sardines, la truite, le thon… en boîte !).
D’autant que, pour couvrir les besoins en vitamine D par l’alimentation en hiver, il faut manger chaque semaine au moins 2 à 3 portions de poisson, mais pas n’importe lesquels. Par exemple, 100 g de saumon cuit à la vapeur fournissent 500 UI2. La même quantité de sardines ou de thon en boîte 300 UI. Il est bon de savoir, par ailleurs, que l’Académie nationale de médecine a affirmé, dès 2012, que les besoins quotidiens en vitamine D devaient être réévalués à 1 000 UI/jour (la quantité varie selon l’âge des enfants).
1- Le plat protidique végétarien est un plat sans viande ni poisson qui contient d’autres sources de protéines : végétales et/ou animales (oeuf, produit laitier).
2- UI : unité internationale, équivalant environ à 2/3 d’1 milligramme (mg).
Recettes proposées par Christine Calvet :
Salade de légumes lactofermentés, lentilles et truite fumée
Crumble de légumes au quinoa et noisettes
Salade de fruits automnale, recette végétalienne
Dix petites et moyennes entreprises (PME) inspirantes, diverses et puissantes d’Europe et d’Asie centrale figurent parmi les 50 lauréats du concours
“Bonne alimentation pour tous” des Nations Unies : Good Food for All.
Dix PME d’Europe et d’Asie centrale ont été annoncées le 27 Juillet dans le contingent des 50 meilleures petites entreprises du concours “Good Food for All”, organisé en marge du Sommet des Nations Unies sur les systèmes alimentaires.
Sélectionnés parmi près de 2 000 candidatures provenant de 135 pays, les 50 lauréats présentent tous des solutions inspirantes, diverses et efficaces pour améliorer l’accès à une alimentation saine et durable.
“Les petites entreprises sont les héros cachés de nos systèmes alimentaires, gérant au moins la moitié de nos économies alimentaires et maintenant la nourriture dans nos assiettes tout au long de la pandémie de COVID-19“, a déclaré le Dr Agnes Kalibata, envoyée spéciale du Secrétaire général des Nations unies pour le Sommet des systèmes alimentaires 2021. “Nous devons comprendre les défis auxquels ils sont confrontés et travailler ensemble pour garantir qu’ils restent au cœur des efforts visant à améliorer l’avenir de l’alimentation.“
Chaque lauréat a été sélectionné pour la façon dont son entreprise contribue à une alimentation plus saine, plus durable et plus équitable pour les communautés qu’il sert, la force de sa vision de l’avenir et la manière dont il communique les impacts actuels et futurs de son entreprise.
Le bien-être social et économique des populations locales, ainsi que le souci de l’environnement, sont les moteurs de nombreuses petites entreprises qui proposent des solutions de consommation durable comme Treedom qui a déjà planté plus de 2 millions d’arbres en systèmes agroforestiers dans 17 pays avec des communautés locales permettant à la fois de participer à la protection de la biodiversité et d’aider les agriculteurs à accéder à une alimentation durable. “L’avenir de l’alimentation et des écosystèmes mondiaux exige de nouvelles façons de faire des affaires”, explique Federico Garcea, fondateur et CEO de Treedom.
Les gagnants du concours ont été annoncés en même temps qu’un nouveau rapport, basé sur une enquête mondiale sur les ambitions et les besoins de ces entreprises. Le rapport décrit trois voies essentielles pour aider les petites entreprises à réaliser pleinement leurs promesses : créer des environnements commerciaux plus propices, offrir des incitations plus positives et donner aux chefs de petites entreprises les moyens d’exercer une plus grande influence sur la planification sectorielle.
Pour en savoir plus sur les 50 lauréats, consultez la page communautaire du Sommet sur les systèmes alimentaires.
Septembre est déjà de retour et il nous faut reprendre rythme et bonnes habitudes pour attaquer l’année du bon pied. C’est le bon moment de faire le point sur notre organisation, et nos habitudes… Et surtout qui dit rentrée dit achat de fournitures. Pas toujours écologiques tant les produits ne sont pour la plupart pas écolos eux-mêmes. Alors cette année, pour soulager la planète et son porte-monnaie, pourquoi ne pas repenser la rentrée ? Treedom donne quelques astuces bien avisées pour préserver notre planète.
Miser sur les stocks !
Car c’est sûr, il reste forcément des fournitures de l’année précédente ! Les écoles demandent en général d’acheter trop en prévision et il reste toujours de quoi démarrer l’année. Cartables, cahiers ou feuilles et classeurs sont eux réutilisables tout comme les crayons et feutres. Alors on ne se laisse pas tenter, on réutilise !
Privilégier des fournitures écolos et made in en France
Si, en revanche, on doit acheter ; on privilégie les produits écologiques avec un impact plus faible sur notre environnement. De nombreuses marques s’y sont désormais mises et proposent des produits bios, durables ou encore fabriqués en France. Cahiers, classeurs, crayons, stylos… de nombreux modèles sont à notre disposition, tendances mais également économiques. Car aujourd’hui, être écologique n’est pas synonyme de ringardise, ni de coup de bambou sur notre budget ! Plus d’excuses pour ne pas agir pour la planète même à la rentrée et demandons conseils à nos buralistes et aux papetiers du quartier.
Des tenues neuves pour la rentrée ? Pas obligé !
Au placard les maillots, tongs et chapeaux, certes, mais on n’est pas obligés de tout racheter. On peut utiliser les tenues des aînés, des voisins, des cousins et si notre entourage en est dépourvu, il y a toujours les ventes d’occasions ! Sauf pour les chaussures, on recommande autant que possible des chaussures adaptées à chaque enfant, alors pour ces achats-là, on privilégie le made in France écoresponsable avec de belles marques comme Faguo, ou le Slip Français.
De bonnes nouvelles habitudes
Car septembre, c’est aussi le mois où on se réorganise, on reprend une routine de vie qui nous cadre mais qui nous permet aussi de nous occuper de choses importantes et qui comptent, comme le bien-être de notre planète. Et planter des arbres est un excellent moyen de réduire notre impact en absorbant le carbone que l’on génère. Le tout à des coûts très abordables nous permettant de prendre part à une action sans grever son budget. Cacaotiers, Sapotiers, Manguiers… et en plus, on apprend des choses grâces aux emails réguliers qui nous parle du pays dans lequel notre arbre est planté et de la communauté qui s’en occupe. Alors, pourquoi se priver ?
Grâce à son impact social et son aspect ludique, Treedom a déjà planté 2 millions d’arbres dans 17 pays à travers le monde depuis sa création à Florence en 2010. Du Cameroun au Kenya, du Guatemala à Haïti, Treedom plante là où c’est nécessaire pour absorber le CO2 efficacement. En plus de compenser notre impact, planter un arbre avec Treedom c’est aussi soutenir des milliers agriculteurs locaux qui plantent les arbres et vivent ainsi de leurs récoltes.
Du 27 septembre au 3 octobre 2021
C’est pour apporter une plus grande clarté et diffuser des informations précises au sujet du jeûne que Jean-Pascal David, naturopathe, fondateur de la Maison du Jeûne et pratiquant depuis plus de 20 ans, a décidé d’organiser le premier Sommet du Jeûne et de la Détox.
Le concept : un événement 100 % en ligne et gratuit, qui proposera du 27 septembre au 3 octobre 2021 plus de 20 conférences thématiques et ateliers cuisine animés par les meilleurs experts (naturopathes, médecins, oncologues…).
Dans une ambiance bienveillante, les participant.e.s pourront parler du jeûne et de la détox, mais aussi explorer de nouvelles pistes pour se réapproprier leur énergie vitale, leur bien-être et leur santé.

Donner des clés et inspirer pour aborder le jeûne en mode “100% zen”
Le Sommet du Jeûne est destiné à ceux et à celles qui veulent trouver de belles sources d’inspiration et accéder à toutes les connaissances utiles pour comprendre et/ou oser entreprendre un jeûne.
Ce projet est soutenu par la FFJR (Fédération Francophone Jeûne et Randonnée) et par L’Académie Médicale du Jeûne.
Il s’adresse aussi aux professionnels (médecins, naturopathes…) ainsi qu’à toutes les personnes intéressées par cette thématique.
Car il ne s’agit pas d’un événement anti-allopathique ou anti-système ! L’approche proposée est au contraire totalement complémentaire et vise une amélioration globale de la santé.
Plusieurs thématiques vont ainsi être abordées au cours de la semaine :
- Les bénéfices du jeûne ;
- La physiologie (Comment cela fonctionne ? Que se passe-t-il dans le corps ?) ;
- L’approche du jeûne en naturopathie et le rôle des émonctoires ;
- Les différents types de jeûne : jeûne actif, jeûne repos, jeûne intermittent, jeûne hebdomadaire, jeûne court, jeûne long, le régime cétogène et ses bienfaits ;
- La préparation du jeûne, la reprise alimentaire ;
- Le jeûne pour qui, le jeûne pour quoi ? (limites, risques et contre-indications) ;
- Le jeûne seul, accompagné, en groupe, jeûne bien-être, jeûne thérapeutique, jeûne Büchinger, etc. ;
- Le jeûne avec certaines pathologies (jeûne et diabète, jeûne et cancer, jeûne et maladies inflammatoires…).
À tous ces entretiens, s’ajouteront 3 ateliers cuisine autour de l’alimentation vivante.
Jean-Pascal David souligne :
« Ce sommet, c’est avant tout l’envie de transmettre mon expertise de plus de 20 ans dans le domaine du jeûne et de l’accompagnement, de cheminement aux côtés d’experts, de naturopathes, de médecins, en France et à l’international. Mon désir est d’offrir la possibilité au plus grand nombre, de façon professionnelle et objective, de découvrir le jeûne et autres diètes qui peuvent être associées. »
Pour en savoir plus
Site web : https://www.lesommetdujeune.com/
Facebook : https://www.facebook.com/La-Maison-du-Je%C3%BBne-141860292569425/timeline/
Instagram : https://www.instagram.com/lamaisondujeune/
Nov 3, 17:35