Avez-vous besoin d’une supplémentation en Oméga 3 ? Ces acides-gras essentiels que l’on trouve en quantité dans les huiles de poisson présentent de nombreux bienfaits pour la santé. Découvrez, avec Natésis, les avantages à se supplémenter en Oméga Source, et comment consommer les Oméga 3.
Oméga 3 : quels bienfaits ?
Les oméga 3 DHA (acide docosahexaénoïque) et EPA (acide eicosapentaénoïque) jouent un rôle important dans le fonctionnement du cerveau et de la rétine et participent à la santé du système cardio-vasculaire. Connus pour améliorer l’humeur et l’immunité, ils seraient également efficaces pour réduire les dommages oxydatifs et l’inflammation dans le corps (arthrite, maladies inflammatoires chroniques…).
On retrouve notamment ces acides gras dans les poissons gras comme le saumon, le hareng ou la truite et dans certaines huiles végétales comme celles de noix, de colza ou de cameline.
Les différentes sources d’Oméga 3
Indispensables à notre bonne santé, les oméga 3 ne peuvent toutefois être apportés que par l’alimentation ou la supplémentation. Si les compléments alimentaires ne sont pas destinés à remplacer une alimentation saine et équilibrée, il peut être utile, à certains moments de la vie, de se supplémenter en oméga 3, notamment en cas d’alimentation déséquilibrée, de pratique sportive intense, à partir de 50 ans, pour prévenir la santé cardio-vasculaire et les troubles métaboliques ou en période de post-partum.
Les compléments alimentaires Omega Source de Natésis, apportent tous les bienfaits des EPA et DHA contenus dans l’huile de poisson qui les compose. Issu d’huile de petits poissons sauvages des mers froides, Oméga Source contient 65% d’Oméga 3 dont 34% d’EPA et 24% de DHA. Pour cette gamme de compléments, la marque Natésis a choisi la qualité Epax, pour des fish-oils certifiées Friend of the Sea. Ce label garantit une huile issue de poissons élevés dans une démarche de développement durable.
Compléments alimentaires ou alimentation : que choisir pour les Oméga 3 ?
Mais quelle est la différence entre les Oméga 3 issus de l’alimentation naturelle et ceux issus des suppléments d’huile de poisson comme l’Omega Source ?
L’OMS recommande de varier ses sources d’acides gras, en alternant la consommation de :
- Poissons gras comme les saumons, les sardines, les maquereaux, les truites de lac et le thon.
- Sources végétales comme les noix, les graines de lin, les choux de Bruxelles, le tofu, les huiles de canola, de colza, de cameline, les avocats, les graines de chia, etc.
L’avantage de se tourner vers des compléments comme Omega Source de Natésis est de pouvoir s’assurer un apport suffisant en acides gras, mais aussi de :
- Contrôler la qualité et la provenance des huiles de poisson : en effet, le label Epax vous garantit une huile de qualité, peu oxydée, et produite en conformité avec les réglementations européennes de la pêche durable.
- Connaître la teneur précise en EPA et DHA
- Doser facilement les gélules, et donc la quantité d’Oméga 3 dans votre journée
- Bénéficier du label de qualité QualitySilver Ice, qui permet une huile conservant toutes ses propriétés nutritionnelles.
Sources :https://www.nccih.nih.gov/health/omega3-supplements-in-depth
+ D’INFO ET ACHAT EN LIGNE
Au moment où les premiers vacanciers s’apprêtent à partir en bord de mer, l’association Gestes Propres lance la 11e édition de sa grande opération « Je Navigue, Je Trie » dans les ports de plaisance. L’objectif : lutter contre les déchets marins et développer le recyclage, avec le message :
« Rien par-dessus bord, tous mes déchets au port ! »
Cette opération est très appréciée des plaisanciers et des équipes portuaires qui disposent d’un dispositif complet et efficace : l’an passé 280 000 plaisanciers ont été sensibilisés et 40 % des ports participants ont constaté une hausse du tri sélectif grâce à l’opération.
Cet été, et jusqu’à la fin de la saison de plaisance, le puissant dispositif de collecte et de sensibilisation sera déployé dans 72 ports en France, en Italie et à Monaco, dont 18 nouveaux ports grâce auxquels les scores de l’an passé devraient être largement dépassés.
Un puissant dispositif pour un double objectif
« Je Navigue, Je Trie » affiche clairement son double objectif : rapporter les déchets au port et les trier. Pour l’atteindre, l’opération permet aux ports qui hissent le pavillon d’offrir à leurs plaisanciers des outils trilingues (français, anglais, italien) de collecte, incitatifs et facilitateurs, signalés par une affiche explicative. Des cabas réutilisables dédiés au tri des emballages (avec rappel des consignes) sont remis aux plaisanciers à leur arrivée et un distributeur de sacs poubelle (30L) pour un self-service 24/24 est à leur disposition sur le port.
Pour cette nouvelle édition, les ports distribueront également des cendriers de poche aux amoureux de la navigation, une grande première pour lutter contre les mégots en mer. Pour compléter le dispositif jusqu’au local poubelle des ports, des affiches expliquant clairement les consignes de tri ont également été remises.
Les équipes des ports seront aussi mobilisées auprès des plaisanciers pour les sensibiliser à la problématique des déchets marins et leur fournir toutes les informations nécessaires.
4 partenaires engagés aux côtés de Gestes Propres
L’opération est réalisée en partenariat avec Citeo, le ministère de la Transition écologique, le label Pavillon Bleu ainsi que le Groupe Barbier, fabricant des sacs poubelle éco-conçus de GESTES PROPRES (composés à 80% de matière recyclée, imprimés à encre à l’eau).
2020 : 280 000 plaisanciers sensibilisés
Malgré une année marquée par la pandémie de la Covid-19, l’opération, parrainée par François Galgani de l’IFREMER, a connu un véritable succès et permis de sensibiliser 280 000 plaisanciers au tri de leurs déchets à bord, mais surtout à ne rien jeter en mer ! En 2020, 35 000 cabas réutilisables dédiés au tri des déchets recyclables et 71 000 sacs poubelle pour les autres déchets ont été distribués aux navigateurs de l’été. L’opération a un impact positif sur le tri : 40% des ports ont constaté une augmentation du tri sélectif dans leurs bacs en 2020 et estimé que la conformité, au regard des consignes de tri en place, était satisfaisante à 83%.
Édition 2021 « Je Navigue, Je Trie » : les 72 ports participants
Tous labellisés Pavillon Bleu (sauf*)
Intérieur
Port St-Georges, Nancy
Port de Rives, Thonon-les-Bains
Port de l’Arsenal, Paris*- New
Port de La Villette, Paris* – New
Nogent sur Marne*- New
Port Ilon, Saint-Martin La Garenne- New
Cergy*- New
L’Isle Adam- New
Cappy*- New
Rouen- New
Manche & Atlantique
Dunkerque Marina*- New
Port Vauban, Gravelines* – New
Calais Marina*- New
Boulogne Marina*- New
Etaples- New
Saint-Valery-sur-Somme
Dieppe*
Dives-Cabourg-Houlgate
Ouistreham
Port de Diélette, Tréauville
Port Chantereyne, Cherbourg
Saint-Quay-Portrieux, Saint-Quay-Port-Armor
Binic
Paimpol
Marina du Château, Brest*
Port du Moulin Blanc, Brest*
Port de Morgat, Crozon
Loctudy*
La Flotte*
Port Joinville, Ile d’Yeu
La Rochelle*
Saint-Denis d’Oléron
Boyardville, Saint-Georges-d’Oléron*
Le Douhet, Saint-Georges-d’Oléron*
Port Médoc, Le Verdon sur Mer*
Quai Emmanuel Garnier, Les Sables-d’Olonne*
Port de la Vigne, Lège Cap Ferret- New
Méditerranée
Argelès-sur-Mer
Saint-Cyprien
Narbonne
Port du Chichoulet, Port Vendres en Domitienne
Cap d’Agde
Frontignan
Carnon
Port Camargue, Grau du Roi
Calanques de Port Miou, Cassis
Port St-Pierre-des-Embiez, Six-Fours-les-Plages
Port Saint-Pierre, Hyères les Palmiers
Bormes-les-Mimosas
Le Lavandou
Marines de Cogolin
Vieux port, Saint-Raphaël
Port Santa Lucia, Saint-Raphaël
Cavalaire sur Mer*
Port Pierre Canto, Cannes
Vieux Port, Cannes*- New
Port Gallice, Juan les Pins- New
Saint-Florent (Corse)
Bonifacio (Corse) – New
CNTL (Cercle Nautique & Touristique du Lacydon), Marseille
Port Notre-Dame, Saint-Chamas*- New
Port-Vendres*
Canet en Roussillon*
Sainte-Marie la Mer*
Port-Leucate
Monaco
Port Fontvieille*
Port Hercule*
Italie
Autorita portual di Savona
Marina di Alassio
Calla Cravieu, Celle Ligure
Porto Venere
Porto Mirabello, La Spezia
GESTES PROPRES sur le web et les réseaux sociaux :
Site internet : GestesPropres.com
Twitter : @GestesPropres
Facebook : facebook.com/GestesPropres
Instagram : @Gestes_Propres
Il est aujourd’hui courant de confondre les bâtonnets trempés du commerce et les encens traditionnels. Pourtant, ce sont deux méthodes de fabrication bien différentes à ne surtout pas confondre :
Les encens véritables sont produits suivant les méthodes de fabrication traditionnelles. Les ingrédients utilisés sont des matières premières naturelles de grande qualité, pour un mode de fabrication artisanal ; en totale opposition avec les encens trempés dans des bains de solvants et parfums de synthèse que l’on retrouve très généralement commercialisés à disposition du grand public.
Plus précisément, les encens traditionnels constituent plusieurs étapes de fabrication :
Premièrement, la préparation d’ingrédients comme de la poudre de bois et de plantes, d’aromates, d’épices, de résines aromatiques et d’huiles essentielles.
Deuxièmement, le mélange et le malaxage des ingrédients sous forme de pâte.
Troisièmement, la transformation de la pâte en bâtonnets par extrusion ou par roulage de la pâte à la main sur un bâtonnet de bambou.
Vient enfin la dernière étape, le séchage et le conditionnement.
En revanche, les bâtonnets trempés que l’on retrouve facilement dans le commerce consiste en un façonnage de bâtonnets sans arôme avec des méthodes de fabrication beaucoup plus simples et rapides : les bâtonnets sont ensuite trempés dans un bain liquide contenant une base de parfums, de solvants, et de colorants en majorité synthétiques.
Les bâtonnets sont ensuite séchés et conditionnés.
Il faut donc faire attention à ne pas faire d’amalgame sur tous les encens, alors que c’est une famille de produits très variés qui ne transmettent pas les mêmes vertus.
Il existe des encens très émissifs, dont il faut limiter l’usage. Il existe également des encens de mauvaise qualité qui n’apportent pas suffisamment de bénéfice produit aux consommateurs et dont l’emballage revendique souvent le contraire.
Pour remédier à cela, veillez à :
- Consulter la liste des différentes certifications/logos/labels inscrits sur l’emballage du produit comme « 100% naturel » et « ICEA » garantissent un cycle de production écologique, le respect de la réglementation sur la santé du consommateur et l’absence de produits de synthèse.
- Préférer les encens fabriqués avec des ingrédients naturels : les composants émis ont de nombreuses propriétés aux effets positifs pour le bien-être que les encens trempés dans des parfums de synthèse n’ont pas.
- Privilégiez les marques françaises responsables : elles respectent la réglementation sur les ingrédients autorisés et sont régulièrement contrôlées.
- Adaptez la durée de combustion (masse brûlée) au volume de la pièce. (Un encens japonais de 13 cm, durant 30 minutes convient à une chambre ou une salle de bain. Pour les toilettes, coupez-le en 2 !)
- Utilisez occasionnellement les encens les plus émissifs. Ex : Pour un encens en résines à brûler sur un charbon, une ou deux fois par mois est raisonnable.
Quelle est la réglementation concernant les encens ?
Les encens sont considérés par les autorités européennes comme des mélanges chimiques, peu importe leur composition.
La réglementation qui les concerne est donc celle des produits chimiques : Reach et CLP.
C’est pourquoi les mentions réglementaires, signalant les dangers et les précautions d’usage, doivent être présentes sur les emballages à destination des consommateurs. Et cela même pour des encens 100% naturels : la réglementation ne fait pas de différence entre les produits composés d’ingrédients d’origine naturelle et ceux composés d’ingrédients synthétiques.
De nombreuses molécules présentes dans la nature sont réactives et potentiellement dangereuses. Le terme « naturel » n’est pas synonyme de non-dangerosité.
Kitsoo s’adresse à tous les jeunes et futurs parents de France avec son offre de location de vêtements par abonnement. Tous les vêtements sont made in France et en coton bio.
750 000, c’est le nombre de naissances en France chaque année. Ces mêmes enfants grandissent à une vitesse fulgurante, imposant aux parents de changer régulièrement de vêtements simplement à cause des tailles qui évoluent ou de la saison. Il faut donc réinvestir dans une garde-robe fréquemment. En plus de la dimension non écologique, par la surproduction de vêtements, les habits peuvent représenter un budget important pour certaines familles. Autre chose, les vêtements trop petits trainent dans les placards et deviennent vite encombrants si on ne s’en débarrasse pas. Kitsoo a donc pour ambition de proposer une alternative économique et écoresponsable à cette consommation de vêtements.
Kitsoo propose aux parents la possibilité de souscrire à un abonnement mensuel, leur donnant accès à une multitude de vêtements couvrant la quasi-totalité des besoins vestimentaires de l’enfant. Économiques, écoresponsable et solidaires, les P’titPacks seront déclinés en 3 tailles différentes : le pack standard (10 pièces), le pack medium (15 pièces) et le pack premium (20 pièces). De plus, les parents auront la possibilité d’ajouter des vêtements en option, en fonction de leurs besoins et leurs préférences.
Ils pourront utiliser à volonté nos produits jusqu’à ce que les tailles ne conviennent plus. Ils demanderont alors le renvoi d’un nouveau pack, auquel sera joint un bordereau de retour pour assurer l’acheminement des anciens articles jusqu’au dépôt. Les vêtements seront alors lavés par un professionnel tiers, puis remis à la disposition d’autres parents. Enfin, les pièces usagées subiront une remise en condition puis seront données à des associations humanitaires partenaires qui assureront la distribution de ces vêtements auprès de familles défavorisées.
Cette offre s’adresse principalement aux parents francophones pour le moment, soucieux de l’environnement, qui cherchent à bien habiller leur bébé sans toutefois dépenser énormément d’argent.
Les abonnements sont déjà disponibles en pré-commande à tarif réduit sur KissKissBankBank !
Votre contribution permettra le développement de ce nouveau mode de consommation durable, grâce à la contribution solidaire. Les fonds collectés participeront en effet au financement du premier stock, permettant ainsi de délivrer le meilleur service, le plus rapidement possible.
Cette campagne KissKissBankBank, qui contient des cadeaux dans chaque formule de précommande proposée, nous a déjà permis d’atteindre 50% de notre financement !
Comment stocker du CO2 dans les sols agricoles, dans les vignes :
- restituer au sol les bois de taille,
- enherber entre les rangs de vigne,
- éviter de labourer,
- apporter des “engrais” organiques (bois broyé, compost, …)
Toutes ces actions favorisent la biodiversité, la vie des sols, et augmentent la fertilité et le stock de CO2 dans les sols
et donnent des vins de terroir, sains, enchanteurs !
Plus d’infos sur notre site vinsdurables.fr
Article paru le 01/05/2017 – actualisé le 01/05/2021
La famille Zen a dîné tôt et se prépare à aller au lit. Mais, ce soir, la fille de Madame Zen est un peu angoissée parce qu’elle craint de ne pas s’endormir facilement. Sa journée à l’école a été difficile. Elle a eu droit à une remarque désagréable de sa maîtresse, une mauvaise appréciation sur un devoir de mathématiques et, pour couronner le tout, elle s’est disputée avec sa meilleure amie. L’objectif de Madame Zen est de lui faire oublier suffisamment ses petits tracas pour s’endormir et éviter de ressasser cette mauvaise journée. Heureusement, il existe une succession de petites choses à faire pour s’apaiser et se détendre. Madame Zen sait qu’il faut arriver à relativiser pour que le lendemain se passe bien et que sa fille réussisse à la fois à se concentrer de nouveau en classe et puis, bien sûr, se réconcilie avec sa meilleure amie.
Toi, qui lis cette histoire, aimerais-tu connaître quelques astuces pour apprendre à t’endormir en quelques minutes de façon sereine ?
Première étape, il faut dire ce que tu as sur le coeur à tes parents ou à la personne de ton choix. Le simple fait de reprendre le cours de ta journée et de le partager avec une personne attentive permet de soulager ton esprit et de faire le vide dans ta tête. Maman Zen sait comment s’y prendre depuis que sa fille est toute petite et l’invite à raconter sa journée dès la sortie de l’école. En fonction de ton âge ou de tes envies, tu peux choisir d’en parler en faisant un dessin ou en l’écrivant sur une feuille. Tu peux également téléphoner à quelqu’un en qui tu as confiance, un ami ou un grand-parent, par exemple ; l’attention portée uniquement sur la voix au téléphone étant d’autant plus efficace.
Deuxième étape, tu vas te relaxer en étant dans ton lit avec un simple petit exercice de respiration.
En position assise ou allongée, la tête et le dos bien droits, tu mets tes mains le long du corps ou l’une sur l’autre sur ton ventre. Tu respires tranquillement, lentement pour t’apaiser en prenant conscience de ta respiration. L’exercice dure quelques instants, 2 ou 3 minutes. Il peut également se faire en écoutant de la musique douce pour t’accompagner dans ta relaxation.
Troisième et dernière étape, toujours assis ou allongé sur ton lit, tu vas fixer un objet que tu aimes dans ta chambre et te concentrer sur cet objet. Cela peut être ton poster préféré, l’arbre vu de ta fenêtre, un objet sur une étagère. À chaque fois que ton regard s’échappe et s’en va, parce que des pensées surgissent dans ton esprit et font bouger tes yeux, tu dois le ramener sur l’objet que tu as choisi. N’oublie pas de continuer à respirer calmement pendant ce petit exercice. Au bout de 5 minutes, tu vas ressentir des petits picotements dans tes yeux et, au bout de 10 minutes environ, tu te sentiras plus calme et tu commenceras à avoir envie de t’endormir.
Maintenant, tu peux éteindre la lumière et t’enfoncer dans ton lit. Ferme doucement les yeux. RelaxStory te souhaite une bonne nuit !
Voyager sans stress
En voiture
- Prenez de préférence la route à une date à laquelle il n’y a pas d’embouteillages à prévoir.
- Partez lorsque bébé est fatigué. Il ne s’en endormira que plus facilement.
- Langez votre bébé et donnez-lui à manger avant de prendre la route.
- Prévoyez une protection solaire dans la voiture. Un tissu coincé dans la fenêtre fera l’affaire. Attention à la climatisation : les bébés se refroidissent plus rapidement que les adultes, réglez la température raisonnablement. Ne roulez pas les fenêtres ouvertes.
- Arrêtez-vous au moins toutes les 2 heures et pendant les moments les plus chauds de la journée. • En route, emportez des compotes et des céréales HiPP, et de l’eau.
- Laissez la nourriture à portée de main. Emballez-la dans un sac isotherme et veillez à ce que les aliments ne soient pas trop froids. N’oubliez pas de prendre quelques serviettes de toilette, lingettes/serviettes de table et sacs-poubelle.
- Ne prenez jamais bébé sur vos genoux lorsque vous roulez pour éviter tout risque de blessures lors d’un freinage brutal.
En train
- Réservez à temps (3 mois avant le départ) pour pouvoir bénéficier d’une place dans le compartiment réservé aux parents accompagnés de jeunes enfants (espace familles). Le personnel navigant sera particulièrement attentif à vos besoins. Pour en savoir plus, contactez la SNCF (tél. : 0836 35 35 35).
- Expédiez vos bagages volumineux avant votre départ. Vous les récupèrerez sur votre lieu de destination. Les services SNCF s’en chargeront avec plaisir. Pour en savoir plus, contactez la SNCF.
- Au wagon-restaurant, vous aurez de l’eau chaude à disposition pour préparer le biberon de bébé. Vous pouvez également emporter une bouteille isotherme avec de l’eau chaude.
- La plupart des trains disposent de toilettes spacieuses possédant une table à langer.
En avion
- Les pédiatres ne sont pas opposés à ce que bébé prenne l’avion.
- Exception : en cas de rhume ! La pression peut provoquer des douleurs au niveau des oreilles.
- Contactez votre compagnie aérienne. Réservez une place où vous aurez assez d’espace pour déposer le couffin du bébé à vos pieds.
- De nombreuses compagnies aériennes mettent des couffins à la disposition des mamans. À bord, vous trouverez tout ce qu’il vous faut pour changer bébé.
- Allaitez votre bébé pendant le décollage et l’atterrissage, ou gardez un biberon ou une tétine à portée de main. La déglutition compense les changements de pression et évite les douleurs auditives.
- En raison de la sécheresse de l’air, donnez fréquemment à boire à votre bébé.
- Dans la majorité des cas, les bébés voyagent gratuitement ou bénéficient d’un tarif réduit à 10 % du prix normal. C’est pourquoi ils ne peuvent occuper un siège.
Quelques conseils
Le petit ventre de bébé détermine sa bonne humeur. Pour cette raison, pas d’expérimentation en tous genres en matière d’alimentation pendant les vacances. Aussi longtemps que bébé est allaité, ce thème n’est bien sûr pas à l’ordre du jour. Passé l’allaitement, mieux vaut emporter les aliments auxquels il est habitué ou les acheter sur place.
- Planifiez un menu ou un petit pot légumes pour chaque repas de vacances.
- Entre les repas, des fruits sont l’aliment idéal (100 % Fruits ou Délices de Fruits), des céréales (Matins Gourmands ou 100 % Céréales) ou encore des biscuits, qui sont très pratiques durant un trajet (Mon Premier Biscuit, par exemple).
- Important : veillez à réhydrater suffisamment votre bébé en le faisant boire. Ne lui donnez que de l’eau minérale spécialement adaptée aux nourrissons, de l’eau de source ou de l’eau bouillie.
- Veillez également à emporter suffisamment de lait infantile.
- Faites bouillir de l’eau du robinet avant de l’utiliser, même pour laver les fruits ou les légumes.
Comment transporter l’alimentation de bébé
En voiture
Dans le coffre, les températures peuvent atteindre plus de 40 °C. Il faut donc être attentif.
Les produits lyophilisés (tels que les laits pour nourrissons, les céréales en poudre) et les petits pots à base de fruits (100 % Fruits, Mon Goûter Plaisir…) peuvent rester dans le coffre de la voiture.
Les légumes et les produits qui contiennent de la viande (menus, préparations de viande) supportent mal de rester longtemps à des températures dépassant 40 °C. Il convient donc d’être particulièrement attentif à la température. Stockez-les si possible à des endroits où les températures sont moins élevées (aérés ou climatisés).
Pour le transport dans le coffre de la voiture : refroidissez les petits pots avant le départ en les plaçant au réfrigérateur et transportez-les dans une glaciaire ou un sac isotherme muni(e) d’un bloc de froid.
Les petits pots doivent aussi être protégés contre les chocs. Pensez à les protéger soigneusement.
En avion
L’alimentation pour bébés peut être emportée dans un bagage à main ou dans des valises résistant aux chocs et à la pression (par exemple, une valise à coquille dure). Les petits pots doivent être emballés pour protéger le reste du contenu de la valise.
Il est recommandé d’emporter dans les bagages à main de la nourriture pour les 2 premiers jours au cas où les bagages seraient retardés afin de pouvoir nourrir bébé si besoin était.
Stockage de l’alimentation
Stockez les petits pots en dessous de 25 °C. Avant de les utiliser, vérifiez systématiquement si le petit pot est bien fermé. S’il n’est plus sous vide, il ne peut plus être consommé. Le test du couvercle va vous aider : le centre du couvercle doit former un creux. Il ne doit pas céder à la pression. N’utilisez pas un petit pot dont le couvercle est bombé. Un déclic doit se faire distinctement entendre à la première ouverture.
Pour les pots en plastique et les assiettes, c’est le test de la pression qui va vous aider : tenez le pot ou l’assiette avec le film de protection la tête en bas, et appuyez sur les côtés de l’assiette. Si le produit descend, ne l’utilisez pas.
Les produits instantanés et les laits infantiles liquides doivent être stockés dans un endroit sec et à l’abri de la lumière.
Lorsqu’il fait vraiment très chaud, il est conseillé de conserver les aliments secs non ouverts au réfrigérateur. Ne mettez plus les paquets une fois ouverts au froid, les poudres pouvant devenir humides et s’altérer. Conservez-les dans un endroit sec et consommez-les rapidement.
Nous vous souhaitons un bon voyage et de bonnes vacances !
La checklist
L’alimentation de bébé
- Aliments lactés, céréales en poudre
- Petits pots : légumes, menus, goûters
- Eau et jus éventuellement
- Biscuits pour bébés
- Biberon, tétines, sucettes, chauffe biberon, goupillon
- Assiette pour bébé, couverts et bavoirs
- Adaptateur pour prise électrique
Les soins de bébé
- Gel lavant pour bébé et shampooing
- Crème pour bébé
- Ustensiles pour langer bébé et couches
- Brosse à cheveux
- Ciseaux à ongles
- Serviettes/gants de toilette
- Protection solaire
Les vêtements
- Grenouillères
- Pyjamas/gigoteuses
- Culottes en éponge, maillot de bain, slips
- Chaussettes, collants, chaussures
- Pullovers, veste, ciré ou vêtement de pluie
- T-shirts légers en coton
- Bonnet ou chapeau (pour le soleil)
- Lunettes de soleil
Accessoires
- Les jouets préférés de bébé, livre d’images, jouets pour la plage
- Couverture préférée ou animal en peluche
- Literie, éventuellement draps de voyage
- Poussette, couffin, siège portable
De nombreux avantages vous attendent au Baby Club HiPP
sur https:// www.hipp.fr/fr/babyclub/inscription/
Pour en savoir plus : www.hipp.fr
Connue depuis longtemps pour ses actions bénéfiques sur le métabolisme osseux, la vitamine D fait aujourd’hui à nouveau parler d’elle. Pourquoi ?
Tout d’abord parce qu’elle est considérée comme une véritable « pro-hormone », puisque le corps peut la synthétiser spontanément sous l’effet de facteurs exogènes, à savoir le rayonnement solaire d’UVB (90 %). Seuls 10 % proviennent de notre alimentation, via des aliments que nous consommons de moins en moins, tels que l’huile de foie de morue, le hareng cru, les sardines, le thon, les œufs de poule, les huîtres crues… Très peu de fruits et légumes disposent de la vitamine D parmi leurs composants. La tomate et certains champignons en contiennent cependant en petites quantités. Mais cela ne suffit pas… car il faudrait par exemple manger 22 œufs par jour pour couvrir nos besoins minimaux en vitamine D par l’alimentation… ce qui n’est, bien évidemment, pas possible !
Ensuite, parce que ses bienfaits dépassent très largement la prévention du rachitisme. Elle est capable d’agir sur de nombreux tissus de l’organisme et d’influencer : la prolifération et la différenciation cellulaires, l’apoptose (« mort » cellulaire, qui serait un mécanisme de défense contre les tumeurs), les sécrétions d’insuline (diabète) et de rénine (tension), la production d’interleukines et la bactéricidie (défense contre les infections). Des données épidémiologiques et expérimentales vont dans le sens d’un rôle protecteur de la vitamine D contre les cancers, le diabète de type 2, les maladies cardiovasculaires, autoimmunes, infectieuses, rénales et le déficit musculaire. Quelques études d’intervention confirment certains de ces effets.
La carence en vitamine D est considérée pour de nombreux pays comme une priorité de santé publique. 8 Français sur 10 manqueraient, en effet, de vitamine D pendant la saison froide, de novembre à mars. Or, un taux correct de vitamine D (aux alentours de 30 ng*/ml de sang) est nécessaire pour être en bonne santé en général, et plus particulièrement pour maintenir un système immunitaire de qualité (et donc éviter des infections comme la grippe), prévenir les fractures et les douleurs diffuses chroniques, et même prévenir certains cancers.
Pour maintenir à la saison froide des taux de vitamine D sanguins supérieurs à 30 ng/ml, l’alimentation ne suffit pas et il est nécessaire d’ingérer en moyenne 1 000 UI** de vitamine D3 par jour en supplémentation.
Le saviez-vous ? Pour diagnostiquer un déficit en vitamine D, il faut doser la 25 OH vitamine D, qui représente les stocks de vitamine D de l’organisme.
* nanogramme / ** Unité Internationale
Pour aller plus loin
Vitamine D mode d’emploi
La vitamine D Nouvel espoir de santé ?
Article paru le 05/07/2017 – actualisé le 05/07/2021
Qu’il brille par son absence, joue à cache-cache avec les nuages ou qu’il s’impose généreusement, le soleil fait partie de notre vie. Mais le connaissons-nous aussi bien que nous le pensons ? Indispensable à la vie et à notre santé, il faut cependant le comprendre pour mieux l’appréhender et savoir s’en protéger. Car ami ou ennemi, aimé ou diabolisé, il conserve une part d’ombre pour chacun de nous. Dans cette partie, je vous propose de jouer un peu avec lui et de faire le point sur quelques idées reçues ensoleillées…
Voir les articles :
La vitamine du soleil
Connaissons-nous vraiment le soleil ?
Photosensibilisation, kézako ?
Soleil et médicaments ne font pas toujours bon ménage. En cas de prise de médicament(s), n’hésitez pas à vérifier votre ordonnance ou à demander conseil à votre médecin avant toute exposition au soleil.
En effet, certaines substances prises par voie orale ou en application cutanée augmentent la sensibilité de la peau au soleil. C’est le cas de certains médicaments, notamment :
- Les antibiotiques de la classe des quinolones (infections urinaires et pulmonaires) et de celle des cyclines (traitement de l’acné juvénile).
- Les diurétiques contenant des sulfamides (hydrochlorothiazide).
- Les antidépresseurs et les neuroleptiques : Laroxyl (amitriptyline), Prozac (fluoxétine), Deroxat (paroxétine), Théralène (alimémazine)…
- Les traitements anticholestérol : Lipanthyl (fénofibrate), Zocor (simvastatine), et les hypoglycémiants par voie orale : Daonil (glibenclamide)…
Et c’est le cas également des huiles essentielles contenant des furocoumarines. Celles-ci sont présentes en quantité assez importante dans l’huile essentielle d’angélique et l’essence de bergamote, ainsi que sous forme de traces dans d’autres essences, les agrumes en général (citron, citron vert, orange, mandarine, clémentine, pamplemousse), la verveine et d’autres plantes encore. Pour ne pas vous priver en période estivale de l’odeur fraîche et pétillante de l’huile essentielle de bergamote, sachez que vous pourrez en trouver sans furocoumarines.
C’est enfin le cas du macérât de millepertuis, que nous avons évoqué précédemment et qui est très efficace pour soulager les coups de soleil. Il faudra prendre soin de l’appliquer le soir et de ne surtout pas y avoir recours avant toute exposition au soleil.
Nov 3, 17:35