Un tigre, un dhole, un ours… une vidéo de Kalaweit

Voilà des nouvelles de Chanee de l’association Kalaweit dans la forêt Dulan, Kalimantan Centre, sur l’île de Bornéo…

 
Regardez toutes les dernières vidéos en français sur Kalaweit ici :
 
L’association Kalaweit travaille en partenariat avec le Ministère indonésien de l’environnement et des forêts.
 
Partenaires et soutiens de Kalaweit: https://kalaweit.org/presentation/sou…
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15e Nuit de la Chouette

Le samedi 4 mars 2023, la LPO organise la Nuit de la Chouette, un événement bisannuel insolite destiné à mieux faire connaître la biodiversité nocturne, qui se prolongera tout au long du mois de mars. Près de 300 activités gratuites sont proposées partout en France pour se rassembler à l’affût de la faune de la nuit. Une expérience à ne pas manquer !

Depuis près de 30 ans, la Nuit de la Chouette invite tous les deux ans le grand public à découvrir les rapaces nocturnes et leur environnement. À cette occasion, la LPO et ses partenaires encadrent de nombreuses animations au cours du mois de mars : sorties nature, conférences, projections, jeux, ateliers de construction de nichoirs ou de dissection de pelotes de réjection.

Quelles différences y a-t-il entre une chouette et un hibou ? Comment les observer et les protéger ? En compagnie de guides naturalistes qui répondront à toutes les questions, petits et grands pourront partir dès le crépuscule à la rencontre d’espèces au nom poétique souvent plus faciles à entendre qu’à voir telles que la Chouette Hulotte, la Chevêche d’Athéna, l’Effraie des clochers ou le Petit-duc scops, ainsi que d’autres animaux noctambules comme le blaireau, le hérisson, la chauve-souris ou le crapaud.

À travers cet événement, la LPO souhaite aussi alerter sur les menaces d’origine humaine qui pèsent sur ces oiseaux vulnérables : électrocution, chute dans des cheminées, accidents de la route, pollution lumineuse, destruction des espaces naturels ou encore empoisonnement par les pesticides.

Betsara, le spécialiste du ravintsara élu 3 fois meilleurs produit bio

Betsara est une entreprise producteur de ravintsara certifiée bio à Madagascar et qui revend son ravintsara sous sa propre marque BETSARA en France et en Belgique.

Elle a développé des produits étonnant du grand public autour du ravintsara. Bien entendu, elle vend son huile essentielle de ravintsara élue meilleur produit bio 2019 mais elle est aussi précurseur en France de l’infusion de ravintsara qui a été élue meilleur produit bio 2022 en vrac et 2023 en sachet dosette (infusettes).

C’est une belle histoire qui part de l’amitié de 3 amis d’enfance dont un Tahina, franco malgache, né en France qui part devenir producteur de ravintsara sur les terres de ses ancêtres à Madagascar. Rejoint par ses 2 amis de la maternelle (Teddy et Tristan), ils lancent Betsara et la vente direct de sa production en France en 2017.

Aujourd’hui, ils ont développé tout une gamme autour du ravintsara (huile essentielle, infusion, produits cosmétique et complément alimentaire) qui se distribue dans beaucoup de magasins bio et pharmacie en France et en Belgique.

Vous pouvez retrouver tous leurs produits sur leur site internet : https://www.betsara.com et aussi tous les revendeurs en France sur cette carte: https://www.betsara.com/ou-nous-trouver/

L’huile essentielle de ravintsara BETSARA élu meilleur produit bio 2019 est toujours la 8e meilleure note

L’huile essentielle de ravintsara BETSARA élu meilleur produit bio 2019 est toujours la 8e meilleure note au niveau du classement des meilleurs produits bio depuis la création du concours

L’huile essentielle de ravintsara de chez Betsara est la 8e meilleure note au niveau du classement meilleure produit bio depuis sa création.

Dans son numéro spécial meilleur produit bio, circuit bio relate et classifie l’ensemble des produits élues meilleurs produit 2023 et fait le classement des meilleurs notes depuis la création du concours.

C’est avec joie que Tristan, le co-fondateur de Betsara découvre cette position (8e).

« Notre première participation au concours en 2019 grâce à notre tout premier produit, notre huile essentielle de ravintsara bio certifié bio. »

Dernièrement, ce sont les infusions qui étaient sur le devant de la scène, celles-ci ont été élu meilleur produit bio en 2022 en format vrac et en 2023 avec le format infusettes.

Néanmoins c’est grâce à notre huile essentielle de ravintsara, produit très répandu que nous arrivons 8e de ce classement avec la note de 18,37 avec des commentaires :

«  jusqu’à présent je n’aimais pas l’odeur du ravintsara, c’est la première fois que je trouve qu’un ravintsara sent bon. »

 

Tristan revient sur :

« Au commencement nous ne produisions uniquement que de l’huile essentielle c’est notre produit originel. Nous sommes honorés d’être reconnu et d’apparaître dans ce top 10 grâce à ce produit qui est quelque part la genèse de Betsara. »

 

INFOS & ACHAT EN LIGNE

Maisons en sacs de sable

Cette habitation écologique est également économique car les principaux matériaux utilisés pour la construction se trouvent facilement sur place et ont un coût très faible : le sable, la terre, l’argile, la paille et le bois.

Les premiers habitats construits par l’Homme étaient en terre et la construction de maison en terre est, depuis des millénaires, restée d’actualité. De la terre et de l’eau suffisent encore pour fabriquer bon nombre de nos objets usuels (terre cuite, porcelaine, céramique…) et même lorsqu’on y regarde de plus près, plâtre, ciment et béton ne sont que de la terre (plus ou moins transformée) à laquelle on ajoute de l’eau pour obtenir un matériau des plus solides.

Argile, gypse, sable, gravier sont des matériaux naturels inépuisables qu’il est facile de lier ensemble afin d’obtenir des parois de construction que l’on met à la forme et aux dimensions souhaitées. Et si la maison est déjà en sommeil dans la terre du terrain que l’on possède, pourquoi acheter à l’extérieur une construction qu’il suffit d’ériger ?

Source Ouest France

Le père du concept d’EcoDome est Nader Khalili, un architecte américain d’origine iranienne (il a fait ses études en Iran, en Turquie et aux USA), concevait à l’origine des gratte-ciels. Puis, à la suite d’une demande de la NASA, il a élaboré un concept de maison pour les missions spatiales sur la lune, ceci en utilisant le matériau disponible localement : la poussière lunaire. Nader Khalili a passé 5 ans a sillonner en moto les déserts iraniens, aidant les populations locales à construire des maisons en terre et améliorant d’année en année ses recettes (l’Iran est un pays fortement sismique). Il reçoit le prix Aga Kahn d’Architecture en 2004. En 1988, un village expérimental fut construit au nord de Los Angeles, dans une région désertique. Sur les plans environnementaux et socio-économiques, c’est à dire à tous les plans, le concept est franchement génial.

« Je n’ai rien inventé. Toutes les civilisations méditerranéennes ont utilisé la terre sur laquelle elles vivaient pour bâtir (…) Imaginez un monde où tous les réfugiés ont un abri. En plus, cela ne coûte rien », déclare Nader Khalili.

« Les Nations-Unies s’intéressent aussi au principe. Et de fait, le Haut Comité pour les réfugiés (HCR) et le Programme au développement (PNUD) ont envoyé des représentants à Hesperia étudier les réalisations de Nader Khalili, avant de les utiliser pour abriter les réfugiés des tremblements de terre en Iran en 2002 et au Pakistan en 2005. »

 

Construction d’une maternité à Kataffa (à 100km d’Abechè sur la route d’Am Dam au Tchad) avec la technique Superadobe de l’architecte Nader Khalili, pour l’amélioration de la santé de reproduction.

 

Comme dans les églises, la structure en dôme permet, par gravité, le maintien de l’ensemble de la structure. Des constructions droites (avec un toit ordinaire) sont également possibles et sont également très solides.

L’inertie thermique de la construction est très bonne. Idem pour l’isolation thermique (les murs sont épais). Le plastique des sacs empêche les remontées d’eau du sol par capillarité.

En secteurs fortement déboisés (Haïti, Afrique subsaharienne etc.) le concept d’EcoDome apporte un avantage majeur : sa construction ne nécessite pas de bois (pas de charpente).

La construction en sacs de terre est basée sur l’utilisation de sacs remplis de terre et du fil de fer barbelé. C’est très peu coûteux, mais nécessite de la main d’œuvre.

Cette technique de construction naturelle a évolué à partir de la construction militaire des ‘bunkers’ et des méthodes de digues temporaires de lutte contre les inondations. La technique exige des matériaux de construction très simples : sacs solides, remplis avec de la terre et d’autres matériaux inorganiques généralement disponibles sur le site (comme le sable, le gravier, l’argile ou des pierres volcaniques concassées). Les murs sont progressivement mis en place en empilant les sacs en quinconce (comme en maçonnerie).

Les murs peuvent être courbés pour une meilleure stabilité latérale, formant ainsi des pièces rondes et des plafonds en forme de dôme comme un igloo. Pour des bâtiments à parois droites de plus de 5 m. de longueur, il convient d’ajouter des contreforts.

On stabilise l’édifice en plaçant du fil de fer barbelé entre les rangées. On peut aussi utiliser de la ficelle enroulée autour des sacs afin de lier les rangs entre eux, ceci sert à maintenir la structure d’ensemble et la renforcer. Des tiges d’armature peuvent être martelées dans les parois, notamment dans les angles et près des ouvertures.

La structure est généralement finie avec du plâtre, du stuc ou des briques à la fois pour évacuer l’eau et prévenir toute dégradation liée à l’action du soleil. Cette technique de construction peut être utilisée pour des abris d’urgence, des logement temporaires ou permanents, des granges et bien d’autres structures.

 

On peut utiliser divers types de toitures. Les toits en dôme sont des extensions de la paroi qui forment des voûtes ou des coupoles. Les voûtes et les dômes de terre sont très peu coûteux à construire, mais les rendre imperméables est un processus complexe et coûteux dans les régions humides. Il est plus facile de construire des bâtiments rectangulaires et circulaires avec des toits en bois ou en métal dans le style architectural local.

Fenêtres et portes peuvent être formées avec un linteau en maçonnerie traditionnelle ou avec encorbellement ou avec la technique de la brique arcade, généralement pour des formes temporaires. La lumière peut également être introduite par des puits de lumière, des tubes en verre à bouchon, ou des bouteilles qui sont placés entre les rangées de sacs au cours de la construction.

  • Les fondations

Les fondations sont souvent faites de sacs de graviers, ou du ciment armé. Les sacs de terre doivent être placés au moins 15 ou 30 cm au-dessus du sol.(Ce n’est pas le cas pour ceux en ciment) Il est important d’utiliser du ciment près du sol avant d’empiler les sacs de gravier, de sable, ou de terre.

  • Les types de sacs

Le plus populaire est fait de polypropylène tissé, tel que le type utilisé souvent pour transporter du riz ou d’autres céréales. Le polypropylène est choisi pour sa résistance aux dégâts des eaux, à la pourriture et aux insectes.

  • Les Remplissages

On utilise généralement du matériau non organique, mais il est possible d’utiliser des matériaux organiques (comme des balles de riz). Le matériau de remplissage le plus courant est la terre avec de l’argile (entre 5 et 50%). Les sacs de terre compactée forment des unités structurelles, mais ne peuvent résister à un trempage prolongé. Les sacs de sable et de gravier peuvent résister dans des conditions d’inondation prolongée. Mais la plupart du temps, les sacs de sable ne sont pas assez solides sans contreventement temporaire et l’ajout d’une peau structurelle. On peut stabiliser la terre avec du ciment, de la chaux ou du bitume pour renforcer l’étanchéité et la solidité (ce n’est pas nécessaire pour le plâtre structurel).

Les propriétés d’isolation thermique sont importantes dans les pays qui connaissent d’importantes variations de température. La roche volcanique concassée, la pierre ponce ou de riz, les coques ont de très bonnes valeurs d’isolation (meilleures que l’argile ou le sable). Mais il ne faut pas utiliser des matières organiques putrescibles ou biodégradables pour les murs porteurs. On peut les utiliser comme remplissage entre des postes. À défaut de gravier léger, on peut utiliser des déchets en plastique comme isolant de remplissage dans les sacs de terre.

Les propriétés de masse thermique du matériau de remplissage sont importantes pour les climats qui connaissent de fortes variations de température chaque jour. Les murs de terre massifs idéal sont une solution idéale pour les climats doux grâce à l’effet d’inertie. La terre ou le sable ont d’excellentes propriétés de rétention de la chaleur, et lorsqu’il l’isolation l’extérieure de la maison est bien faite, ces matériaux sont une bonne solution pour des bâtiments solaires passifs dans les climats froids.

  • Le plâtre

Quand le remplissage contient beaucoup d’argile, les plâtres faits avec de la chaux ou seulement de la terre sont meilleurs. Un mur de terre doit respirer et se dessécher, en particulier dans les climats où les températures descendent en-dessous de zéro.

Dans les climats chauds, on peut utiliser du stuc de ciment. Le stuc de ciment est une bonne solution sur de la terre stabilisée près du sol : la pluie s’infiltre à l’intérieur puis reflue.

Mais, souvent les plâtres de chaux ou de terre sont la meilleure finition. Le ciment est trop rigide et ne se dilate ni ne se contracte pas comme un mur de terre. On peut commencer la finition avec de la terre et utiliser de la chaux par-dessus. De plus, il est plus facile de réparer la chaux.

  • Renforcement pour les zones à risques

Tout d’abord, choisir un emplacement solide pour le bâtiment. La forme régulière de la structure et l’écartement des parois sont deux critères importants. Des normes internationales existent pour des contreventements pour la construction en terre dans différents types de zones à risques sismiques. Il arrive que l’on utilise des contreforts renforcés de ciment avec ancres de mortier ainsi que du barbelé renforcer la solidité des bâtiments publics dans les zones à risque sismique.

Il faut renforcer les angles avec du fil barbelé et utiliser un maillage de filet de pêche en nylon sous le plâtre. C’est important de protéger les sacs des rayons du soleil avec du plâtre rapidement. Autre impératif : finir le mur en haut avec une poutre de liaison en ciment armé.

Comme avec les murs géotextiles de soutènement, une construction en sacs de terre bien réalisée peut résister à des tremblements de terre en raison de sa flexibilité.

À terre crue, le pisé, la terre cuite (brique) possèdent des qualités tout à fait remarquables, notamment, au niveau de leur inertie thermique de 12h (ce qui amortit les variations de température). Les caractéristiques d’isolation thermiques de la terre plutôt moyennes (lambda = 0,850) peuvent être améliorées par l’ajout d’isolants comme la paille ou les copeaux de bois pendant la construction.

Angélina a sauté le pas de l’auto-construction et a construit sa maison avec des sacs de sable pour un total de 5000 euros. Les avantages de la construction en sacs de sable sont nombreux. En plus d’être une habitation très solide, la maison en sacs de sable est une maison alternative qui résiste au feu et aux tremblements de terre. Nul besoin de s’y connaître dans la construction et nul besoin d’un architecte, tout le monde peut se lancer dans l’aventure de l’auto-construction de cette maison de sacs de sables.

Lorsque la jeune femme a commencé à bâtir sa maison, il n’y avait ni eau ni électricité sur le terrain. Angélina a installé des panneaux solaires ainsi que des toilettes sèches.

Elle explique qu’en faisant le choix d’être autonome, le plus difficile est de trouver de l’eau. Avec un peu d’ingéniosité, on peut très bien vivre sans électricité. Elle a, par exemple, remplacé le réfrigérateur par des pots en terre partiellement enterrés. Pour l’eau, elle a creusé un puit et elle récupère l’eau de pluie.

Rechercher :

Sacs en polypropylène : Les sacs en polypropylène tissé sont l’alternative aux sacs plastiques utilisée principalement par la grande distribution. Ils sont composés de fines lamelles entrecroisées de 2 à 3mm d’épaisseur pour former des petits carrés. Ces sacs sont connus pour leur résistance et leur solidité qui est assurée par l’apposition d’une couche de plastique (BOPP) par-dessus le maillage. Ces sacs sont alors solides, étanches et lavables ce qui a su convaincre une large majorité.

Toilettes sèches : Les toilettes sèches, aussi appelées toilettes à compost, toilettes à litière (sèche) ou TLB (toilettes à litière biométrisée), sont des toilettes qui n’utilisent pas d’eau. L’intérêt d’assainissement écologique est de récupérer les excréments pour une valorisation séparée ou non, pour en faire du compost ou de la biométhanisation. L’urine séparée à la source sert alors d’engrais plus directement assimilable par les cultures sous conditions.

Panneaux solaires : ?Le Gouvernement débloque des moyens considérables (plus de 9 milliards d’euros) pour soutenir les Français et les accompagner dans leur prise d’autonomie ! 
Votre installation est financée par le plan d’État 2023. Pensez aux économies colossales réalisées sur vos factures !

L’installation de panneaux solaires photovoltaïques peut s’avérer très intéressante pour réduire sa facture d’électricité. Sur le long terme, elle peut se convertir en levier de pouvoir d’achat. Toutefois, elle représente un investissement non négligeable au 2 juil. 2022.

Au 1er trimestre 2021, Enedis comptait plus de 100 000 clients raccordés en autoconsommation voltaïque. Ils étaient seulement 3 000 en 2015. L’installation de panneaux solaires en toiture séduit de plus en plus de ménages. Face à l’augmentation des prix de l’électricité et pour favoriser l’indépendance énergétique de la France, selon un sondage IFOP de 2022, 69 % des consommateurs affirment être disposés à installer des panneaux solaires photovoltaïques chez eux. 

 

Chauffe-eau solaire : Le chauffe-eau solaire permet de capter la lumière du soleil et ensuite de réchauffer l’eau que vous pouvez utiliser dans votre logement pour l’eau sanitaire.

Le chauffe-eau solaire est composé de 3 équipements :

  • Un panneau thermique, qui capte le soleil et est placé sur le toit
  • Un réservoir pour stocker l’eau chaude
  • Les accessoires, pour transposer l’énergie solaire entre le panneau thermique et le réservoir. Comme une pompe ou un circulateur ou bien un régulateur thermique

Créez votre propre maison écologique grâce à des briques en bois

Grâce à Brikawood, une société française basée dans l’Ariège, construire sa maison devient un jeu d’enfant et sans vous ruiner. 

Ces maisons sont vendues en kit, et en plus de s’assembler facilement, elles sont très design et respectueuses de l’environnement. Cette société a créé des briques à partir de bois, il fallait y penser! Grâce à ces briques, l’assemblage devient un jeu d’enfant puisqu’il n’y a besoin d’aucun outil, ni de colle ! Vous pouvez construire votre propre maison en quelques jours à peine à un prix défiant toute concurrence.

En plus de proposer des maisons en kit très design, elles sont également très écologiques. Les maisons en briques de Brikawood, ont testées dans certains pays comme le Canada et la Finlande, où les températures peuvent être très rudes, et elles se sont révélées très performantes en matière d’isolation.

Brikawood récupère tous les copeaux de bois qu’il met dans les briques pour boucher les trous. Cela permet d’offrir une très bonne étanchéité à l’air.

Une maison en briques en bois comme celle-ci coûte environ 25 000€, pas de quoi s’en priver!

Cependant vous pouvez choisir les options que vous souhaitez ainsi que la taille que vous désirez.

18es Rencontres la Vie Autrement à Grimaud. Tout un programme !

Un événement annuel dont le but principal est de sensibiliser aux alternatives pour une vie plus saine, au travers de l’agriculture biologique et locale, et un mode de vie axé sur la sobriété : habiter, consommer et produire en respectant l’environnement sont les valeurs de base.

Ce rendez-vous a lieu pour la 18e fois à Grimaud (Var), les 18 et 19 mars, et regroupe sur deux jours plus de 60 exposants sélectionnés pour leur engagement en faveur du Bio ou du développement durable. Au-delà de l’aspect mercantile, la force de cet événement est de rassembler des acteurs économiques sur les sujets phares que nous défendons : Plus de 20 conférences et autant d’ateliers participatifs, ainsi que des échanges éducatifs sur le thème 2023 : « Habiter Demain ».

 

Notez déjà plusieurs éléments phares lors de ces Rencontres

Tout le week-end : La présence d’une scierie mobile : Loïc Freyssinet (Farfadets Wood). Nous ferons deux jours de démonstration de coupe de bois en direct ; il sera possible de l’acheter sur place !

Samedi 18 mars : La présence du Repair Café du Golfe de Saint-Tropez : Un groupe de bénévoles qui répare en direct et gratuitement tout ce que les gens apportent, luttant ainsi contre l’obsolescence programmée !

À 11 h 15, en salle de conférence : Une table ronde impliquant 5 collectifs du Var autour de l’habitat partagé : Éco-Habiter demain, est-ce une solution d’avenir et comment cela fonctionne ? 5 groupements du Var installés en écolieu viendront parler de leur expérience et répondre aux questions du public. Une exposition des photos de Jean Belvisi, intitulée In’Habitat, complétera le tableau.

Samedi à 18 h 00 : Projection du film Irréductibles, en présence du réalisateur Olivier Dubuquoy. Un débat suivra autour du thème de ce film : La bataille écologique est-elle perdue d’avance ?

Dimanche 19 mars : Présence du collectif Les Alchimistes, qui viendra nous éduquer au compost fertile et proposera des ateliers de créations de boules de graines à fleurs.

À 17 h 15 le samedi et 11 h 15 le dimanche : Communiquer avec son animal de compagnie : est-ce possible ? Géraldine et Élisabeth ont été formées à la communication animale par Shaina Lebeau et proposent à ceux qui le souhaitent de venir avec leur animal de compagnie pour lui poser une question… et obtenir une réponse ! Cet atelier se déroulera en extérieur du gymnase.

Le programme est riche de nombreuses autres conférences sur divers thèmes liés à l’habitat de demain, mais aussi au mieux-être et à la santé naturelle.

 

+ D’INFOS

 

Tout le programme, en cliquant ici

Programme La Vie Autrement 2023(HD)

Comment faire du numérique éco-responsable

Le numérique est une industrie qui utilise beaucoup d’énergie, avec une empreinte carbone importante. Cependant, il est possible de faire du numérique éco-responsable en adoptant des pratiques qui minimisent l’impact environnemental. Voici quelques idées pour faire du numérique éco-responsable :

  1. Opter pour des data centers éco-responsables : les data centers sont les infrastructures qui hébergent les données et les serveurs informatiques. Les data centers éco-responsables utilisent des sources d’énergie renouvelable, comme l’énergie solaire ou éolienne, pour alimenter leurs serveurs et leurs équipements.
  1. Réduire la consommation d’énergie : en éteignant les équipements informatiques lorsque vous ne les utilisez pas, en réduisant la luminosité de votre écran ou en adoptant des modes de veille efficaces, vous pouvez réduire la consommation d’énergie de vos appareils numériques.
  1. Favoriser le recyclage : le recyclage des équipements électroniques permet de récupérer les matières premières et les métaux présents dans les appareils, ce qui contribue à la préservation des ressources naturelles. Vous pouvez faire recycler vos équipements électroniques en les déposant dans des points de collecte ou en les renvoyant aux fabricants.
  1. Adopter des pratiques éco-responsables dans votre travail : en réduisant la taille de vos fichiers, en privilégiant les réunions en ligne plutôt que les déplacements, en utilisant des logiciels économes en énergie, vous pouvez contribuer à réduire l’impact environnemental de votre activité numérique.
  1. Sensibiliser les autres à l’écologie numérique : vous pouvez partager des astuces éco-responsables avec votre entourage, vos collègues ou vos partenaires pour promouvoir des pratiques respectueuses de l’environnement dans le numérique.

En somme, il est possible de faire du numérique éco-responsable en adoptant des pratiques responsables et en sensibilisant les autres à l’écologie numérique. Chacun peut contribuer à réduire l’impact environnemental de l’industrie numérique en faisant des choix éclairés et en adoptant des pratiques éco-responsables.

 

Un monde numérique inclusif, équitable et respectueux de l’environnement

Cette année, le 8 mars 2023, la journée internationale des droits des femmes sera placée sous le thème du digital : « Pour un monde digital inclusif: innovation et technologies pour l’égalité des sexes* ».

Photo d’illustration : Fonds d’affectation spéciale des Nations Unies/Phil Borges

 

L’égalité des sexes dans le monde numérique

Dans le monde actuel, le numérique est devenu incontournable. Les innovations technologiques ont radicalement transformé la manière dont nous communiquons, travaillons, nous divertissons et vivons en général. Cependant, ces avancées ont également créé de nouvelles inégalités, notamment entre les sexes. Il est donc important de promouvoir un monde numérique inclusif, équitable et respectueux de l’environnement.

 

L’innovation technologique pour l’égalité des sexes

Les innovations technologiques peuvent être utilisées pour combattre la violence sexuelle et la discrimination, faciliter l’accès des femmes aux soins de santé, à l’éducation et à l’emploi, et favoriser la participation des femmes dans les processus de prise de décision. En effet, la population qui n’a pas accès à Internet aujourd’hui est pauvre, rurale, âgée et féminine : femmes et filles constituent la majorité des quelque 3,7 milliards de personnes non connectées dans le monde. (source Nations Unis)

À titre d’illustration, le secteur du numérique en Afrique est en plein essor. Toutefois, malgré les avancées notables, les femmes africaines ne semblent pas bénéficier de ces développements sur un pied d’égalité. Un des derniers rapports d’Afrobarometer tire la sonnette d’alarme : l’écart entre les sexes pourrait, en fait, s’élargir.* Une enquête menée dans 34 pays africains montre que les femmes sont moins susceptibles que les hommes d’utiliser un téléphone portable tous les jours, d’avoir des téléphones avec accès à Internet, de posséder des ordinateurs, de se connecterrégulièrement à Internet, ou de suivre les nouvelles à travers Internet ou les médias sociaux.

 

Le numérique éco-responsable

Les technologies numériques consomment une quantité considérable d’énergie et ont un impact écologique important. Il est donc essentiel de développer des solutions numériques écoresponsables qui minimisent ces répercussions. Les entreprises peuvent opter pour des data centers écoresponsables, l’utilisation de sources d’énergie renouvelable et la réduction de la consommation d’énergie. Les consommateurs peuvent également contribuer à un monde numérique écoresponsable en utilisant des appareils économes en énergie et en adoptant des pratiques responsables, telles que l’envoi d’e-mails et de pièces jointes de taille réduite, la suppression de fichiers inutiles et le recyclage des équipements électroniques.

 

En conclusion, un monde numérique inclusif, équitable et respectueux de l’environnement est essentiel pour encourager l’égalité des sexes et le développement durable. Pour y parvenir, il est important de réduire la fracture numérique entre les sexes, de promouvoir des outils digitaux écoresponsables et d’utiliser l’innovation technologique. Cela peut être réalisé en travaillant ensemble, en sensibilisant l’opinion publique et en mettant en place des politiques et des programmes qui favorisent l’égalité des sexes et la durabilité environnementale dans le monde numérique.

4 raisons d’opter pour des enzymes dans les produits d’entretien ménager

Contrairement aux produits d’entretien classiques, l’empreinte laissée par les produits ménagers enzymatiques dans l’environnement est ultra-positive, et cela à court ET long termes. 

 

1/ Le processus d’action est naturel

Les produits classiques ont une action détergente, c’est-à-dire qu’ils déplacent les salissures vers les eaux de rinçage, puis vers les stations d’épuration.

Les produits enzymatiques ont, en revanche, une action catalytique : ils découpent les salissures et les fragmentent en particules solubles dans l’eau de façon irréversible et facilement assimilable par la nature.

C’est ce que l’on appelle la catalyse enzymatique : les enzymes accélèrent des réactions chimiques, qui auraient pu prendre, à défaut, des centaines ou des milliers d’années. Elles jouent un rôle, entre autres, dans le métabolisme digestif, la reproduction, la transcription de l’information génétique, etc. Mais aussi dans la fermentation du yaourt et de la pâte à pain, par exemple.

 

2/ La diversité des fonctions est étendue

On vous explique… Toutes les enzymes sont morphologiquement programmées pour découper une molécule ciblée jusqu’à la dissoudre complètement. Par exemple, les cellulases vont détruire les fibres du papier, les lipases vont solubiliser les graisses, etc. Il existe autant de sortes d’enzymes que de molécules organiques.

Et, bonne nouvelle, en élaborant des formulations de produits adaptées à tous les types de microparticules, des scientifiques de l’université de Portsmouth (Angleterre) ont découvert une enzyme capable de désintégrer des molécules de polyéthylène téréphtalate (PET), un polymère de synthèse utilisé dans la composition de la plupart des bouteilles en plastique.

 

3/ Eau et énergie sont économisées

Les catalyseurs enzymatiques ont déjà ciblé et désintégré une partie des saletés en amont. Les salissures fragmentées par les enzymes sont ainsi rincées avec une quantité d’eau beaucoup plus faible que pour un nettoyage avec un produit réactif classique.

Ils induisent aussi une économie d’énergie, par exemple pour les lessives, où leur présence permet des lavages à des températures beaucoup plus basses.

Et ce depuis le moment de leur fabrication, le procédé de fermentation favorable au développement des enzymes rejetant moins de CO2 que la fabrication de produits détergents classiques.

 

4/ L’impact écologique est positif et durable

L’usage de produits ménagers aux enzymes allège notre empreinte dans la nature de manière significative : les enzymes poursuivent leur mission dans nos canalisations, nos fosses septiques, nos stations d’épuration, dont elles améliorent le rendement, et, enfin, dans nos rivières, où elles continuent de nettoyer là où elles passent.

Par ailleurs, l’efficacité méconnue de la catalyse enzymatique dispense de l’usage de phosphates, de chlore, de parabens, ou encore de parfums de synthèse.

Certifié Ecocert et engagé depuis plus de 30 ans dans l’entretien ménager enzymatique, Arcyvert propose des produits d’entretien enzymatiques durables et écologiques entièrement biodégradables et sans aucun effet toxique pour l’utilisateur, la faune et la flore

Les conservateurs utilisés dans les produits sont autorisés par le label Ecocert et inoffensifs pour la santé. À la place du parfum, des huiles essentielles sont ajoutées.

À retrouver ici

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