Les filières équitables à défendre pour une rémunération juste !

Les petits producteurs survivront-ils ?
Les filières équitables à défendre pour une rémunération juste !

« Petits producteurs » est un terme qui est entré dans le langage courant pour désigner des agriculteurs indépendants, propriétaires de parcelles cultivées dont ils dépendent majoritairement pour subvenir à leurs besoins. Pourquoi poser la question de leur survie à moyen terme ? Y a-t-il des raisons concrètes de s’inquiéter au sujet de la pérennité d’un modèle agricole vertueux qui sécurise dans le temps les filières paysannes ? Les petits producteurs survivront-ils non seulement aux crises économiques et environnementales, mais aussi aux exigences des marchés occidentaux ? Les données éthiques et économiques peuvent-elles être compatibles ? Le modèle proposé par le commerce équitable apporte une réponse incontestable à ces questions et, plus que jamais, ouvre des perspectives pragmatiques et transparentes pour construire un monde plus juste.

Des gens comme vous et moi

Les produits que nous consommons ne sont que l’aboutissement du travail d’un nombre considérable de personnes qui constituent les parties prenantes d’une filière. Agriculteurs et leurs familles, coopératives ou groupements de producteurs, exportateurs, importateurs, transformateurs, distributeurs, magasins détaillants, consommateur final, la liste est longue ! Ce que l’on peut espérer de mieux est que ces acteurs s’intègrent dans une chaîne de solidarité fondée sur des partenariats qui protègent et valorisent la place, le travail et les droits fondamentaux de chacun tout en préservant notre planète.

C’est à ce stade qu’intervient la notion de commerce équitable : le paysan n’y est pas une figure de l’ombre et la défense de ses intérêts y constitue une priorité. Pourtant, même si le rôle du producteur est essentiel en amont, car, sans lui, absolument rien ne serait possible, il est indéniablement le plus oublié et, de surcroît, il est souvent le plus vulnérable !

N’oublions pas que derrière le sucre, le café, le cacao et bien d’autres matières premières, il existe des gens comme vous et moi qui travaillent et luttent pour avoir un niveau de vie décent, qui rient et pleurent, souffrent et espèrent ; ils méritent, comme tout un chacun, de se loger correctement, d’envoyer leurs enfants à l’école, d’avoir accès à des soins ou, tout simplement, de vivre dignement.

Cette réalité mérite d’être rappelée car elle est inscrite d’une manière invisible dans un paquet de riz ou une tablette de chocolat…

Le commerce équitable : un modèle économique global

Le commerce équitable n’est pas réservé qu’aux pays du sud. En Europe, la notion de commerce équitable prend aussi de l’ampleur et l’on ne peut que s’en féliciter ; car, en encadrant la planification et la sécurisation dans le temps des prix et des quantités, il est possible de valoriser les filières paysannes en tenant compte de nombreux paramètres qui, s’ils étaient écartés, engendreraient toujours plus de précarité. Les critères environnementaux font également partie des points de contrôle, cela va sans dire !

Il faut souligner que, pour une transparence totale, chaque partie prenante doit être identifiée et contrôlée : ainsi, une filière équitable est constituée d’acteurs qui doivent tous rendre des comptes et être en conformité avec un cahier des charges, que l’on nomme un référentiel.

C’est, entre autres, grâce à ces contrôles et à cette transparence qu’un commerce équitable digne de ce nom préserve les intérêts des producteurs, souvent mis à mal par des négociants locaux peu scrupuleux.

Les « prix bas » sont-ils rémunérateurs ?

Voici concrètement l’objet d’une de nos inquiétudes car il faudrait substituer à la notion suspecte de « prix bas » (tout comme celle de « prix élevé », qui est contre-productive et ne bénéficie qu’à quelques-uns), la notion de « prix juste », à savoir un prix rémunérateur pour l’ensemble des acteurs. C’est à ce niveau qu’un paradoxe économique majeur se révèle : comment harmoniser la demande légitime des consommateurs d’acheter le moins cher possible avec celle d’une rémunération juste pour les petits producteurs ?

Dans un souci de cohérence globale, il est utile de s’interroger sur la compatibilité entre, d’une part, un travail d’accompagnement et de soutien aux paysans indépendants, demandant aux marques engagées dans le développement de filières de gros efforts administratifs et financiers, et, d’autre part, une approche du marché reposant sur la concurrence et la compétitivité.

Il faut donc s’assurer que les prix pratiqués ne soient pas élaborés en sacrifiant la rémunération des producteurs ni la santé financière des différentes parties prenantes, qui, en contractualisant et s’engageant sur le long terme, participent à la pérennisation de leur travail et de leurs conditions de vie.

Les petits producteurs victimes du climat

Nous voilà au cœur d’un autre débat, complexe et source de nombreuses polémiques : le conflit entre le local et l’international. Là encore, il faut se garder de faire trop de généralités. Savez-vous que les produits transformés locaux ont souvent un impact carbone plus élevé que des matières premières brutes importées ? Que le bilan carbone d’1 kg de bananes importées de Martinique est de 480 g, alors que celui d’1 kg de viande de bœuf français culmine entre 10 et 18 kg de CO2 ?

Il est courant de trouver sur des forums des commentaires virulents contre certains produits alimentaires d’importation, notamment issus du commerce équitable, écrits sur des téléphones ou des ordinateurs fabriqués en Chine ! Difficile de se frayer un chemin devant tant de contradictions, alors même que les inquiétudes pour notre planète sont plus que jamais légitimes.

Les filières de petits producteurs construites sur des modèles économiques équitables, reposant sur l’agriculture biologique préservant, de surcroît, la biodiversité, sont des modèles bien plus vertueux qu’on ne l’imagine. Elles permettent aux agriculteurs de ne pas vendre leurs terres, leur évite d’aller nourrir la misère urbaine résultant de l’exode rural, tout en préservant leur environnement. On ne peut que déplorer que les changements climatiques provoquent de la misère, mais il faut savoir que l’inverse est tout aussi vrai.

Information, communication, responsabilisation

Tous nos actes d’achat impliquent notre responsabilité car, selon les cas, ils valident et renforcent tout autant une approche éthique des relations commerciales que l’exploitation du plus faible par le plus fort. Il n’y a pas de remède miracle et 2 axes se dessinent, de toute évidence, pour décider quelle approche sera priorisée : les consommateurs doivent s’informer, et les marques doivent communiquer sur les moyens mis en oeuvre pour préserver la dignité et l’intégrité des producteurs auxquels elles achètent leurs matières premières.

L’agriculture biologique et le commerce équitable constituent assurément des secteurs qui préservent notre planète et ceux qui cultivent la terre pour nous nourrir. Lorsqu’ils s’associent en un mariage heureux, c’est une démarche de progrès environnemental et social qui en résulte, pour un monde meilleur !

Essayez cette toute nouvelle famille de condiments bio !

Pour cuisiner vite et bien, les Sauces au Carré® sont idéales pour les cuisiniers pressés qui veulent manger sain. Quatre recettes réfléchies avec soin : Curry Japonais, Curry Thaï vert, Curry Indien Madras et Béchamel, qui possèdent une haute valeur nutritionnelle et permettent de réaliser un vrai plat cuisiné en quelques minutes.

Sans huile de palme, sans exhausteurs de goût, à teneur réduite en sel, vegan et sans gluten !

Pour les utiliser, c’est tout simple : tous les ingrédients dans la casserole + Sauce au Carré = on laisse la magie opérer !

 

Voir les recettes :

Crevettes pimentées à la coco

Curry de cabillaud à l’indienne

Curry végétarien

Rubrik’ à trucs Spécial Miam

Conserver ses herbes aromatiques

Pour faire sécher vos herbes fraîches, lavez-les d’abord à l’eau et laissez-les sécher naturellement. Faites-en ensuite de petits bouquets, que vous laisserez pendre par les tiges, tête en bas, dans un endroit sombre et sec. Lorsque vous estimez que les herbes sont suffisamment sèches, stockez-les dans des bocaux en verre pour les conserver.

Rafraîchir les bouteilles

En cette période de fêtes, voici une astuce pour rafraîchir plus rapidement vos bouteilles de champagne ou de vin : ajoutez une poignée de gros sel dans la glace du seau à champagne et faites-y tremper la bouteille.

Recyclez les restes d’huîtres

S’il vous reste des huîtres fraîches après le repas et pour éviter de les jeter, détachez- les de leur coquille et mettez-les au congélateur. Vous pourrez ensuite les paner et en faire de savoureuses bouchées frites.

Relever le goût du café

Si un café est un peu fade, ou simplement pour relever son goût, ajoutez une pincée de cannelle dans le café moulu juste avant qu’il ne passe dans le filtre. Il sera bien meilleur.

Éviter que les glaçons collent

Pour éviter que vos glaçons collent entre eux avant que vous ayez eu le temps de vous servir, disposez- les dans un récipient avec un peu d’eau gazeuse.

Dégraisser un potage

Votre potage est un peu trop gras ? Pour le dégraisser facilement, il suffit de mettre une feuille de salade à la surface du potage (hors du feu). Cette dernière va attirer le gras, que vous pourrez ensuite récupérer avec une louche ou autre ustensile approprié.

Bon à savoir : la cannelle diminue l’acidité d’une sauce tomate. Pour ce faire, versez une pincée de cannelle dans votre sauce tomate lorsqu’elle mijote. Si vous êtes sujet aux acidités gastriques, ne vous en privez pas !

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Cuisine de fêtes : 5 conseils judicieux pour un Noël plus vert

Chaque année c’est pareil, Noël approche et revient le casse-tête du repas pour célébrer ce jour en famille. Et nous sommes tous passés par là. Du désir d’une table magnifique à l’envie de titiller les papilles de nos convives, nous sommes évidemment attirés par des plats aux couleurs vives et chatoyantes, aux saveurs inattendues et une décoration de table aux allures de fête. Pourtant, même à Noël, l’impact de nos choix sur la planète continue… C’est pourquoi Treedom, la première plateforme au monde qui permet de planter et d’offrir un arbre à distance, divulgue 5 astuces faciles pour un Noël merveilleusement festif, surprenant… et tellement écologique !

 

1- Une alimentation locale et saisonnière

Ces étagères débordant de fruits et légumes multicolores cachent parfois un secret… Des mangues péruviennes aux avocats sud-africains, de nombreux produits ont fait des voyages incroyablement longs, avec un impact sur l’environnement. Alors préférons autant que possible les produits saisonniers et locaux. Clémentines, mandarines et oranges ou encore châtaignes et marrons sont bien de saison, produits en France et ils orneront merveilleusement nos tables de Noël ! Nous contribuerons ainsi à réduire les émissions de CO2 et à diversifier notre alimentation. En plus, les asperges de saison ont meilleur goût !

 

2- Pas de viande pour un Noël résolument remarquable

Bien sûr, un Noël sans viande peut paraitre être une idée saugrenue. Pourtant, quand on sait que la production de viande est largement considérée comme un facteur de stress majeur pour de nombreux écosystèmes et pour la planète dans son ensemble, on peut y réfléchir. D’autant que pour Noël, les quantités produites sont plus importantes pour faire face à la ruée des consommateurs sur ce type de produits. Alors si on ne peut imaginer passer le réveillon sans cuisiner le traditionnel chapon ou déguster notre si délicieux foie gras, il est certain qu’on peut vraiment étonner et régaler ses convives en proposant un repas végétarien. Et c’est surtout un excellent moyen de participer à la réduction de notre empreinte carbone et commencer à changer nos habitudes et nos coutumes si délétères pour la planète !

 

3- Bouteilles en verre ou eau du robinet… sinon rien

Fini bouteilles en plastique ! La réduction de l’utilisation des plastiques est une étape importante pour la conservation et la santé de nos écosystèmes et de nos océans, car de nombreux types de plastiques ne peuvent pas être entièrement recyclés. Boire l’eau du robinet, même à Noël, ou acheter de l’eau en bouteilles en verre, réutilisables en carafe par exemple – mais surtout recyclable – permet d’économiser de l’énergie et de limiter le gaspillage. D’autant qu’il en existe de magnifiques proposées en cette période de fêtes qui décoreront merveilleusement notre table de Noël… mais aussi de tous les jours !

 

4- Du bio, du bio… du bio

Les aliments biologiques sont produits en accordant une attention particulière à l’environnement. Encore mieux lorsqu’ils sont produits à partir de ressources renouvelables, en préservant le sol et l’eau et en évitant les antibiotiques, les hormones de croissance et les pesticides. C’est pourquoi ces aliments peuvent souvent être légèrement plus chers que les produits classiques – mais leur choix peut avoir des répercussions bien au-delà de votre portefeuille. Noël n’échappe pas à la règle et le festin n’en sera que plus goûteux !

 

5- Rincer et réutiliser les bocaux

Après la fête, on peut encore agir ! Il suffit de laver les pots de sauces tomates, de confitures, d’olives ou de Nutella – et ça fonctionne aussi ! Une alternative écologique au Tupperware ! Les bocaux resservent ensuite pour réaliser nos propres confitures ou conserver nos légumes longtemps, mais aussi pour y loger pâtes ou biscuits ou encore y transporter des salades fraîches pendant l’été. Un petit conseil de notre cuisinier Treedom : pour garder les feuilles fraîches, mettre la sauce à salade dans le fond du pot – au moment de déjeuner il suffira de secouer ! Mais attention, avec le bouchon fermé !

 

Climate Justice « Let’s do it fair! »

Solidar’Monde part en campagne
pour sensibiliser les Français à une consommation plus responsable et équitable

Aujourd’hui, la crise climatique est devenue une priorité pour tous. Elle est dans toutes les conversations, de tous les programmes et de toutes les intentions. Mais beaucoup reste encore à faire pour changer les mentalités et les habitudes de consommation de chacun d’entre nous pour permettre une VRAIE transition écologique efficace et durable mais surtout équitable.

À l’approche de la COP26 qui se tiendra à Glasgow en novembre prochain, le sujet du changement climatique est encore plus brûlant. Car nous en connaissons tous les effets néfastes et dévastateurs : sécheresses, inondations, augmentation des catastrophes naturelles, mauvaises récoltes, réduction de la biodiversité… comme le relate le dernier rapport du GIEC publié le 9 août dernier. Tous ces impacts mettent en jeu l’existence même de l’humanité. Car cette crise n’est pas purement environnementale. Elle est également sociale.

La campagne Climate Justice « Let’s do it fair ! », menée de concert par les membres de l’EFTA (European Fair Trade Association) dont Solidar’Monde fait partie, a vocation à sensibiliser les Européens et les Français vers un engagement fort pour une transition écologique plus équitable et durable.

À travers 4 vidéos engagées, Solidar’Monde appelle les consommateurs à faire leur part en passant à une consommation positive et responsable, respectueuse de la planète et socialement juste.

Climate Justice, une campagne pour faire des choix clairs et engagés

Poursuivre la justice climatique signifie rendre la transition écologique plus équitable, c’est-à-dire qu’en plus d’agir sur les causes de la crise (telles que les émissions de carbone), il est impératif de rééquilibrer la répartition de ses conséquences.

Car soyons honnêtes ! Ce sont les pays en développement qui impactent le moins sur le changement climatique, mais ceux sont eux qui en souffrent le plus !

Ce sont eux qui subissent de plein fouet la météo capricieuse, les hausses de températures et les changements de saisons qui impactent durement leurs cultures et affament les populations. Il n’y a donc pas de justice climatique sans justice sociale.

Comment utilisons-nous les ressources de notre planète, comment produisons-nous mais également comment consommons-nous, nous déplaçons-nous, à quelles technologies donnons-nous la priorité ? Cette campagne appelle donc chacun à faire des choix clairs, à pousser les citoyens et les consommateurs à s’engager, les entreprises à être plus responsables… pour rendre la justice climatique, pour réduire la pauvreté et les inégalités et opérer une transition écologique, durable, solidaire et équitable.

Le commerce équitable, pour un commerce au service de la justice climatique

Le commerce équitable est une réponse à la crise climatique et contribue à la solution. Il favorise une plus grande équité en permettant de meilleures conditions commerciales et de travail aux producteurs. En construisant un modèle économique mondial plus juste et en replaçant l’humain et la biodiversité au centre des préoccupations, le commerce équitable permet aux producteurs de vivre décemment de leur travail et d’être acteurs de leur modèle de développement.

C’est pourquoi il est primordial de mettre en place les bonnes pratiques et d’engager rapidement les entreprises à produire de façon responsable et de convaincre les consommateurs à acheter des produits issus du commerce équitable, pour réduire les inégalités mondiales.

C’est la mission de Solidar’Monde : sélectionner, importer et commercialiser des produits artisanaux, alimentaires et cosmétiques du commerce équitable. Ces produits proviennent de pays en développement et sont commercialisés selon les principes d’équité et de solidarité, avec pour objectif d’améliorer les conditions de vie des producteurs. Car c’est aussi en réduisant les inégalités et la pauvreté, que nous pourrons faire avancer la planète et rendre une justice environnementale et sociale.

Cette action entend rappeler l’importance d’intégrer la justice sociale et économique aux réponses à la crise climatique.

Dans le cadre de cette campagne de sensibilisation, tous les réseaux de boutiques Artisans du Monde, mettront en avant des produits équitables sur des étagères de présentation (chocolat bio Fairafric, capsules de café compostables…) pour sensibiliser et engager au quotidien les consommateurs à agir pleinement pour un commerce plus propre, plus respectueux de l’environnement et plus équitable.

Un mini site web a aussi été créé pour l’occasion, retrouvez toutes les informations ici : https://www.boutique-artisans-du-monde.com/climatejustice

Salon Marjolaine 2021

Du 6 au 14 nombre 2021.
Pour Marjolaine, c’est donc le moment ou jamais de partir en campagne pour promouvoir une consommation responsable.

UN MANIFESTE QUI FAIT RIMER HEUREUX ET VERTUEUX

Du 6 au 14 novembre, pendant 9 jours, Marjolaine présentera donc son Manifeste construit autour de 9 thématiques : défendre l’agriculture bio et paysanne, protéger le vivant, les sols, la biodiversité, reconstruire une économie locale et solidaire, mettre en valeur les savoir-faire artisanaux et les pratiques oubliées, développer l’économie circulaire, le recyclage, le zéro déchet, l’anti-gaspillage, maîtriser les énergies, vivre heureux en sobriété, être solidaire, innover, penser et agir autrement et ainsi résister au statu quo. Chacun de ces objectifs est accompagné de propositions concrètes. Car il faut faire bouger les lignes. Les Français sont d’ailleurs prêts à s’engager dans ce sens et ils le montrent. De nombreuses études prouvent que la crise sanitaire a catalysé la tendance à « mieux consommer » et à choisir la bio, les circuits courts, les engagements éthiques et équitables… La semaine du 15 mars 2020, lors de l’entrée en vigueur du confinement, selon l’Institut Nielsen, la bio a ainsi enregistré une hausse de 63 % par rapport à 2019 contre 40 % pour le conventionnel. Un sondage OpinionWay pour Max Havelaar a également pointé que, durant cette période « d’enfermement », les deux-tiers des Français ont opté pour « le responsable  ». Sur l’année 2020, ils ont d’ailleurs été 15 % de nouveaux consommateurs à ajouter des produits labellisés bio dans leur panier de courses ; les 3/4 des Français en consomment au moins une fois par mois et 13 % tous les jours (baromètre annuel de l’Agence Bio, paru en mars 2021).

AU CŒUR DU CHANGEMENT

Marjolaine s’inscrit au cœur de ces mutations essentielles. Lieu de partage, d’échanges et de rencontres, le salon Marjolaine est le rendez-vous incontournable de tous les acteurs de l’agriculture biologique, de l’écologie, du développement durable et du bien-être au naturel. Plus grand événement bio de France, Marjolaine est, depuis sa création, une manifestation experte et exigeante où rien n’est laissé au hasard. Chaque produit présenté par les 500 exposants, préalablement contrôlé par un organisme certificateur, est également soumis à un Comité de sélection indépendant piloté par Nature & Progrès, association de producteurs et de consommateurs qui s’attache à défendre la santé des femmes et des hommes et celle de la Terre. Résultat, Marjolaine révèle des talents authentiques, promeut de « vraies » initiatives et innovations… bonnes pour la santé de l’humanité et de la planète.

EXIGENCE ET PÉDAGOGIE

Ce monde meilleur que de nombreux consommateurs aspirent désormais à bâtir, Marjolaine le construit depuis plus de 40 ans, sans jamais perdre son énergie ni s’essouffler. Et sans oublier d’innover car, cette édition 2021 marque de grands changements pour toujours offrir la meilleure expérience aux visiteurs. Ce travail de fond a permis de rassembler et de fidéliser une équipe de spécialistes qui captent les avancées, anticipent les caps, analysent les évolutions… Marjolaine est ainsi, chaque année, la vitrine exhaustive et intransigeante de la vie en bio, soit 11 secteurs qui touchent au quotidien de chacun : alimentation, vin, santé, beauté, mode, décoration, bien-être, jardin, tourisme, écologie, maison. Les visiteurs de cette édition de novembre 2021 savent qu’ils trouveront au Parc Floral de Paris, pendant 9 jours, de quoi satisfaire leurs attentes. Mais, ils viennent aussi pour se former, apprendre, aller plus loin. Car Marjolaine, ce sont 30 conférences et ciné-conférences qui rassemblent scientifiques, politiques, médias… pour débattre autour des grands enjeux de demain en matière d’écologie et 65 ateliers pour découvrir de façon concrète bons produits et bonnes pratiques.

QUELQUES RENDEZ-VOUS À POUR ALLER AU-DELÀ DES CIRCUITS COURTS

MERCREDI 10 NOVEMBRE
15 h Souveraineté alimentaire : où en est la France ?
Table ronde avec Mathieu PERDRIAULT, directeur d’AGTER (Améliorer la Gouvernance de la Terre, de l’Eau et des Ressources naturelles) ; Mathieu COURGEAU, paysan en Vendée, président de « Pour une autre PAC » ; Nadège GARAMBOIS, ingénieure agronome diplômée de l’Institut National Agronomique ParisGrignon, maître de conférences en Agriculture comparée à AgroParisTech et Monique CHEMILLIER GENDREAU, Professeure émérite de droit public et de science politique à l’université ParisDiderot, spécialiste de droit international et de la théorie de l’État, auteure de « Pour un Conseil Mondial de la Résistance ».
VENDREDI 13 NOVEMBRE
14 h 45 Démesure urbaine, modes de vie métropolitains et crises écologiques : nous sommes tou.te.s des pangolins !
Par Guillaume FABUREL, professeur en géographie, urbanisme et science politique à l’université Lyon 2 ; membre fondateur du Réseau français des territorialistes, auteur de « Les métropoles barbares » et de « Pour en finir avec les grandes villes. Manifeste pour une société écologique post-urbaine », paru au Passager clandestin.
16 h 30 Alternatives socio-écologiques dans les grandes périphéries rurales : le monde d’après est déjà là, et bien là !
Table ronde avec Lætitia DELHAHAIES, coordinatrice stratégique du mouvement Colibris Gaspard D’ALLENS, journaliste à Reporterre, auteur de nombreux ouvrages dont « Les néo-paysans » Marcel LE PENNEC, ancien maire de Moëlan-sur-Mer Manu de la ZAD Notre-Dame-des-Landes Amandine QUIN, Association Label Vers (Beaucet-Vaucluse)
18 h 15 Vers une décroissance urbaine ? De la désobéissance civile à la désobéissance fertile
Table ronde avec Tomjo de la Friche Saint Sauveur (Lille), auteur de « L’enfer vert » Baptiste de la ZAD Notre-Dame-des-Landes. Maële, ex-militante urbaine, écologie radicale et féminisme libertaire Collectif du Quartier des Lentillères, (Dijon) sous-réserve.

PROGRAMME COMPLET ICI.

Un événement de SPAS Organisation, spécialiste des événéments Bio et Bien-être

Boulangerie bio et artisanale : La Panetière des Hameaux fête ses 10 ans

Créée en 2011 à Pornic en Loire-Atlantique pour offrir au consommateur du goût, de la qualité, de l’artisanat et de la proximité, La Panetière des Hameaux fête cette année ses dix ans d’existence !

Une décennie remplie de succès, que l’équipe de la boulangerie compte célébrer dignement en octobre et novembre prochain.

Dix ans d’existence que La Panetière des Hameaux compte bien célébrer avec une décoration et de nombreuses animations à l’image des valeurs de la boulangerie : le bio, le goût, le local, l’artisanat et l’anti-gaspillage.



Des événements à noter à l’agenda (+invitations!) :

– Des visites du fournil seront organisées pour le public. Au programme : histoire de la boulangerie et des explications sur le savoir-faire artisanal des différentes étapes de la panification avec notamment le matériel et la spécialité de la maison, le levain.
A la fin de chaque visite, des quiz permettront aux visiteurs de gagner des lots 100 % bio et gourmands.



Ces visites auront lieu les mercredis 6 et 13 octobre et les samedis 9 et 16 octobre de 14h00 à 17h00 (cinq sessions de 30 minutes). L’inscription se fait directement à la boulangerie de Pornic ou par téléphone au : 02 40 64 64 44. 



– Des ateliers d’échanges autour de la fabrication du pain vont également être organisés. Le public pourra découvrir le travail des boulangers et s’essayer à la fabrication de pain. Ces ateliers pourront accueillir cinq personnes et se dérouleront, sur inscription, les samedis 6 et 20 novembre de 14h00 à 16h30.

Nouveau magasin bio de quartier : Les Hameaux Bio ont ouvert leur 9ème boutique à Nantes

Nouveau magasin bio de quartier co-créé avec les habitants

 

Les Français, très sensibles aux produits qu’ils consomment, privilégient désormais les produits bio et locaux : le marché du bio a connu une croissance de +10,4 % depuis 2019, et 58 % de nos compatriotes favorisent désormais les produits de proximité et les achats en circuits courts (source : étude Agence Bio/Spirit Insight, mars 2021).

L’idée est de remettre du sens dans ses achats, pour préserver la planète et dynamiser les territoires, tout en prenant soin de soi.

La demande est donc de plus en plus forte pour une offre de proximité, qualitative et authentique : 44 % des Français ont modifié leurs habitudes durant la crise pour fréquenter davantage les petits commerces de quartier, et 29 % s’y rendent de plus en plus pour faire leurs achats (source).

C’est pour répondre à leurs attentes que Les Hameaux Bio Biocoop ont lançé leur 9e magasin à Nantes, au 22 rue Barbara, dans le bourg de St Joseph de Porterie.

Il a ouvert officiellement ses portes le mardi 5 octobre 2021.

Notre développement est motivé par la volonté d’apporter une alimentation Biologique, exigeante et de qualité au plus grand nombre. Par nos magasins, et les produits que nous y vendons, nous défendons aussi un modèle de société et de production plus vertueux pour que la valeur soit justement répartie entre les acteurs. “Quentin Allonville, co-gérant”

Une implantation dans un quartier nantais à taille humaine

Saint Joseph de Porterie, “St Jo” pour les intimes, est un quartier familial, situé à proximité de la nature et de l’Erdre, avec de nombreux coins de verdure.

Il incarne à lui seul tout un art de vivre, avec ses différentes activités conviviales que les habitants aiment pratiquer : le vélo, le skateboard, les pique-niques en famille, les promenades, le potager collectif….

Autant de tranches de vie que l’artiste nantaise Orana Trikovna a su représenter dans la superbe fresque qu’elle a réalisée pour le nouveau magasin des Hameaux Bio.

L’épicerie bio de proximité, authentique et conviviale

Les Hameaux Bio, c’est LE magasin de quartier dans lequel il fait bon venir pour dénicher des fruits et légumes savoureux, un large choix de pains au levain (pains complets, pains aux graines, pains naturellement sans gluten…) de la boulangerie La Panetière des Hameaux, des fromages bio à la coupe riches en goût…

Avec, toujours, la garantie de participer au développement d’une agriculture biologique paysanne et locale : plus de 120 producteurs locaux, situés à moins de 150 km du magasin, seront ainsi soutenus pour valoriser le savoir-faire régional.

De belles valeurs sont aussi mises en avant comme le commerce équitable, la réduction des déchets (130 références sucrées et salées en vrac), et la convivialité.

“Un magasin de quartier est un lieu de vie, un carrefour de rencontre entre les habitants du quartier, la vie collective et associative et le commerçant. Il offre une dimension humaine chaleureuse où l’on se sent un peu comme chez soi et où la proximité est privilégiée. Selon moi, le magasin de quartier est aussi un acteur de la vie de quartier et y participe activement.” Quentin Allonville

Un lieu de vie festif et coloré

Cette nouvelle épicerie de proximité veut contribuer à sensibiliser à la protection de la planète en se définissant comme un lieu de partage, de lien social et d’économie de “seconde main” grâce à l’alimentation.

En partenariat avec des acteurs locaux (producteurs, associations, consom’acteurs), de nombreux événements seront ainsi organisés tels que des ateliers, des conférences, et des animations autour du zéro déchet, du DIY, du local, de l’économie circulaire…

Et pour une ambiance toujours plus chaleureuse et accueillante, une “boîte à livres” sera mise à disposition pour que chacun puisse déposer et emprunter des livres gratuitement dans l’incontournable “coin café” aux mobiliers chinés et recyclés.

Un cahier des charges exigeant

Le nouveau magasin Les Hameaux Bio s’engage à respecter le cahier des charges rigoureux du réseau Biocoop.

Tout son fonctionnement est ainsi structuré autour de :

La transparence

Toutes les activités du magasin sont transparentes, tout comme la traçabilité de ses approvisionnements.

La qualité

Les produits proposés sont vraiment bio et sains : fournisseurs 100 % bio privilégiés, refus des OGM et des additifs à risque, respect de la saisonnalité, refus des arômes non bio, animaux nourris avec 100 % d’aliments bio…

Le développement

Fidèle à “l’esprit du bio”, le magasin Les Hameaux Bio encourage l’agriculture biologique dans un esprit d’équité et de coopération. Il privilégie aussi les filières régionales et les petits producteurs locaux.

La sensibilisation

Parce qu’il est très simple d’effectuer une transition vers une consom’action responsable, la nouvelle épicerie de proximité nantaise informe sa clientèle sur de nombreux sujets tels que le développement durable, un mode de vie écologique, une alimentation saine…

Informations pratiques

Les Hameaux Bio Biocoop de Saint Joseph de Porterie.

Ouvert: Du lundi au samedi de 10h à 20h

Adresse : 22 rue Barbara – 44300 Nantes.

Pour en savoir plus:

Site web : https://leshameauxbio.fr/magasins-bio/magasin-les-hameaux-bio-saint-joseph-de-porterie-2/

Facebook : https://www.facebook.com/BiocoopLesHameauxBioNantes

Instagram : https://www.instagram.com/les_hameaux_bio/

 

Le microbiote intestinal : l’allié santé

Les problèmes digestifs concernent 70 % de la population et empêchent la bonne assimilation des nutriments. Pire, l’inflammation chronique de la muqueuse intestinale et une flore déséquilibrée rendent la consommation des aliments crus et riches en vitamines et minéraux difficile.

De nombreux travaux de recherches démontrent qu’une flore intestinale pauvre ou déséquilibrée expose à des maladies. Avoir un microbiote sain serait donc la clé pour être en bonne santé.

« Aider le corps à s’aider » est la devise de base de toute médecine naturelle.

Ayant bien ceci à l’esprit, le pharmacien et biochimiste Dr Niedermaier (1913-2003) a développé et breveté la fermentation en cascade après des années de recherches. Dans ce procédé unique, des fruits, légumes, noix et épices issus de l’agriculture biologique sont fermentés pendant 8 semaines en plusieurs étapes avec des bactéries lactiques. A travers cette fermentation dynamique, tous les ingrédients sont découpés dans leur plus petite unité ce qui les rend facilement disponibles pour le corps.

La clé pour une vitalité et une santé durable se trouve dans la possibilité du corps de rester dans un certain équilibre – aussi appelé l’homéostasie. Dans cet état, le corps est au maximum de sa capacité de réparation, régénération et de défense. Les produits issus de la fermentation en cascade soutiennent le corps dans le maintien de cet équilibre.

 

Le résultat est le concentré régulateur bio.

Ce concentré n’est pas un simple supplément vitaminique mais un régulateur de terrain. Il apporte de l’acide lactique L(+) et des peptidoglycanes pour une sphère digestive saine, des acides aminés et peptides pour le système enzymatique, des antioxydants sous une forme naturelle et concentrée contre le stress oxydatif.

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