Sandrine & André-Joseph Bouglione présente un nouveau concept audacieux et indédit dans le monde du cirque traditionnel: l’Écocirque.
Il s’agit du premier écocirque au monde sans animaux conçu dans le plus grand respect de l’environnement. Suite à une véritable prise de conscience sur les conditions de détention des animaux et leur bien-être, André-Joseph Bouglione et son épouse Sandrine proposent un show “100% humain”. La présence des animaux reste omniprésente sous forme d’hologrammes grâce à une technologie spectaculaire.
Sur scène, une troupe d’artistes internationaux et des musiciens en live immergent les spectateurs dans une ambiance rock-n-roll Circus enivrante.
La première représentation aura lieu le 9 Août 2021 à 20h30 à Montpellier.
Plus d’informations sur la programmation : ecocirque.fr
Quand il fait chaud, il est important de s’hydrater et de se désaltérer. Pour beaucoup, il est très tentant d’ouvrir le réfrigérateur et de se servir un grand verre de boisson sucrée et gazeuse, comme le soda.
Mais c’est un geste qu’il ne faut pas faire trop souvent : riche en sucre, en sodium et en calories, le soda doit être consommé avec modération. Une consommation quotidienne peut entrainer des problèmes de santé sur le long terme.
Il existe aujourd’hui une alternative délicieuse et saine aux sodas et autres boissons sucrées : Sève Ice, une boisson fabriquée par la société française Minérasève à base de sève de bouleau fermentée et d’infusions de plantes, de racines et de fruits.

Sève Ice : bien plus qu’une boisson désaltérante !
Sève Ice est le nouveau produit de Minérasève, une société spécialisée dans la fabrication de produits à base de sève de bouleau.
Cette infusion est fabriquée à partir de sève de bouleau bio récoltée en Alsace, avec un procédé naturel de lactofermentation contrôlé. L’acide lactique ainsi produit assure la conservation de l’eau de bouleau et de tous les nutriments qu’elle contient. Les infusions se font à froid, et ne subissent aucun processus de stabilisation.
Sève Ice ne contient ni sucre, ni calories, ni conservateurs, et est riche en probiotiques naturels : elle permet de se désaltérer tout en prenant soin de son corps. La boisson, conditionnée en bouteilles de 25 centilitres, est vendue sur la boutique en ligne de Minérasève.
Les bienfaits de la sève de bouleau fermentée
La recette de Sève Ice permet de profiter des bienfaits de la sève de bouleau et de la fermentation. La sève de bouleau est riche en acides aminés, en oligo-éléments et en sels minéraux bons pour la santé.
Le processus de fermentation, quant à lui, confère à Sève Ice un intérêt probiotique. Grâce à ses ferments lactiques, Sève Ice est une boisson vivante, qui est bénéfique pour la flore intestinale : les probiotiques naturels qu’elle contient sont connus pour protéger des infections, stimuler le système immunitaire etrevitaliser l’organisme.
La boisson zéro complexe à déguster du matin au soir
Les infusions Sève Ice peuvent être consommées à diverses occasions. Le matin, au petit-déjeuner, est le meilleur moment pour assimiler un maximum de nutriments et enrichir la flore intestinale. Le midi, Sève Ice est idéal en complément d’un repas ou d’un programme minceur.
Après un effort ou à l’apéritif, Sève Ice est une alternative aux boissons sucrées. Enfin, Sève Ice peut être consommé quotidiennement dans le cadre d’une cure détox d’une durée de 20 jours.
Sève Ice convient aux enfants, qui apprécieront les goûts aromatisés au moment du goûter, ainsi qu’aux personnes diabétiques.
La gamme Sève Ice
Hibiscus Fraise : Avec son goût fruité et légèrement pétillant, cette infusion Sève Ice gourmande allie la douceur des fruits rouges et la saveur acidulée de l’hibiscus.
Menthe Pêche : Parfaite en cas de fortes chaleurs, la boisson Sève Ice Menthe Pêche allie fraicheur et plaisir. Consommée avant les repas, elle favorise une bonne digestion.
Curcuma Gingembre : Le mariage du curcuma et du gingembre est utilisé depuis très longtemps pour ses vertus antioxydantes naturelles. Les deux racines médicinales s’associent parfaitement à la sève de bouleau fermentée, pour créer une boisson équilibrée et légèrement épicée.

Minérasève : le spécialiste de la sève de bouleau
Minérasève est un récoltant et fabricant de sève de bouleau installé à Aspach-le- Bas, dans le Haut-Rhin. La société propose des produits à base de bouleau, qui ont de nombreux bienfaits pour la santé et le bien-être :
De la sève de bouleau fraiche, non transformée, pour faire des cures detox.
De la sève de bouleau lactofermentée, qui se conserve longtemps.
De la sève de bouleau pour chevaux.
Des savons bio à la sève de bouleau.
Compte tenu des circonstances actuelles, vous avez tous bien besoin de vous mettre au vert et jeûner en groupe (vous avez pris combien de kilos pendant le confinement ou en télé-travail ?!…)
17 – 31 juillet 2021
La Croisade pour la santé est organisée dans le cadre idyllique de l’Oasis Ahmara, centre de séjours nature et santé (jeûne et diverses cures naturopathiques) créé par Bernard Clavière, au lieu-dit Labèque, dans le village de Gironde-sur-Dropt (prononcer « Drô »), sur la Garonne, à 60 km de Bordeaux sur l’axe principal Bordeaux-Toulouse.

La Croisade pour la santé est un véritable festival du jeûne et de la santé. En plein été, dans un cadre naturel magnifique, le camping est très agréable.
Un hébergement à faible empreinte écologique, simple et convivial.
Pour vous inscrire : https://www.croisadepourlasante.org/toutes-les-facons-de-participer/
En ces temps troublés où un paquet de tristouilles nous annoncent la fin du monde, je dois te faire un aveu. Je sais, j’ai un peu honte, mais je pense… aux vacances.
Je suis d’accord. C’est pas bien !
Mais je suis fatiguée de tous ces gens qui nous fabriquent de la peur collective et nous rendent de plus en plus anxieux.
Alors, oui, vive les vacances !
« Tranquillou Pépéron », comme dirait mon Benji.
Mais attention, ce n’est pas une raison pour flancher sur les papiers gras ou les emballages de plats à emporter.
Vous n’imaginez pas le nombre de déchets qui flottent après avoir emballé des sandwichs à la viande hachée trafiquée ou des sodas trop sucrés de chez « qui tu sais ».
D’ailleurs, si d’aventure tu vas chez « qui tu sais », je te suggère d’y aller avec la jolie vaisselle de Mémé et de leur demander de te servir dans la porcelaine familiale.
Et puis ils pourraient faire des économies et peut-être payer leur personnel un peu plus décemment. Mettre un peu de vie dans leur monde trop bien organisé n’est pas pour me déplaire.
Je vois d’ici leurs directeurs du marketing se lancer à corps perdu dans la récupération de ce mouvement et faire du greenwashing à la petite semaine.
On passerait de « venez comme vous êtes » à « venez avec votre assiette ».
Je sais, je délire, mais après tout, en cette période où le vrac se développe, pourquoi ne pas lancer un mouvement pour obliger tous ces gens qui nous vendent leurs cochonneries à accepter de nous servir dans nos gamelles. Tu amènerais ton petit set de pique-nique ou ton petit plateau télé, tu sais, celui avec les alvéoles toutes moches que ta Tatie t’a offert après avoir fait du télé-achat.
Tu vas encore me prendre pour une vieille chouette un peu folle, mais, tu sais, j’ai vraiment besoin de vacances et je ne peux pas m’empêcher de rêver quand je suis fatiguée.
Et peut-être qu’il y a un responsable de la promotion chez « qui tu sais » qui va prendre ça au premier degré et nous inventer un « concept » dans son joli bureau avec des portraits de clown au mur. Et ce n’est pas moi qui vais lui reprocher de saines lectures. Bon, je vous laisse. Je vais me chercher un coin de forêt à peu près propre, sans masque abandonné, et je vous revois en septembre. Bonnes vacances.
La Chouette

Un peu d’écologie dans nos esprits ! Un petit nettoyage, une cure s’impose pour nos esprits, nos âmes, nos coeurs.
Depuis des décennies, que dis-je quelques siècles peut-être, nous cultivons le mensonge avec grand soin, avec ferveur. Depuis tout petits, il nous est inculqué avec patience et amour.
– Dis bonjour à la dame, avec un sourire, mon chéri. (Brrr, la dame elle a un rire et une voix de sorcière, maman !)
– Embrasse la cousine de papa, mon amour ! Elle est très gentille ! (Aïe, elle pique et elle sent pas bon.)
Le mensonge est l’oxygène de la respiration sociale, nous dit-on.
On le nomme politesse, délicatesse, diplomatie, tact, respect, que de jolis mots pleins de bonnes intentions. On parle bien aussi de langue de bois quand on est très en colère, mais c’est assez réservé aux politiques, pas trop à la sphère privée, qui le mérite tout autant.
Un enfant de 6 ans entend ses parents dire tout le mal possible de la voisine. Et toc, toc, toc, la voici qui arrive pour demander s’il est possible de pousser un tout petit peu votre voiture qui empiète légèrement la sortie de son garage. Et l’enfant voit alors ses parents, tout sourires et tout en courbettes, se précipiter avec des mots d’excuses et de gentillesse totalement en opposition avec ce qu’ils disaient la minute précédente.
Pourtant, lui, il n’a pas le droit de mentir ! Il a été puni hier lorsqu’il a dit que ce n’était pas lui qui avait libéré le chien de sa niche !
Le vrai, le faux, la vérité, le mensonge, c’est vraiment très compliqué à comprendre ! Tous ces mensonges sont une vraie gangrène des sociétés.
Et s’il nous semble impossible de les éviter, alors il nous faut aller vivre quelques temps dans des sociétés regardées comme très premières (en référence au musée des Arts Premiers 🙂 pour comprendre qu’une véritable harmonie sans agressivité peut exister dans une vie sociale sans la truffer de mensonges.
Il faut voir jusqu’où vont ces mensonges : jusque dans le sourire scotché au visage devenu la norme depuis de nombreuses années. Certains le nomment sourire commercial. C’est celui de la présentatrice qui vous annonce avec un égal sourire la dernière mode du string pour homme et les 200 morts de l’explosion d’un supermarché.
Les bébés, les jeunes enfants ne sont pas bernés par ce sourire-là. Le Dr Françoise Dolto l’avait bien expliqué. Si, à 2 heures du matin, exaspéré, vous avez envie de hurler de rage et que vous prenez votre bébé avec un sourire en disant « qu’est-ce que tu as mon chéri d’amour ! », le bébé hurle encore plus à cause du décalage entre votre colère rentrée et les sourires et la douceur apparents. Il le vit comme un horrible mensonge. C’est violent.
Alors que si vous exprimez votre colère (sans jeter le bébé par la fenêtre, quand même !), il se calme immédiatement, car c’est cohérent. Et cela évitera, le plus souvent, qu’il continue de vous réveiller la nuit ! Car vous êtes dans la vérité. Il entend des mots en accord avec vos émotions.
Exactement ce que nous vivons tous à son paroxysme un peu partout dans le monde depuis plus d’un an. Nous vivons l’explosion suprême du mensonge. Celui qui ravage tout sur son passage. Nous sommes en permanence ballottés entre mensonge et vérité. Et comme le bébé, nous avons envie de hurler encore plus fort derrière les bâillons !
Mais « quand le mensonge prend l’ascenseur, la vérité prend l’escalier. Elle met plus de temps, mais elle finit toujours par arriver », écrivait le journal Ouest-France il y a peu. Et j’ajoute que le menteur doit avoir bonne mémoire, car, si la technologie nous conduit parfois vers le pire, elle a l’avantage de conserver vivants les images et les discours les plus anciens.
Le mensonge est pressé, la vérité, elle, attend patiemment. Elle fait son chemin en silence, tranquillement, à petits pas mesurés, discrète, mais très efficace.
Tandis qu’un mensonge peut tout détruire, la vérité, elle, ne fait mal qu’un instant. La délicatesse, le tact, la vraie politesse du coeur, c’est elle qui les a entre autres vertus. Il arrive que la vérité soit tellement plus impressionnante que le mensonge qu’elle en devient aveuglante. Nous faisons tous ce constat assez souvent, il faut le voir pour le croire, ça dépasse l’imagination, si on l’écrivait, personne ne le croirait.
Je suis obligée de reconnaître que, pour ma part, en tant qu’auteur de récits de mes navigations, il y a des événements que j’ai vécus, tellement incroyables, que je n’en ai pas parlé, ils sont consignés dans mes agendas, au jour même où ils se sont produits. Je les publierai lorsque la Vérité aura retrouvé sa place, ses lettres de noblesse, toute sa dignité et le respect que nous lui devons. Lorsque l’on saura de nouveau distinguer la vérité du mensonge. Ce dernier a pris tant de place qu’il a gravement embrumé les esprits.
Souhaitons-nous à tous une excellente cure de vérité, un grand balayage dans notre tête, grâce à l’écolomag qui se bat pour cela depuis tant d’années, en nous préparant de vrais repas, avec de vrais aliments naturels, de très bons Miam-Ô-Fruits et Miam-Ô-5 pour nous régaler !
France Guillain
Dernière parution Miam-Ô-5, Miam-Ô-Fruit, 80 recettes, d’Aïmata et France Guillain, éditions du Rocher 2021 présenté sur Métamorphose en podcast
Et n’oubliez pas que les 36°6 sont accessibles en direct par Internet à partir de n’importe quelle page de mon site www.bainsderivatifs.fr
Si vous riez 1 à 2 minutes par jour, vous êtes dans la moyenne. Mais cela reste moins que nos aïeux dans les années 30, qui s’esclaffaient quotidiennement durant au moins 15 minutes. Rassurez-vous, il n’y a pas de limite à cette manifestation de gaieté, qui fait tellement de bien. Un bien physiologique qui libère les endorphines, évacue le stress ou encore dope le système immunitaire.
Un bienfait social qui, par son effet communicatif, permet un véritable dialogue et crée un cercle vertueux relationnel. S’amuser et sa manifestation la plus forte – le rire –, cela fait donc du bien ! En plus, c’est à la portée de tous, sans exception. Le rire ne s’apprend pas comme les mathématiques ou le chinois, c’est le propre de l’Homme. Il est inné et certifié naturel, il suffit de le cultiver régulièrement… Bien-être garanti ! Et le paradoxe est que, sans sérieux, point de rire, mais sans rire, point de sérieux non plus. De là à faire les choses sérieusement sans se prendre au sérieux, n’hésitez plus. Le rire fait partie de ces petits bonheurs qui égayent nos journées. « Rire aux larmes », « fou rire », « mieux vaut rire que pleurer » sont autant d’expressions qui en attestent. Un remède magique en toutes circonstances ? Absolument ! Et avant de rire, vous pouvez sourire, je vous assure que cela fait du bien, détend les zygomatiques et décontracte votre entourage.
Testez, l’effet est immédiat. Respirez, souriez, vous y êtes presque.
Olivier Guilbaud
Co-dirigeant du Groupe
Laboratoire Science et Nature
L’été rime avec liberté. Que ce soit à la campagne, à la montagne, à la plage ou dans un pays exotique, les vacances sont l’occasion de changer son mode de vie effréné de l’année pour se détendre, se reposer ou découvrir. Et pour que cette période ne devienne pas synonyme de petits tracas, voici quelques astuces pour profiter pleinement de ce moment.
Été, chaleur, voyages en avion… et jambes lourdes
Pour certaines personnes, l’été est parfois synonyme de jambes lourdes et gonflées. En cas de maladie veineuse, les veines sont moins élastiques et les petites valves situées tout au long de leurs parois – et qui permettent au sang de ne pas « retomber » – jouent mal leur rôle anti-reflux. Le sang remonte moins bien des membres inférieurs vers le coeur, et stagne dans les jambes. Cela peut provoquer une sensation de jambes lourdes, en particulier en fin de journée, des fourmillements ou un besoin irrépressible de bouger les jambes, des gonflements des mollets, des chevilles ou des pieds et l’apparition de petites varicosités sur les jambes. Certaines situations peuvent contribuer à ces troubles veineux, comme la chaleur ou les positions statiques prolongées : voyage en avion, station debout, piétinement… Situations que l’on retrouve plus fréquemment en été.
Pour maintenir un bon retour veineux
Pour améliorer la circulation veineuse, marchez au moins 20 minutes par jour afin de faire fonctionner la « pompe musculaire » du mollet. Limitez également les expositions à la forte chaleur, comme les sessions de bronzage prolongées, les bains ou douches chauds, qui stimulent la dilatation des veines. Passez plutôt un jet d’eau fraîche sur vos jambes afin de favoriser la vasoconstriction. La natation est une excellente activité pour soulager les jambes lourdes, en raison de l’effet massant de l’eau et de sa température moins élevée que celle du corps. Buvez régulièrement de l’eau, mangez équilibré. En cas de longs voyages en avion, pensez à effectuer régulièrement des mouvements pour faciliter la circulation veineuse. Le port de chaussettes de contention peut aussi réduire les gonflements et la sensation de jambes lourdes.
En plus de ces conseils, la nature nous offre des solutions pour maintenir une bonne circulation veineuse.
La vigne rouge a longtemps été employée pour atténuer les problèmes circulatoires, les jambes lourdes ou bien les troubles féminins, comme les règles douloureuses. Les feuilles contiennent des flavonoïdes (quercétine, oligo-proanthocyanidines…), qui aident à maintenir une bonne circulation veineuse. La présence de tanins la rend d’autre part astringente et vasoconstrictrice.
Le petit houx, aussi appelé fragon, est utilisé depuis des siècles en médecine traditionnelle car c’est un excellent tonique veineux. Le rhizome de la plante contient de la ruscogénine, un actif aux propriétés vasoconstrictrices et diurétiques.
Les fruits et légumes rouges-violets, ou encore le marc de raisin que l’on peut trouver sous forme de tisanes ou compléments alimentaires, regorgent de polyphénols qui contribuent à protéger les parois des vaisseaux sanguins pour maintenir un bon retour veineux.
Riche en flavonoïdes, l’hamamélis augmente la résistance des vaisseaux et aide à diminuer la perméabilité capillaire. Il peut s’utiliser par voie interne ou externe.
Les probiotiques pour éviter les désordres intestinaux
Bien connue des voyageurs qui se rendent dans des destinations exotiques et lointaines, la turista – ou diarrhée du voyageur – peut rapidement vous gâcher un voyage. Le plus souvent d’origine bactérienne (Escherichia coli, shigelles, salmonelles), la tourista est véhiculée par l’eau et les aliments. Afin de la prévenir, il faut avant tout surveiller son alimentation une fois sur place : peler les fruits, renoncer aux crudités, cuire les aliments à plus de 65 °C, ne boire que des boissons encapsulées et pas d’eau du robinet. Méfiez-vous également des glaçons, préparés la plupart du temps avec l’eau courante. Les mains sales sont des vecteurs importants de ces agents pathogènes, il est donc important de se laver les mains régulièrement.
Pour mettre toutes les chances de votre côté, vous pouvez aussi prévoir une cure de probiotiques une semaine avant le départ afin de renforcer votre flore intestinale et profiter au mieux de leurs propriétés protectrices. Puis prenez-les durant tout le séjour. Privilégiez les souches Lactobacillus rhamnosus, Lactobacillus acidophilus et Lactobacillus casei, qui sont les plus efficaces contre les diarrhées. Un apport avec une forte dose de probiotiques sur une courte période vous aidera aussi à restaurer rapidement votre flore intestinale en cas de troubles intestinaux.
Pour un été sans problèmes urinaires
La cystite fait partie des petits maux qui peuvent gâcher les vacances. Port de sous-vêtements et maillots de bain en matière synthétique, manque d’hydratation en période de forte chaleur et rapports sexuels plus fréquents sont autant de facteurs qui peuvent vous exposer davantage à une infection urinaire.
La cystite est causée par des bactéries du tube digestif, le plus souvent Escherichia coli, qui remontent vers la vessie. Les femmes sont très gênées car elles doivent uriner très souvent (pollakiurie), avec des douleurs et sensations de brûlures lors de la miction.
Pour la prévenir, buvez suffisamment d’eau (1,5 litre par jour). Afin de vous prémunir de la constipation, qui, à cause de la stagnation des selles, provoque une prolifération des bactéries à proximité de l’urètre, mangez des fruits et des légumes qui contiennent des fibres. Portez des sous-vêtements en coton et non en fibres synthétiques, et ne gardez pas sur vous un maillot de bain mouillé trop longtemps. Lorsque vous allez à la selle, utilisez deux papiers, l’un pour devant, l’autre pour derrière. Urinez également après chaque rapport sexuel.
En cas de cystite, il est conseillé de boire suffisamment. On se dit que moins on va boire, moins on va uriner donc avoir moins mal, mais il faut faire exactement l’inverse. Plus vous buvez, plus vous urinez, et moins les germes stagnent dans votre vessie. Ne vous retenez pas non plus d’aller aux toilettes. Évitez de manger épicé et l’alcool. Pensez à la cranberry, sous forme de jus ou en complément alimentaire. La baie de cranberry renferme une grande quantité de flavonoïdes, parmi lesquels les anthocyanes, les flavonols et les proanthocyanidines (PACs), qui offrent une action anti-microbienne très intéressante.
Côté aromathérapie, l’huile essentielle d’origan compact est traditionnellement utilisée en cas d’affections uro-génitales. Elle a des propriétés antibactériennes, anti-inflammatoires et antifongiques. Si vous prenez l’huile d’origan compact par voie orale, pensez à l’associer à l’huile essentielle de citron, aux propriétés hépato-protectrices, et à la diluer dans une huile végétale ou la poser sur un comprimé neutre servant de support. Si vous ne savez pas comment procéder, faites appel à un•e aromatologue, qui saura vous conseiller. On peut aussi trouver des huiles essentielles déjà diluées prêtes à l’emploi, que l’on peut utiliser sans connaissances approfondies en aromathérapie.
L’huile essentielle de tea tree pour parer aux petits bobos et soucis du quotidien
Petites plaies, mycoses, ampoules, morsures d’insectes (tiques), angines, douleurs dentaires, otites… L’huile essentielle de tea tree est l’indispensable à avoir dans sa trousse à pharmacie pour passer un été serein. Elle est connue pour ses propriétés bactéricides à large spectre, antifongiques, antivirales et anti-inflammatoires. C’est pourquoi il faut toujours l’avoir sous la main. Elle peut être utilisée en application cutanée ou bien en prise orale. Dans ce cas, il faudra la diluer dans du miel ou une huile végétale.
Ainsi paré·e, vous pourrez profiter de cette période sereinement et vous ressourcer en faisant ce dont vous avez envie : voyager, découvrir, ou plus simplement vous reposer… Un bel été à tous.
Le livre La ferme bio de They – Voyage au bout d’un rêve, récemment sorti, est présenté sous forme d’un feuilleton en plusieurs épisodes depuis le numéro de mai/juin 2021 de l’écolomag. La démarche essentielle de l’auteur s’appuie sur la défense de notre environnement, des richesses des espaces naturels, et la promotion des produits issus de l’agriculture biologique proposés aux consommateurs.
Dans ce numéro, c’est l’agriculture biologique que Gérard Garcia nous propose d’aborder.
En préambule à nos entretiens, il nous faut nous familiariser et, surtout, comprendre ce que représentent vraiment les tenants et aboutissants de l’agriculture biologique.
Nos sources bibliographiques, alliées aux explications de Michel, nous indiquent qu’elle se revendique avant tout comme une pratique agricole liée à un mode de production respectueux de l’environnement et de l’animal. Elle combine donc des pratiques environnementales optimales, avec le respect de la biodiversité, la préservation des ressources naturelles et l’assurance d’un niveau élevé du bien-être des animaux.
Tout au long de la filière, les opérateurs engagés dans le mode de production et de transformation en biologique se conforme à un cahier des charges rigoureux, qui privilégie les procédés non polluants et toujours dans le respect de l’écosystème et des élevages. C’est aussi un mode de production qui exclut l’usage des OGM et limite le recours aux intrants. Il se doit de privilégier l’emploi de ressources naturelles et renouvelables dans le cadre de systèmes agricoles organisés à l’échelle locale, et en restreignant l’utilisation de produits chimiques de synthèse.
Enfin, l’agriculture biologique s’attache également à renforcer ses liens avec l’ensemble de la société : la création d’emplois, la participation à l’aménagement du territoire, la préservation et la promotion des savoir-faire locaux.
En résumé, pour l’agriculture, l’AB c’est :
– Un système de gestion durable.
– Une source d’innovations, dans une approche agro-écologique.*
CHIFFRES-CLÉS :
– En 2019, la valeur des achats des produits alimentaires issus de l’agriculture biologique a progressé de 1,4 milliard d’euros, soit une croissance de 13,5 % par rapport à 2018. Des résultats supérieurs aux estimations.
– Ce qui représente 7,921 milliards d’euros HT de consommation des ménages (+ 18 % en regard de 2016 et + 6 % de la consommation générale de produits alimentaires en 2019).
– Les achats de produits bio servis en restauration se montent à 452 millions d’euros HT, dont 246 en restauration collective (+ 7 % en 2016) et 206 millions en restauration commerciale (+ 13 % depuis 2016). (En augmentation constante chaque année)
– En 2017, l’agriculture biologique compte près de 1 945 000 emplois, soit 16 500 de plus qu’en 2016. La croissance moyenne est de 9,5 % par an. (En augmentation constante chaque année.)
– Alors qu’en général, l’emploi agricole diminuait à un rythme de 1,1 % en moyenne annuelle entre 2010 et 2015, la production bio a progressé de 10 669 emplois équivalents temps plein, soit + 13 ,7 %. (Progression confirmée au fil des ans.)
UNE PERFORMANCE !
– En 2018, le marché bio de l’Union européenne dépassait 40 milliards d’euros. Plus de 420 000 exploitations agricoles cultivaient plus de 15,6 millions d’hectares en bio, soit 7,5 % de la surface agricole totale. (La France est à la 2e place de l’Union européenne.)
– En 2020, plus de 9 Français sur 10 déclarent avoir consommé des produits bio, 13 % en consomment tous les jours. **
* Source : Institut national de l’origine et de la qualité (INAO).
** Source : Agence Bio (Bilan annuel de l’emploi agricole n° 238, juillet 2017).
Auto-édition – 126 pages, texte et photos format luxe 29 € – Frais de port offerts en France métropolitaine – Contact : gerard.garcia770@orange.fr
La ferme bio de They
Un rendez-vous national autour de la bio locale, de saison et équitable, qui se prolonge jusqu’en septembre
Le Printemps Bio est un événement national coordonné par l’Agence Bio, la plateforme nationale d’information et d’actions pour le développement de l’agriculture biologique en France. Il est organisé autour des valeurs de l’agriculture biologique, telles que les valeurs humaines, la protection de la biodiversité, le respect des saisons, ou encore la production durable.
Cette année, compte tenu du contexte pandémique, le Printemps Bio essaime jusqu’en septembre, de façon à permettre l’organisation de certains rendez-vous, comme des spectacles et la fête du lait Bio à une période plus favorable pour accueillir un nombre élevé de personnes.
Une centaine de rendez-vous diversifiés sont ainsi ouverts au public aux 4 coins de la région Pays de la Loire, pour partager ensemble un temps fort, échanger, visiter et rencontrer les femmes et les hommes engagés pour une agriculture locale, éthique et solidaire.
Cet événement vous donne l’opportunité d’aller à la rencontre des agricultrices et agriculteurs, des entreprises et des magasins au coeur des territoires. Une immersion pour comprendre pourquoi le fait de produire et de consommer bio, local, de saison et équitable concourt à préserver sa santé, à protéger la biodiversité et l’environnement, ou bien encore à valoriser les métiers et à soutenir les emplois ancrés dans ces communes.
Retrouvez le programme complet sur : www.interbio-paysdelaloire.fr
Nouveau podcast original de Catherine Pottier et François Gabart
Mon labo sous la mer, le nouveau podcast original de franceinfo, en co-production avec la Fondation de la Mer, vous plonge à la découverte des secrets de l’océan !
Catherine Pottier, journaliste et spécialiste voile de franceinfo, s’est rendue à Concarneau, fief du navigateur François Gabart, pour partir avec lui à la rencontre d’experts afin de comprendre comment la communauté scientifique s’inspire des écosystèmes marins afin de trouver des solutions aux problématiques environnementales.
Cet été, Catherine Pottier et le navigateur François Gabart vous emmènent ainsi à la découverte des richesses insoupçonnées de l’océan : à quoi ressemble la vie sans lumière ? Comment l’océan recycle-t-il ? Comment la faune et la flore des abysses s’adaptent-elles ? Quels sont les gènes contenus dans une goutte d’eau ? Quel apport pour la médecine ? Ou encore, comment communiquer avec les signaux acoustiques ?
Une série de 6 épisodes pour s’initier et comprendre les innovations scientifiques inspirées par l’océan. 6 x 20 mn – Dès le 1er juillet en podcast – Et dès le 10 juillet sur l’antenne de franceinfo, tous les samedis à 17 h 25, 19 h 55 et 20 h 50.
Le premier épisode.
Nov 3, 17:35