La posture de l’arbre

Pour se canaliser et partager un moment en famille

Le yoga, à travers de simples postures d’équilibre, peut être un bon moyen pour accompagner votre enfant à se centrer, se canaliser, respirer, diminuer l’agitation mentale… et passer un moment de partage et de complicité en famille !

Ici, nous allons détailler la posture de l’arbre.

De préférence : emmenez votre petite famille faire une balade en forêt (ou partez seulement avec votre enfant pour un moment privilégié), et lorsque vous vous trouvez en pleine nature, dans un lieu qui vous appelle, avec un sol plat si possible, invitez votre tribu à vous accompagner dans la pratique de Vriksasana (posture de l’arbre en sanskrit).

 

 

Pas à pas :

– Pour commencer, l’ancrage : pour trouver votre centre, votre verticalité, placez les pieds largeur de hanche, bien ancrés dans la Terre, le dos droit, le sommet du crâne vers le ciel, et imaginez que des racines se créent dans vos pieds, pour délicatement se glisser dans la Terre qui se trouve en dessous. Comme les arbres qui vous entourent, visualisez-vous relié au sol à travers vos pieds, vos hanches, votre ventre, et votre corps tout entier.

– Ensuite, prenez le temps de respirer : d’abord, une profonde inspire par le nez, suivie d’une profonde expire par la bouche (ici, profitez-en pour évacuer ce qui a besoin de l’être), à répéter deux ou trois fois pour que les tensions se relâchent. Puis, avec le nez, placez le va-et-vient de votre souffle : à l’inspire, faites monter l’énergie (le ventre se gonfle, la poitrine, puis les épaules s’ouvrent), à l’expire, faites redescendre l’énergie le long du corps (les épaules, la poitrine, le ventre). Dans l’idéal, allongez vos expires deux fois plus longtemps que vos inspires. Prenez le temps de vous connecter avec l’environnement dans lequel vous êtes.

– Et, enfin, la posture de l’arbre : placez un pied dans le sol, bien ancré, trouvez un point devant vous à fixer pour garder l’équilibre, engagez les muscles de votre jambe au sol, vos fessiers, votre ventre, placez le dos droit, le sommet du crâne vers le ciel, puis, délicatement, en veillant à garder les deux hanches alignées, posez l’autre pied quelque part sur la jambe opposée : la cheville, le mollet ou la cuisse en fonction de vos capacités du moment (il vaut mieux avoir la jambe moins haute mais garder l’équilibre que l’inverse). Une fois les jambes placées, prenez une profonde inspiration par le nez en ouvrant les bras et la poitrine, toujours en fixant bien le point devant vous, puis expirez en joignant les mains en prière devant le cœur.

Si c’est suffisant pour vous, restez ici. Si vous souhaitez allez plus loin, amenez les deux mains jointes vers le ciel, éloignez les épaules des oreilles, et visualisez- vous comme un arbre au milieu des autres dans la forêt !

Si vous souhaitez aller plus loin encore, fermez-les yeux.

Procédez de la même manière sur l’autre jambe.

Mon conseil :

La posture de l’arbre est un super « thermomètre » de notre état intérieur. Certains jours, nous sommes centré, nous pouvons rester un long moment dans la posture, le pied se place bien haut sur la jambe, le mental est calme ; et, d’autres jours, nous vacillons, la jambe ne tient pas, l’agitation se montre persistante… Et c’est ok ! Dans les deux cas, C’EST OK. Le tout est d’observer ce qu’il se passe sur le moment, et de l’accueillir. En se canalisant, en respirant, en choisissant la bienveillance plutôt que les jugements, et en se plaçant dans l’accueil, les choses circulent et le calme s’installe progressivement.

La pratique de cette posture peut ainsi être une jolie manière de partager vos émotions en famille, tout en apprenant à vous placer dans l’accueil et la bienveillance de ce qu’il se passe pour soi et pour les autres – en partageant vos ressentis une fois la pratique terminée, par exemple.

Si vous désirez « resserrer » les liens, vous pouvez aussi proposer à chacun des membres de votre famille, une fois vous être transformé en arbre solidement enraciné dans la Terre, d’imaginer que vous êtes devenus une forêt dans la forêt, unis les uns aux autres, en formant un cercle et en vous tenant les mains. Si tout le monde se prend au jeu, la communion est assurée !

Proposé par Fanny Guichet
Praticienne de santé naturelle
www.inspirequilibre.fr

4 rituels zen pour chez toi

L’origine du zen est liée à la secte bouddhique du Japon où la méditation est centrale.

La lignée du zen remonte au 6ième siècle avant J-C par le Bouddha Shakyamuni qui réalisa la fameuse posture de dhyana (position assise en tailleur) en Inde. Cette posture s’est alors transmise de génération en génération et est restée bien ancrée dans les mœurs.

Dans cet article, je te propose 4 petits rituels zen afin de te détendre dans ta maison !

#1 Écouter le vent – accroche un jouet du vent sur ton balcon ou terrasse

Le furin ou carillon japonais est un objet traditionnel de décoration au Japon. Il se présente traditionnellement sous la forme d’une petite cloche en céramique à laquelle est accroché un morceau de papier où est écrit un haïku (petit poème très bref).

Objet emblématique de l’été, il émet un son lorsque le vent pousse la cloche. Le son unique et cristallin de ces clochettes donne une impression de fraîcheur et de zénitude dans la maison ou le jardin.

Tu peux le placer près d’une fenêtre, sur une terrasse ou aux branches d’un arbre.

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#2 Allumer un encens

Les encens composés d’arômes naturels influent directement sur l’état d’esprit et les sentiments tout comme le font la cuisine, la musique ou la littérature. C’est un véritable art de vivre et chaque senteur a une action spécifique.

Les encens boisés favorisent l’apaisement, les encens fleuris stimulent l’esprit et les senteurs sucrées réconfortent et apaisent. C’est pourquoi nous conseillons d’adapter une odeur à chacune des différentes pièces de la maison. Ils permettent aussi de personnaliser un espace, parfumer un intérieur, créer un sentiment de bien-être dans une pièce.

Les encens accompagnent ces activités quotidiennes, parfument, désodorisent et permettent de voyager tout en restant chez soi.

Les modes de vie actuels souvent exposés au stress sollicitent le besoin de relaxation.

Les senteurs représentent un moyen privilégié pour favoriser la détente physique et mentale. Le corps se positionne en situation de récupération et l’esprit en pleine disponibilité pour une plus grande maîtrise personnelle.

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#3 Prendre du temps pour soi – éponge Konjac

Les éponges Konjac proviennent d’une plante originaire des forêts d’Asie du Sud-Est. Elles font partie de la médecine douce et occupent une place primordiale dans la routine beauté des femmes japonaises depuis des millénaires.

Elles ont la particularité d’empêcher le développement des bactéries causant les imperfections et sont donc idéales pour nettoyer et exfolier ton joli minois tout en douceur ! En plus de ça, elles procurent un effet massant et relaxant immédiat !

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#4 Boire un bon thé chaud – cérémonie du thé

Au Japon, la cérémonie du thé est sacrée. En effet, c’est un véritable moment de silence et de paix.

Elle peut durer jusqu’à 4 heures et les pratiques s’apprennent tout au long d’une vie. Elle consiste à préparer du Thé Vert en poudre ou Matcha devant ses invités de manière codifiée avec tout un art décoratif qui s’ensuit : les kimonos, la calligraphie, les arrangements floraux, les céramiques, l’encens … etc..

Bien sûr, tu peux t’initier à cette pratique ou également consommer du thé de ton choix, seul(e) ou avec ton entourage pour un moment détente !

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S’ancrer pour mieux avancer

par Aurélie Chevalier

Après plusieurs années d’expérience dans l’industrie automobile et les énergies renouvelables, Aurélie Chevalier distribue aujourd’hui les chaussures pieds nus leguano, fabriquées en Allemagne, ainsi que des vêtements en fibres naturelles et des vêtements de yoga sur son site www.pieds-nus-sur-la-terre.fr. Elle y propose également sa marque de vêtements en lin irisens’, fabriqués dans les Pays de la Loire.

Dans les périodes agitées que nous traversons, il nous faut revenir aux fondamentaux, nous reconnecter à notre intérieur et écouter nos aspirations profondes. Nos pieds sont un bel outil pour s’ancrer, dans tous les sens du terme. Marcher pieds nus sur la Terre invite à se reconnecter à la nature et à notre environnement. Lorsque nous n’en avons pas l’habitude, des chaussures ultra-souples respectant la physiologie et les mouvements des pieds, comme les leguano, permettent de conserver les bienfaits de la marche pieds nus sans les inconvénients. Les pieds sont la base d’une posture équilibrée. L’activation de certains de leurs muscles inutilisés pendant tant d’années dans des chaussures rigides stimule pleinement l’ensemble de la chaîne musculaire. La conscience, trop souvent associée au mental, peut se placer dans les pieds pour un meilleur équilibre de notre être. Visualisant un arbre qui s’élève du sol à partir de ses racines, nous pouvons mieux nous ancrer dans la Terre et dans notre posture. Une meilleure posture physique contribue à une posture plus solide dans la vie.

 

Des pieds en bonne santé, un corps et un esprit en bonne santé

Base de notre corps, nos pieds supportent tout notre poids. Leur bonne santé a un impact positif sur tout le corps. Déjà, Hippocrate disait : « La marche est le meilleur remède pour l’homme. » Et pour le yogi B.K.S. Iyengar : « Le secret d’un corps parfait est dans les pieds. Avec de bonnes fondations, tout dans le corps est en place. Et l’esprit peut, dès lors, fonctionner harmonieusement. » Aristote, Beatriz Padovan, Nietzsche et Jean-Jacques Rousseau étaient eux aussi convaincus des liens entre la marche et la pensée.

Nos pieds nous offrent un moyen de locomotion écologique et sain, symbole de liberté. Nous pouvons aussi marcher en conscience en goûtant l’instant présent à chaque pas. La conscience de ses appuis, c’est aussi l’ancrage à la Terre. C’est être bien ici et maintenant. Associés à la respiration comme dans la marche afghane, les pieds sont un formidable outil de reconnexion à notre corps et au présent, pour ensuite mieux nous connecter à notre humanité et à ceux qui nous entourent. Comme nous y invite Thich Nhat Hanh, « il nous faut marcher en imprimant paix et sérénité. […] Marchez comme si vous embrassiez la Terre avec vos pieds. »

Revenir au bon sens

Pendant mille ans, les Chinois ont bandé les pieds des femmes, occasionnant d’atroces souffrances. En Occident, les chaussures ont été dessinées comme objet de mode et signe extérieur de richesse avant de penser à la mécanique du pied, capable de se modifier à chaque pas pour s’adapter au relief du terrain. De nos jours, bien des déformations et des problèmes de genoux, hanches et dos sont liés à des chaussures inadaptées à notre physiologie. Il est toujours temps de modifier nos pratiques et nos actes. Notre corps est résiliant et il sait mettre à profit tout changement positif. Par exemple, nombre personnes témoignent que leurs orteils qui se chevauchaient reviennent dans leur axe. Certaines, qui ne marchaient plus, se sont mises en mouvement.

Depuis 30 ans, l’industrie de la mode s’est mondialisée. Or, le mot « linge » vient de « lin ». En Alsace, à la naissance d’une fille, on réservait un champ de lin qui permettrait de réaliser son trousseau. Le chanvre et le lin, aujourd’hui minoritaires dans nos habitudes vestimentaires, faisaient partie de la vie de tous les jours. Beaucoup d’entre nous ont compris l’importance de manger local. Le mode de fabrication de nos vêtements est un sujet similaire. La France est le premier producteur mondial de lin, mais plus de 80 % de sa production sont transformés en Chine. C’est pourquoi j’ai voulu apporter ma pierre à un mouvement de relocalisation qui s’amorce en proposant des vêtements en lin confectionnés en France. Nos choix et nos changements d’habitude sont bons pour nous mais aussi pour les futures générations. Nous partageons une aventure ensemble, qu’il nous appartient de rendre la meilleure possible !

Le printemps arrive, déchaussons-nous !

Le printemps arrive et nous invite à nous émerveiller comme un enfant devant les premières pâquerettes, prémices d’une explosion de couleurs, de senteurs et de pépiements. En ville, un seul arbre peut inonder tout un quartier du parfum de ses fleurs. La nature est une puissante source d’inspiration et il est urgent de reprendre contact avec elle, avec respect et gratitude, en prenant le temps, en respirant. Dans nos vies trépidantes, appuyons sur « pause » et caressons du regard les paysages, les choses et les autres. Soyons comme l’arbre dont les racines plongent dans la Terre pour dresser son tronc dans l’espace et déployer ses branches et ses feuilles vers le ciel et la lumière. Déchaussons-nous, ou chaussons des chaussures très souples respectant nos pieds et leurs mouvements, pour nous ancrer profondément dans la Terre, nous ressourcer, puiser de l’énergie et grandir vers la lumière. Revenons à nos racines, reconnectons-nous à nous-même et, plus que jamais, regardons à l’intérieur de nous-même et prenons conscience de ce que notre être intérieur souhaite au plus profond de lui-même, pour respecter ses plus sincères aspirations. Grandissons, physiquement et spirituellement, et, avec les jours qui rallongent, croissons vers la lumière. Laissons-nous nous inonder par cette lumière bienfaisante, pour ensuite la diffuser, la partager.

Le printemps est synonyme de renouveau. Agissons par la méditation ou l’action pour qu’il s’opère. Dans son excellent petit livre L’art perdu de la prière, Gregg Braden indique qu’un tout petit nombre de personnes peut faire changer le cours des choses par une visualisation positive.

Mettons nos convictions en œuvre dans nos actes du quotidien. Dans le tumulte des actualités, inspirons, revenons au présent et à nous-même. Agissons en conscience et sachons dire « non » lorsque, près de nous, la liberté et la dignité des autres et de nos enfants sont remises en cause. Reconnectons-nous à la nature et reconnectons-nous à notre nature d’êtres humains. L’humanité, plus qu’un ensemble de paramètres et de protocoles, est un tissage de liens, qui peuvent s’exprimer tout simplement, par un regard, un sourire ou une accolade. Quel que soit le tourbillon du monde, après l’hiver qui nous a invité à nous recentrer sur nous-même et sur notre foyer, sachons tisser du lien avec nos amis et nos proches. Ouvrons nos yeux et notre cœur, restons ancré, ayons confiance en la vie et sachons dire merci.

Toute la puissance du monde réside en nous. « Un être a besoin de respirer à chaque minute, et il a besoin de respirer l’amour tous les jours. » Arnaud Desjardins

Apér’HOW, un nouveau concept pour recréer du lien social

Lancé par Julie Vogt, Apér’HOW est un nouveau concept qui a pour but de vous faire découvrir des thérapeutes et des nouvelles techniques en vue de prendre soin de vous, le tout dans un lieu atypique, autour d’un apéro dînatoire, comme si vous étiez chez des amis !

Organisés dans des endroits insolites, voici un mélange d’apéros mensuels, de salons bienêtre et de soirées rencontres, permettant aux participants d’établir un échange, de se laisser dorloter par des spécialistes du bien-être, de bien manger, de rire, de discuter… Bref, de passer un bon moment de convivialité.

Pour cela, 3 objectifs ont été fixés par l’équipe : la santé, les opportunités de rencontres et de découverte, et le bien-être.

Une fois par mois, la HOW team vous invite donc à vous retrouver dans un lieu insolite, comme par exemple un ancien couvent ou une belle villa, vous détendre avec les conseils de praticiens de différentes disciplines, d’émoustiller vos papilles de bons produits, de découvrir des choses intéressantes et nouvelles, et vous donner la possibilité de faire de nouvelles rencontres.

La première soirée Apér’HOW a eu lieu en Alsace le 22 février 2022, et les prochaines sont organisées dans le Haut-Rhin et la région de Rennes, en Bretagne, au mois de mars 2022. Entre 36 € et 46 € selon le lieu, avec accès à tous les ateliers et au buffet.

Pour participer au prochain événement de votre région : https://aperhow.club/home

Ethik’Hotels, le Meetic du tourisme durable

Une plateforme qui met directement en relation voyageurs et acteurs du tourisme responsable

Ancienne directrice commerciale et marketing dans le bâtiment, Anne Chene souhaitait aligner son activité professionnelle avec son goût des voyages et ses valeurs d’écoresponsabilité. Elle a donc créé Ethik’Hotels en 2020 à partir d’une simple idée : les meilleurs souvenirs de vacances sont quasiment toujours liés aux rencontres et aux échanges humains.

Pour sortir d’un modèle classique de « consommation » touristique, Ethik’Hotels a choisi de développer la mise en relation et non la réservation. Sa particularité, c’est précisément cette volonté forte de faire du contact humain la base de l’accès au tourisme durable. Exit la plateforme de réservation qui crée un intermédiaire supplémentaire ! Sur chaque page d’hôtel ou d’agence de voyages locale, Ethik’Hotels ajoute le site Internet et les coordonnées de l’établissement. Ainsi, les voyageurs peuvent s’imprégner de l’atmosphère du lieu en visitant le site Internet du professionnel, échanger directement avec leurs futurs hôtes, poser toutes leurs questions et créer donc du lien avant même la réservation.

Hôtels respectueux de l’environnement, écolodges, gîtes et campings responsables, agences de voyages locales et engagées… La plateforme ne répertorie pas moins de 350 hébergements dans 60 pays, dont un tiers en France, un quart en Europe et le reste dans le monde entier.

Et pour faire de chaque voyage une aventure humaine et responsable, le site d’Ethik’Hotels offre plusieurs options de recherches :

– Ceux qui ont déjà choisi leur prochaine destination se voient proposer la totalité des hébergements écologiques locaux référencés par la plateforme dans cette destination. Hôtels insolites, lodges durables, gîtes écoresponsables, il n’y a plus qu’à choisir et à contacter le ou les établissements sélectionnés.

– Pas encore décidé ? Direction le blog Ethik’Hotels pour trouver une mine d’idées et d’inspirations pour un prochain voyage 100 % responsable.

– Pas envie ou pas le temps d’organiser sa prochaine virée ? Ethik’Hotels propose aussi une liste d’agences de voyages locales et engagées. Parfait pour organiser des Ethik trips clés en main et profiter d’un séjour éco-responsable sans se prendre la tête.

Rendez-vous sur www.ethik-hotels.com

La Source – Un cadre naturel pour faire le plein d’énergie et rencontrer de grands experts

Imaginez un domaine de 53 hectares situé en pleine nature, dans un parc naturel préservé, qui vous offrirait la possibilité de vous baigner dans les vasques d’une rivière à l’eau cristalline, ou encore de méditer devant des panoramas à couper le souffle. Ce lieu presque magique existe. Il s’appelle LA SOURCE.

Situé dans les Cévennes, il accueille des visiteurs en quête de sens et d’activités épanouissantes.

Parmi ses concepts originaux, « Conférences & Randonnées » qui accueille les plus grands experts de la santé, du bien-être ou encore de la spiritualité, venus pour partager leurs connaissances et leurs pratiques en toute intimité avec des petits groupes de participants.

Tandis que les matinées sont dédiées à la randonnée (marches accessibles à tous), les après-midis s’organisent autour des conférences, qui se déroulent sur une plateforme installée au-dessus de la rivière du domaine.

La cuisine proposée à La Source est végétale et préparée par un chef professionnel passionné pour surprendre vos papilles tout en apportant à votre corps tous les nutriments essentiels dont il a besoin.

À découvrir également : « Le Reset », le premier programme « santé » signature de La Source, qui propose une expérience de 5 jours alliant détox digitale, méditation, jeûne intermittent… pour repartir au top de sa forme afin de mener à bien tous ses projets !

Informations et réservations :
www.lasource-domainedebayssac.com

Bouger en Drôme Provençale

Organisés par l’association Prendre un Temps pour Soi, de la douceur, de la couleur, du bien-être. Le printemps et le Mas aux Trois Fontaines à Nyons s’unissent pour vous offrir le meilleur d’eux-mêmes.

Deux séjours sont proposés

– Bien-Être Bioactif et Yoga Biovita
les 19 et 20 mars
– Aquarelle et Botanique
du 17 au 21 avril

Toutes les informations utiles sur les pages :
https://prendreuntempspoursoi.com/
https://lemasauxtroisfontaines.com/
Et au 06 18 71 57 38

La compatibilité électromagnétique

Petit lexique de géobiologie…

Un appareil électrique ne doit pas :
– Perturber son environnement électromagnétique (les autres appareils électriques se trouvant dans son environnement),
– Ni être perturbé par son environnement électromagnétique.

La compatibilité électromagnétique (CEM) est encadrée par des normes. Pour faire simple (pour certaines hyperfréquences) : les appareils grand public ne doivent pas dépasser la norme de 3 volts/mètre (V/m) et, dans l’industrie, de 10 V/m.

Il existe donc une reconnaissance indirecte qu’une onde électromagnétique peut être perturbante, et cela est incontestable puisque l’appareil dysfonctionne en présence de l’appareil perturbateur et se remet à fonctionner normalement après l’éloignement dudit appareil. Il est intéressant de noter que les valeurs maximales autorisées pour les appareils électriques sont très faibles si on les compare à celles admises pour les êtres humains (entre 28 et 61 V/m d’après les normes officielles d’hyperfréquences… Mais rappelons que nos consignes de prévention prudente (issus des rapports bio.initiative) sont de 0,6 V/m pour le grand public et 0,06 V/m pour les personnes électrohypersensibles).

Nous pouvons aussi citer l’exemple de la polémique actuelle sur la 5G qui pourrait perturber, selon les acteurs du secteur aérien américains, le bon fonctionnement de certains appareils de bord. Dans ce cas, il s’agit de fréquences trop proches.

La grande difficulté que rencontre l’être humain quant à l’impact des ondes électromagnétiques vient du fait que ses pathologies sont multifactorielles et qu’il ne s’arrête pas de fonctionner comme un banal appareil électrique.

J’ai été mandaté plusieurs fois afin de régler un problème avéré de dysfonctionnement de machines, où j’ai pu constater une autre problématique humaine, plus difficile à quantifier.

Pour ne citer que 2 exemples :

• Dans un atelier où une machine-outil se mettait en erreur à cause d’un environnement électromagnétique élevé, il est apparu que le chef d’atelier était en conflit avec sa direction suite à plusieurs incidents cardiaques qu’il attribuait – à tort ou à raison – à ce contexte. La direction a accepté mes conseils de déplacement de la machine en zone neutre, mais a réfuté toute action en faveur du chef d’atelier ; il est vrai que les mesures se situaient sous les normes françaises (élevées). La position de la direction est toutefois compréhensible car il m’est impossible d’apporter des preuves irréfutables, toujours du fait du caractère multifactoriel d’une pathologie ; cela ouvrirait un précédent qui pourrait se révéler préjudiciable par la suite, alors que cela n’est pas nécessaire puisque les obligations légales sont respectées. Après avoir expliqué la situation au chef d’atelier, nous avons pris l’initiative – officieuse – de trouver une zone neutre et de déplacer son bureau.

• J’ai été appelé par des soignants chez un particulier en raison du dysfonctionnement d’une pompe d’alimentation. J’ai découvert un contexte électromagnétique très élevé qui expliquait la situation, mais également un monsieur alité (maladie de Charcot) dans ce même environnement (notamment sur un lit électrique non blindé correctement). Le travail réalisé pour résoudre l’anomalie de l’appareil électrique a donc très probablement aussi été profitable à cette personne.

MON CONSEIL BIEN-ÊTRE.

Les doutes sur l’exposition aux ondes électromagnétiques existent, mais il est impossible de les prouver de manière catégorique. Cela dépend de la constitution de la personne et aussi de la source : fréquence, puissance, durée d’exposition… À chacun de décider de la conduite à tenir pour lui-même : ne rien faire, ou engager une démarche personnelle dans l’objectif d’améliorer son propre environnement électromagnétique. Surtout lorsque l’on sait qu’il est très facile d’y remédier, à un coût souvent dérisoire.

Philippe Bouchaud – GCB Conseils
www.geobiologie-pb.com
info@geobiologie-pb.com
06 15 21 18 74

La Maison de la planète

Un nouveau lieu hybride dédié à la transition écologique

Créée par la ville de Boulogne-Billancourt, à l’initiative du maire Pierre-Christophe Baguet, la Maison de la planète est un programme d’hybridation urbaine mêlant activités économiques et initiatives citoyennes et associatives dans les domaines de l’écologie, du sport et de la culture. Sur une superficie de 1 430 m², cet écosystème singulier marque la forte mobilisation de la ville pour faire la promotion des low-tech et des modes de vie plus respectueux de l’homme et de la planète. Ici, la vocation est d’informer et de former à la réduction de notre impact sur le climat dans les gestes du quotidien.

En quelques mots, la Maison de la planète, c’est :

– Un lieu pour découvrir comment réduire son impact environnemental au quotidien, les démarches zéro déchet, zéro gaspillage, zéro carbone et passer à l’action.

– Pour tous, dans des domaines aussi variés que l’énergie, l’alimentation, l’eau, la gestion des déchets, les matériaux, l’habitat, les transports, l’hygiène ou encore la santé.

– Un espace d’échange entre toutes les institutions, associations et entreprises oeuvrant dans le domaine de l’environnement et de l’économie circulaire.

– Un laboratoire de transition et d’initiatives éco-citoyennes : apprentissage, expérimentation, et d’éducation à la transition écologique.

– La création d’un écosystème des entreprises du territoire dans le but de financer des opérations d’intérêt général destinées à réduire l’impact des activités de l’homme sur l’environnement.

– Un laboratoire d’expérimentation des techniques écoconçues animé par un « comité scientifique », dont la mission sera de sélectionner, parmi les centaines d’innovations écoresponsables conçues chaque année (startup, projets professionnels…) celles que la ville pourra expérimenter dans l’espace public, l’habitat social ou les bâtiments municipaux.

Les portes de la Maison de la planète se sont ouvertes le 1er mars 2022.

+ d’infos : www.boulognebillancourt.com

Réservoirs d’eau solide

Une solution innovante qui rend les plantes autonomes

L’arrosage des plantes, des espaces verts et des cultures est une importante source de gaspillage d’eau : 80 % de l’eau utilisée disparaissent dans les sous-sols et ne sont pas exploités par les plantes. C’est pour permettre une meilleure gestion de l’eau que Samuel Philibert-Charles a créé les réservoirs d’eau solide Berger-World : des cristaux qui permettent aux plantes d’absorber l’eau en fonction de leurs besoins. L’eau est donc en permanence à disposition des plantes.

Concrètement, le réservoir d’eau Berger-World prend la forme de petits cristaux hydro-rétenteurs composés d’acide polyacrylique et de matière sèche à 95 %. Mélangés aux semences ou placés au niveau des racines, ils permettent aux plantes d’absorber l’eau et les éléments nutritifs suivant leurs besoins et de manière continue.

Les cristaux sont écologiques et économiques : 5 grammes de produit peuvent retenir jusqu’à 1 litre d’eau, et les cristaux peuvent être utilisés pendant 5 ans. Ils ne contiennent pas d’acrylamide et sont biodégradables : ils n’ont donc pas d’impact sur les êtres vivants du sol, sur les eaux souterraines et les nappes phréatiques.

La gamme Berger-World est par ailleurs fabriquée en Europe et conditionnée en France.

Cette solution innovante s’adresse aux professionnels en zones urbaines et agricoles (communes, parcs, pépiniéristes et exploitants agricoles), ainsi qu’au grand public pour arroser les plantes d’intérieur, les potagers et les plantes d’extérieur.

Elle répond tout particulièrement aux besoins des propriétaires de maisons secondaires et aux personnes souvent absentes de chez elles, qui ne peuvent pas arroser leur jardin ou leurs plantes au quotidien.

Plus d’infos : https://berger-world.com

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