Nous passons un tiers de notre vie assoupis ! Mais pour quoi faire ?
Dormir est une fonction vitale, essentielle pour rester en vie. Ne rien faire, c’est indispensable ? Eh bien, oui ! C’est plutôt agréable à entendre, même si ce n’est qu’en apparence, car de nombreux phénomènes se produisent lorsque nous dormons…
Ne dit-on pas que le sommeil permet de recharger les batteries ?
De nombreux mécanismes complexes sont à l’oeuvre : création de la mémoire, apprentissage, immunité, repos du corps…
Les enjeux du sommeil sont très importants et les troubles associés vont avec la diminution régulière du temps que nous y consacrons : 1 h 30 en moyenne de moins qu’il y a 50 ans. Dormir n’est pas une perte de temps, même si un rêve serait de pouvoir concentrer les différents cycles du sommeil pour dégager du temps à être toujours plus actifs… Une durée idéale de 7 h à 8 h est généralement admise, mais l’essentiel est de pouvoir dormir de façon équilibrée.
Vive la sieste après une soirée prolongée ou lors d’une journée de repos ! Il faut savoir écouter son corps qui réclame du repos pour lui et pour la « tête »… Amusant lorsque l’on définit le sommeil par une baisse de l’état de conscience qui sépare deux périodes d’éveil. Voilà que la force de l’éveil est battue en brèche par le besoin de perte de vigilance et de diminution du tonus musculaire…
Dormir, c’est « tendance ». En fait, ce qui est tendance, c’est surtout d’être en bonne santé, d’écouter son corps et donc de consacrer du temps à cette activité indispensable : micro-siestes, salles de repos… La liste est longue et se reposer commence à être perçu comme une force et non de la fainéantise.
La recherche d’un sommeil de qualité devient tendance. En plus, cela développe l’activité cérébrale. De là à imaginer des compétitions de sommeil… Et pourquoi pas ! En attendant… À vos oreillers… Prêts ? Prenez le pouvoir de l’intérieur : dormez !
Olivier Guilbaud
Co-dirigeant du Groupe Laboratoire
Science et Nature
Profitons des fêtes de fin d’année, propices à la générosité, pour porter la solidarité et soutenir les paysannes et paysans français et dumonde entier ! Pour cela, partons à la recherche du label repère de la bio équitable et responsable BIOPARTENAIRE® en magasin bio :
Une consommation solidaire, équitable et responsable pour les fêtes ?
Bien que la période des fêtes soit synonyme de partage, elle reste une période importante de consumérisme. « Plaisir d’offrir, joie de recevoir » s’adresse aussi à ceux qui se trouvent derrière les produits que nous achetons !
Quel est le réel prix de cette consommation festive ? N’est-ce pas le bon moment pour se tourner vers une consommation plus solidaire et responsable ?
Le commerce équitable participe à une chaîne de solidarité humaine ! En défendant des conditions de travail et des revenus justes pour les paysannes et paysans, il permet à des milliers de personnes et leurs familles de vivre dignement et de travailler dans des conditions décentes. Il intègre aussi un vrai combat pour la planète.
Les fondamentaux du label BIOPARTENAIRE ® depuis plus de 20 ans ? Respecter les valeurs de la bio, dans une démarche durable et dans un esprit collectif de préservation de la Terre, des femmes et des hommes !
Qu’apporte le label BIOPARTENAIRE® aux paysannes et paysans ?
« Pour moi, quelque chose a changé : jegagne de l’argent que je n’ai jamais euavant et je développe mon activité. J’ai puconstruire ma maison, par exemple. J’aiacheté une vache et je l’ai mise à la maison.Cela a de la valeur pour moi et pour mesenfants, car ils dorment le ventre plein. Ilspeuvent se faire soigner car la mutuelle estpayée d’avance. »
Valéria Mulangéréo – Productrice d’ananas au Rwanda, engagée en BIOPARTENAIRE®
« L’impact, pour moi, c’est une garantiesupplémentaire du bio et cela donne unevaleur de plus à mon produit. Le bio, c’est lerespect de la Terre, BIOPARTENAIRE® c’est lerespect des hommes. »
Robert Laurent – Paysan membre du groupement Produire bio ensemble, engagé en BIOPARTENAIRE®
Un produit labellisé : quelles garanties ?
Dans vos magasins bio, plus de 1 000 produits équitables de qualité arborent fièrement le label BIOPARTENAIRE® dans des rayons variés : des chocolats aux fruits secs, en passant par les cosmétiques, biscuits, pains, épices, infusions, produits laitiers, boissons, huiles… Les fêtes de fin d’année sont le moment propice pour soutenir ces produits engagés, qui garantissent :
• La juste rémunération et de meilleuresconditions de vie des paysannes et paysans français et internationaux. BIOPARTENAIRE® apporte une sécurité financière grâce à des contrats qui garantissent des prix et des volumes sur plusieurs années.
• La mise en place de projets de développementagricoles et sociaux selon les besoins collectifs des paysannes et paysans, à partir du fonds de développement* : accès à l’éducation, aux soins, au numérique, inclusion des femmes dans les activités économiques et prises de décision, achat de matériel…
• Les démarches responsables : les conditions de travail respectent des exigences économiques (emplois pérennes…), sociales (travail des enfants, nondiscrimination…), sanitaires et de sécurité (équipements de protection…). Chaque partenaire est également exigeant en matière d’écologie : maintien de la biodiversité, préservation de la ressource en eau…
• Le label est réservé aux produits desmarques vendues exclusivement enmagasins spécialisés bio. En cohérence avec les valeurs du label, vous ne retrouverez pas BIOPARTENAIRE® en grandes surfaces !
• Un label associatif. Pas d’objectif financier, uniquement la volonté d’un commerce plus équitable pour toutes et tous, à commencer par les paysannes et paysans !
Derrière chaque produit labellisé, il y a des Biopartenariats : des femmes et des hommes qui ont choisi de travailler ensemble pour un modèle économique durable. Ils mettent en place une chaîne d’engagements réciproques, équitables et sur du long terme, pour proposer de bons produits, respectueux des humains et de la Terre. Faites, vous aussi, le choix d’une bio équitable et responsable pour les fêtes. Avec le label BIOPARTENAIRE® comme repère, un coup d’oeil suffit !
* Une contribution financière systématiqueversée au groupement de paysannes et depaysans, pour développer des pratiquescollectives agroécologiques et/ou sociales.Ce sont les paysannes et les paysans quidécident de son utilisation.
Notre sélection de produits BIOPARTENAIRE® à retrouver dans les magasins bio pour les fêtes de fin d’année :
Tisane DouceurHivernalede TisanesLe Dauphin
Baume de beurre de karité à l’huiled’argan d’Emma Noël
Pour initier les étudiants en design àl’écoconception et au recyclage valorisant touten redonnant de la valeur à du mobilier ou àdes objets délaissés.
Depuis le 1er janvier 2022, la réglementation oblige tous les professionnels à organiser la collecte et le recyclage des déchets issus des produits et matériaux qu’ils mettent sur le marché. C’est dans ce contexte que SG Design, agence tourangelle spécialisée dans le design d’espace expérientiel, lance Design Engagé : un projet de 7 mois basé sur l’upcycling des meubles et objets du quotidien.
Réalisé en coopération avec Emmaüs et les lycées d’Arsonval et Sainte-Marguerite, il va permettre d’initier des étudiants en design et marchandisage à l’écoconception.
Des meubles et objets vont ainsi être conçus par les étudiants, à partir de produits en fin de vie et issus des mobiliers récupérés par Emmaüs. À ces mobiliers seront ajoutés de nombreux matériaux, initialement destinés à la déchetterie et récupérés auprès d’industriels partenaires. À terme, il aboutira à la réalisation de mobiliers et d’objets au design unique, qui seront exposés publiquement afin de valoriser les talents de ces futurs designers.
Pour finaliser ce projet, les étudiants auront près d’une dizaine de workshops (ateliers de création) répartis sur plusieurs mois afin d’expérimenter toutes les phases de conception. Du workshop in situ au prototypage, en passant par des phases de recherche appliquée, ils pourront entièrement prendre part à ce projet de design engagé.
Une exposition publique des créations des étudiants aura d’ailleurs lieu de septembre à décembre 2023.
Un système de production décentralisé, des circuits courts de distribution et une économiecirculaire en zone rurale : voici le pari de Gaz de Ferme.
Gaz de Ferme, c’est une nouvelle approche autour d’une technologie brevetée qui valorise le biogaz et permet de répondre à de nombreux objectifs :
Diminuer les émissions de gaz à effet de serre (GES), multiplier par 100 la production de gaz vert d’ici 2030, permettre à l’agriculture de se passer des hydrocarbures fossiles, ne plus importer de gaz ni de pétrole, vivre à la campagne sans dépendre du gasoil, du sans-plomb, du propane ni du fuel.
Car face à l’augmentation du prix du gaz et des carburants, si le biogaz apparaît comme une formidable opportunité, toute la filière se heurte actuellement à un défi majeur : la difficile valorisation de cette énergie verte.
Il y a en effet plusieurs obstacles :
Ses 2 principaux composants (méthane à 60 % et dioxyde de carbone à 40 %) ont une action antagoniste ;
Actuellement, les gisements de biogaz génèrent en moyenne 40 % d’émission directe de GES dans l’atmosphère ;
Plus de 95 % des gisements de biogaz exploités à ce jour ne bénéficient pas d’un traitement du biogaz performant, ce qui limite fortement la valeur ajoutée par m3 de biogaz produit ;
Les solutions de traitement actuelles ne s’adaptent pas à toutes les tailles de gisements.
D’où l’intérêt de l’innovation développée par le groupe français Gaz de ferme : le carboséparateur. Cette technologie brevetée révolutionne la rentabilité et le bilan carbone des gisements de biogaz, une énergie 100 % naturelle et renouvelable.
Pourquoi ?
Zéro émission. Grâce au procédé de carboséparation, la totalité du carbone traité est captée et valorisée. Il n’y a plus aucun rejet direct dans l’atmosphère.
Économies. Zéro intrant chimique, zéro consommable : la technologie Gaz de Ferme utilise un volume limité d’eau, qui est régénéré en permanence. De plus, la consommation électrique est réduite au maximum et le corps de la machine est conçu pour durer (acier inox).
Des débouchés diversifiéset rentables. La production de biométhane permet de viser des débouchés moins hasardeux que l’électricité ou la chaleur : carburant, combustible, injection. La production de dioxyde de carbone complète cette valorisation et diversifie encore les débouchés : agroalimentaire, loisirs, sécurité, éco-industries… La solution Gaz de Ferme s’intègre par ailleurs aux fermes équipées en cogénération biogaz.
Fiabilité et confiance. Gaz de Ferme assure systématiquement l’exploitation et la maintenance de ses appareils. La sécurisation de ses installations permet de rétablir la confiance avec les propriétaires des gisements en offrant un service complet d’exploitation sur le long terme.
Pour faire face à une forte demande et déployer sa solution, Gaz de Ferme a besoin de décupler ses fonds propres pour financer 3 objectifs : la mise en production du carboséparateur, l’accélération commerciale pour le C02 bio en bouteille, et le renforcement de l’équipe et de la structure.
Gaz de Ferme a vu le jour grâce à la curiosité insatiable de Pierre Lebbe. Depuis plus de 20 ans, il mêle l’exploitation d’une ferme avec l’expérimentation en énergies renouvelables : chez lui, chèvres et tracteurs, poste à soudure et armoire électrique, bouteille de gaz et théorèmes thermodynamiques se côtoient au quotidien.
Persuadé des intérêts de la petite méthanisation pour les fermes et déçu par le manque d’initiatives dans le domaine, Pierre contacte Romain pour lui faire part de ses avancées. Enthousiaste, Romain propose à Pierre et Robert de s’associer pour créer Gaz de Ferme et populariser l’épuration du biogaz dans les fermes du sud-ouest.
Pendant 5 ans, ils vont améliorer l’épurateur, puis déposer un brevet, définir un modèle économique innovant, étudier le marché du dioxyde de carbone et du méthane, et identifier les premiers clients. À l’été 2019, ils embauchent 3 employés pour lancer l’activité de l’entreprise. En 2020, l’entreprise convainc son premier client. En 2021, elle lance la première gamme de bouteilles de CO2 100 % biosourcé.
En 2022, face à une demande forte et le besoin d’accélérer le déploiement, les fondateurs décident d’une levée de fonds et d’une ouverture du capital.
avec Isabelle Bon
spécialiste de la cosmétiquequantique
En pleine mutation depuis quelques années, la cosmétique ne cesse de se métamorphoser pour devenir de plus en plus engagée et éclairée. Désormais, elle ne se contente pas seulement de sublimer notre peau, mais cherche aussi à magnifier notre aura, à contribuer à notre bien-être et à nous faire rayonner comme jamais.
Isabelle Bon, spécialiste de la cosmétique quantique, nous éclaire sur cette beauté multidimensionnelle.
Selon vous, la cosmétique purement topique a-t-elle atteint ses limites ?
La beauté est généralement associée à l’aspect physique, à la plastique des choses et des personnes. Or, nous savons aujourd’hui que la beauté prend sa source plus profondément en chacun de nous, qu’elle est intimement liée à l’état d’âme de chacun. Une personne qui n’est pas apaisée, qui ne se sent pas bien ou qui manque de confiance en elle ne peut se sentir belle. L’état de ses pensées et de son âme, les jugements qu’elle porte sur elle vont l’affecter et empêcher son énergie de rayonner pleinement. En effet, lorsque l’énergie est déstabilisée, désaxée, nous perdons en ressources, en force, et notre bien-être physique et mental s’affaiblit. Au contraire, lorsque notre système est dynamisé, notre santé se renforce et notre beauté rayonne, nous sommes attirants aux yeux des autres. La beauté intérieure est ainsi un rayonnement qui émane des profondeurs de notre champ énergétique.
C’est un cercle vertueux qui nous rend aussi plus beau aux yeux des autres. L’expression d’une « personne solaire » n’en est-elle pas la parfaite illustration ?
Pour faire rayonner pleinement l’énergie de votre beauté, il faut se sentir bien dans sa peau sur tous les plans ! Au programme, focus sur la force de notre intention beauté, rééquilibrage des énergies, élimination des toxines, activation du processus d’autoguérison naturel et revitalisation des cellules par le son, la lumière et la vibration. Assurer une montée en puissance vibratoire et une accélération de la réinformation cellulaire pour stimuler l’activité du système nerveux autonome et permettre l’émission d’électrons sur la peau pour rendre visibles toutes les facettes de la lumière de notre beauté.
Vous croyez beaucoup en l’avènement d’une beauté énergétique. Pour quelles raisons ?
« Tout est vibration », disait déjà Albert Einstein. Eh oui, il est bon de rappeler que nous sommes des êtres faits d’énergie, vivant dans un monde constitué d’énergie !
À ce titre, la physique quantique fait partie intégrante de notre quotidien, sans même que nous en prenions réellement conscience.
L’énergie est une force constitutive de nos cellules qui garantit la dynamique vitale de l’être lorsqu’elle est en harmonie. Dans notre monde cellulaire, nous avons des atomes, des ions et des électrons, et même des particules de lumière, les photons, que l’on peut voir au microscope à la puissance moins 17.
La beauté énergétique prend aussi sa source dans la pleine conscience, dans l’éveil des sens et dans la capacité à découvrir la lumière unique que chacun de nous porte en lui. Se connecter à cette énergie, c’est rejoindre une vie remplie de force et d’équilibre, qui vous rapproche chaque jour davantage de cet éveil radieux. En nous réside une source intarissable de beauté, que nous trouverons dans la connaissance de nous-même. C’est cette source qu’il nous faut cultiver et que vous pouvez cultiver au travers de soins et de rituels quantiques.
On entend de plus en plus parler d’aura cosmétique. Qu’est-ce que c’est ?
Nous ne pouvons le nier : indépendamment de toute cosmétique topique, notre beauté ne ressemble pas à un long fleuve tranquille. Certains jours, nous nous trouvons belle – même avec peu de sommeil – et d’autres jours rien ne va : notre perception de notre apparence et de nos traits nous semble ingrate et nous mine le moral. C’est bien la preuve qu’une dimension plus spirituelle et holistique entre en jeu, qu’il existe une aura ou un vrai visage de notre âme qui influe sur nous. L’aura est décrite comme un halo lumineux qui entoure la personne et la pénètre. Tous les êtres vivants et les objets en possèdent une, parce que tout ce qui nous entoure émet une énergie.
Chez chacun d’entre nous, l’aura est un champ magnétique alimenté et formé par les rayonnements des chakras et ceux émis par l’ensemble de tous nos corps subtils, en partant du corps physique jusqu’au corps spirituel. Elle regroupe donc l’ensemble de nos centres énergétiques.
Une aura saine et lumineuse est formée de couches d’énergie de couleurs parfaitement symétriques par rapport au corps physique, qui en disent long sur notre état physique et mental. Les perturbations sont perçues comme des zones moins lumineuses, des couleurs moins franches ou qui se mélangent à une autre. On voit tout dans l’aura, puisqu’elle contient toutes les informations du corps et parce que les émotions qui nous parasitent ont des répercussions tant sur le plan mental que sur le plan physique. Il y a interdépendance entre l’aura et le corps physique : tout changement sur l’un a des répercussions sur l’autre.
Il est donc possible d’agir sur plusieurs niveaux avec des soins énergétiques pour notre bien-être en général et notre beauté en particulier.
Vous révolutionnez l’essence même de la cosmétique en y intégrant les notions d’énergie et de vibrations. Le consommateur est-il prêt à vivre une telle expérience cosmétique ?
J’étais profondément convaincue que « toute la magie n’était pas seulement dans un flacon », mais aussi dans la reconnexion avec sa beauté intérieure, sa nature profonde et l’univers du vivant.
Dans un monde de plus en plus connecté, les premiers consommateurs ont très bien accueilli l’équilibre entre l’efficacité des soins naturels et la dimension technologique vertueuse des thérapies de biorésonance et des neurosciences déjà largement reconnues.
Comment définiriez-vous simplement la beauté quantique, terme que vous avez déposé ?
Une beauté quantique®, c’est une beauté éclairée par l’énergie de la nature. Naturelle, inclusive, hyper-personnalisée, dynamique et durable, elle est incarnée et sublimée sur tous les plans. C’est une beauté in and out, en harmonie avec son environnement du plus profond des cellules jusqu’aux confins de l’univers.
Sur quels fondements repose-t-elle ?
Tout est énergie au niveau cellulaire, selon moi. Par exemple, pour révéler un regard éclairé et lifté, nous sublimons la peau avec l’application d’un sérum tenseur effet lifting rafraîchissant et relaxant sur le contour de l’œil et sur la zone frontale du 3e œil. L’action subtile de la synergie d’huiles essentielles et de l’encodage informationnel permet de remonter à la source de la problématique de préoccupation des rides : la peur de vieillir, la peur de mourir… En préparant l’âme au passage, nous désamorçons toute la source de la préoccupation pour un profond lâcher prise et enclencher le processus de guérison.
Au travers de votre gamme de soins Energecia, votre souhait était de parvenir à transcender ‘essence de vie des plantes dans des soins capables de réharmoniser les flux d’énergie essentiels pour se sentir bien dans sa peau et de transcender la réinformation cellulaire. Y êtes-vous parvenue ?
J’y suis arrivée en collaboration avec mon binôme Christophe, en charge de la R&D, avec qui nous avons su faire évoluer ce procédé d’encodage quantique en plusieurs étapes. Tout d’abord en se concentrant sur l’impact subtil des plantes selon leur place dans l’échelle botanique, l’équilibre quantitatif/qualitatif des ingrédients, la transcendance de la puissance vibratoire, puis la qualité informationnelle avec « l’œil quantique » d’experts internationaux.
Qu’est-ce qu’un taux vibratoire d’un soin cosmétique et en quoi nous permet-il d’être plus belle ?
La force vitale est à la base de toute vie, elle se mesure avec le taux vibratoire. Toutes les approches holistiques reposent sur cette force vitale invisible, mais bien existante. Nos cellules sont en relation avec une « force », une « énergie », qui organise, régule, répare nos fonctions organiques et nos corps sur tous les plans pour révéler notre plein potentiel beauté pour une beauté éclairée, une peau rayonnante.
En quoi consiste votre savoir-faire alchimique vous permettant d’obtenir un taux vibratoire 3 fois plus puissant qu’un soin cosmétique traditionnel ?
Mon savoir-faire repose sur l’interaction entre la lumière et les cellules pour révéler en conscience une nouvelle beauté multidimensionnelle. Il s’appuie sur la révélation des quantas de lumière – une onde lumineuse composée de photons qui transmet de l’information à travers chacune des cellules – dotés d’une mémoire universelle. Cette révélation permet de réinformer les cellules en dynamisant leur taux vibratoire pour transcender la beauté et le bien-être.
Mi-octobre 2022, le Conseil d’État a condamné l’État à 20 millions d’euros d’amendes pour le non-respect répété des normes européennes et françaises en matière de qualité de l’air. Dans un communiqué publié en parallèle de sa décision, le Conseil d’État explique que : « si des améliorationsdans la durée ont été constatées, les seuils limitesde pollution au dioxyde d’azote – qui doivent être respectésdepuis 2010 – restent dépassés dans plusieurs zones enFrance, notamment dans les agglomérations de Paris, Lyonet Marseille. À ce jour, les mesures prises par l’État ne garantissentpas que la qualité de l’air s’améliore de telle sorte queles seuils limites de pollution soient respectés dans les délaisles plus courts possibles. »
Il a donc infligé 2 amendes d’un montant de 10 millions d’euros chacune à l’État, reprochant à ce dernier de ne pas appliquer la réglementation européenne en la matière et sa transposition dans la loi française.
Le Conseil d’État avait en effet été saisi en 2017 de l’affaire par des associations de défense de l’environnement. Il avait alors demandé à l’État d’agir pour réduire la pollution au dioxyde d’azote (NOx) et aux particules fines (PM10) sous peine d’une amende de 10 millions d’euros par semestre de retard.
Il réexaminera en 2023 la situation et la portée des mesures prises entre septembre 2022 et 2023.
Selon l’évaluation de référence du Fonds mondial pour la nature (WWF) publié mi-octobre 2022, la planète a perdu en moyenne près de 70 % de ses populations d’animaux sauvages en une cinquantaine d’années.
Entre 1970 et 2018, environ 69 % des populations de cette faune sauvage – poissons, oiseaux, mammifères, amphibiens et reptiles – ont ainsi disparu, selon l’Indice Planète vivante, outil de référence publié tous les 2 ans par le WWF.
Selon le rapport, la destruction des habitats naturels, en particulier pour développer l’agriculture, reste la cause principale, suivie par la surexploitation et le braconnage.
Le changement climatique est le 3e facteur, mais son rôle « augmente très, très vite », met en garde Marco Lambertini, directeur général du WWF. Suivent la pollution de l’air, de l’eau et du sol, ainsi que la dissémination par l’homme des espèces invasives.
Pour « inverser la courbe de la perte de biodiversité» et « atténuer le changement climatique », le rapport plaide pour l’intensification des efforts de conservation et de restauration, la production et la consommation d’aliments plus durables et la décarbonation rapide de tous les secteurs économiques. Une alerte rouge de plus pour la planète et ses habitants.
Le changement de saison est une période particulièrement intéressante pour faire du Bol d’air. C’est le moment de vous assurer du bon fonctionnement de votre appareil. Le forfait révision vous garantit le maintien de ses performances. Depuis sa création, Holiste s’engage à fournir des appareils de qualité et à prolonger leur durée de vie.
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Offre valable jusqu’au 30 novembre
Le Bol d’air optimise l’oxygénation de l’organisme. Il augmente et entretient notre faculté d’assimilation de l’oxygène normalement respiré. Le Bol d’air contribue ainsi à préserver un bon état de santé.
Objectif : respirer plus efficacement
Notre capacité à utiliser l’oxygène de l’air diminue en raison de nombreux facteurs comme la pollution, les conditions de vie, le stress, le vieillissement, la maladie… Le Bol d’air apporte une solution à la sous-oxygénation cellulaire (hypoxie) qui en découle. En savoir plus sur la sous-oxygénation
Lorsque nous respirons, l’oxygène pénètre au fond des alvéoles pulmonaires. Il se lie à l’hémoglobine de façon instable et forme avec elle l’oxyhémoglobine. L’oxyhémoglobine, transportée par le sang dans tout l’organisme, cède son oxygène aux cellules sous une forme assimilable. Elle se ré-oxygène en revenant aux poumons et le cycle recommence.
Dans l’air que nous respirons, même en cas de pollution extrême, l’oxygène est constamment disponible et sa concentration est de 21% depuis des millénaires. Si nos cellules manquent d’oxygène, c’est bien notre capacité à l’utiliser qui est en cause.
Une solution grandeur nature
René Jacquier avait constaté que depuis l’Antiquité, les lieux de santé se situaient dans des forêts de pins et de sapins. D’observations en expériences, il trouva dans les essences du pin des Landes (Pinus pinaster) la réponse à ses questions.
Le rôle de l’essence de pin
L’essence de résine de pin, riche en alpha et beta pinènes, est composée de molécules aromatiques insaturées qui offrent la possibilité d’une liaison chimique supplémentaire. Dans l’atmosphère et dans certaines conditions physiques et météorologiques, elles se chargent fortement en oxygène, ce qui les rend très réactives. C’est à partir de ce phénomène naturel que René Jacquier a imaginé la solution Bol d’air : utiliser l’huile essentielle de résine de pin (térébenthine), pour créer un transporteur d’oxygène.
Un oxygène hautement assimilable
Les pinènes de l’huile essentielle Orésine®, transformés par peroxydation, deviennent des facilitateurs de l’oxygénation cellulaire. D’où le nom de biocatalyseurs que leur donnait René Jacquier.
Le mécanisme est triple : • l’oxygène est mieux distribué aux cellules. En effet, l’hémoglobine “capte” plus volontiers les pinènes oxygénés que l’oxygène seul. A quantité équivalente dans l’air inspiré, elle en transporte davantage vers les cellules •l’oxygène est plus facilement libéré dans les tissus : transporté par l’intermédiaire des pinènes, il est moins solidement lié à l’hémoglobine • l’oxygène est délivrésous une forme naissante, hautement assimilable par la cellule.
Une oxygénation équilibrée
Avec le Bol d’air, l’organisme est simplement et naturellement mieux oxygéné : • la respiration cellulaire s’effectue sans risque de stress oxydatif lié au déficit ou à l’excès d’oxygène • la fonction mitochondriale s’améliore :
– accroissement de la production d’énergie
– renforcement des défenses anti radicalaires • la biodisponibilité de l’oxygène est améliorée.
Cette approche n’a rien à voir avec une oxygénation quantitative qui consiste à inhaler plus d’oxygène qu’il n’y en a naturellement dans l’air. Elle est naturelle, sans danger et sans accoutumance.
*Le montant de votre location est totalement remboursé en cas d’achat d’un appareil dans le mois qui suit (dans la limite de 2 mois de location). Offre valable jusqu’au 30 novembre.
L’hiver arrive… Il est temps de dire au revoir aux longues journées ensoleillées et aux douces soirées d’été.
Penser un instant aux frimas et aux jours qui raccourcissent, leurs lots de virus et d’infections que l’on se passerait bien d’abriter, j’en ai des frissons… pas vous ?
C’est démontré, les virus préfèrent nous attaquer durant la saison froide, lorsque notre système immunitaire est affaibli. Fatigue, températures basses, notre corps, en lutte permanente, est alors davantage exposé aux maladies.
Novembre est là, et voilà que notre organisme manifeste ses premiers signes de fatigue et de vulnérabilité : mal à la gorge, nez qui coule…
Et si nous adoptions des solutions naturelles pour soutenir notre système immunitaire et lutter contre les infections de l’hiver ?
On n’attrape pas froid, mais ce sont les virus et les bactéries qui nous attrapent !
Le froid nous fragilise car, en asséchant notre muqueuse nasale, nos barrières en sont affectées. Virus et bactéries s’en donnent à coeur joie. À cela s’ajoute la prolifération virale qui s’accélère quand les rayons du soleil faiblissent. Eh oui, les U.V. détruisent les virus… Bien se couvrir, porter un bonnet, aérer les pièces même en hiver pour inviter les virus à sortir par la fenêtre sont déjà les bonnes attitudes à adopter.
Heureusement, pour nous aider, bien des solutions naturelles existent. Après des utilisations empiriques millénaires, aujourd’hui, de nombreuses études attestent des propriétés antibactériennes ou immunostimulantes de certaines plantes ou substances naturelles. Échinacée, papaye, vitamine C naturelle, extrait de pépins de pamplemousse et certaines huiles essentielles, comme le ravintsara, phycocyanine figurent ainsi parmi les meilleures solutions pour relancer notre immunité et/ou lutter efficacement contre certaines maladies infectieuses.
L’extrait de pépins de pamplemousse (EPP)
On présente traditionnellement l’EPP comme un produit naturel aux vertus antiseptiques et antimicrobiennes à large spectre, avec une action sur les bactéries, les virus, les champignons. L’EPP est obtenu à partir des pépins, mais certains ajoutent parfois la pulpe et la partie blanche des pamplemousses. Pour plus d’efficacité, il est préférable de choisir des extraits de pépins purs et bio. Ses effets antimicrobiens très larges font de l’extrait de pépins de pamplemousse un complément efficace pour de nombreux maux et très intéressant en cas d’infections hivernales.
Bienfaits de l’échinacée
L’échinacée est une plante réputée pour sa beauté, et notamment pour ses délicates fleurs roses. Les échinacées forment un genre de plantes appartenant à la famille des astéracées, qui comprend 9 espèces et 2 sous-espèces différentes. Ces plantes sont toutes originaires d’Amérique du Nord. En phytothérapie et en herboristerie, 3 espèces d’échinacées sont plus utilisées que les autres, dont Echinacea purpurea.
Par sa composition unique, l’échinacée pourpre stimule de façon significative les défenses naturelles de l’organisme et permet de réduire les désagréments et les symptômes du rhume tout en raccourcissant sa durée. D’après certaines études, l’échinacée renforcerait le système immunitaire, donnerait plus de résistance à l’organisme et consoliderait les défenses immunitaires pour mieux se défendre.
L’échinacée aurait également des vertus pour traiter les états infectieux localisés, notamment ORL : rhinopharyngites, otites, angines… et cutanés.
Une association d’échinacée et de sureau noir potentialisera les effets de ces 2 plantes. En effet, depuis l’Antiquité, le sureau noir est employé pour lutter contre le rhume et les excès de mucus. Chose assez rare, la plante a donné lieu à plusieurs essais pharmacologiques, publiés dans des revues scientifiques. Son usage est donc réputé en cas d’inflammations des voies respiratoires, d’état grippal, de bronchite ou de rhume, grâce à ses propriétés antivirales, antioxydantes et anti-inflammatoires.
On peut également booster ses défenses immunitaires grâce à la phycocyanine !
La phycocyanine, surnommée « l’or bleu » de la spiruline, est reconnue comme étant son composant le plus actif. C’est la source majeure des propriétés énergisantes, immunostimulantes et antioxydantes de la spiruline. Elle va naturellement et activement participer à la protection des cellules de l’organisme. Consommée en cure pour booster vos défenses immunitaires, la phycocyanine va démultiplier les bénéfices reconnus de la spiruline : soutien au système immunitaire, amélioration de la résistance de l’organisme, de la vitalité, du tonus. Il existe de la phycocyanine bio, qui est à privilégier. Des formes concentrées à 40 % de phycocyanine en gélules vous permettront d’ingérer la bonne dose, qui garantira l’efficacité.
Côté aromathérapie, les huiles essentielles sont des actifs puissants
L’huile essentielle de ravintsara est l’incontournable. Elle est présieuse lors des infections hivernales : bronchites, grippes, sinusites, rhumes, toux… Elle aide à dégager les voies respiratoires et nez bouchés.
Saviez-vous que les huiles essentielles sont encore plus efficaces en prise orale ?
Si vous souhaitez prendre de l’huile de ravintsara par voie orale, il faut absolument la diluer dans une huile végétale, sinon ce serait trop agressif. Le mieux est de l’associer à l’huile végétale de nigelle, dont l’action complémentaire rendra le traitement encore plus efficace. La nigelle est immunostimulante, en augmentant le nombre et l’activité des cellules impliquées dans les processus de l’immunité.
Sachez que l’on peut aussi trouver des huiles essentielles déjà diluées, prêtes à l’emploi, dont on peut tirer bénéfice par voie orale sans danger de surdosage. Attention toutefois à ne pas cumuler la prise de plusieurs huiles essentielles sans connaître les possibles interactions entre elles…
La papaye, fruit de jouvence et de l’immunité
Utilisée de façon ancestrale aux Philippines comme soutien de l’immunité et partenaire de longévité, la papaye (Carica papaya) peut être qualifiée de superfruit par sa richesse en fibres, minéraux et vitamines. Dans sa composition, nous retrouvons des enzymes, comme le glutathion, la superoxyde dismutase (SOD), la catalase et la peroxydase. Cette richesse en nutriments et enzymes fait de la papaye une extraordinaire source de vitalité pour l’organisme. La papaye constitue un véritable immunostimulant et un allié majeur de notre système immunitaire, pour nous maintenir en forme et faire face aux agressions de l’hiver.
De la manière la plus courante, la papaye fermentée peut être consommée en début d’hiver pour relancer et stimuler les défenses immunitaires et ainsi prévenir des infections hivernales courantes : grippe, rhumes, otites, sinusites, bronchites…
Vous pourrez la trouver associée à de la vitamine C naturelle extraite de l’acérola, pour un soutien de l’immunité encore plus efficace !
Quelques conseils d’hygiène de vie pour arrêter l’évolution d’un « petit froid » ?
Pensez d’abord à votre alimentation, qui doit être riche en vitamines et minéraux afin de fortifier votre organisme et augmenter vos défenses immunitaires. Alors, abusez de légumes verts et céréales semi-complètes, et limitez les matières grasses saturées, sucres et produits laitiers. Veillez également à avoir un sommeil réparateur pour que votre corps puisse récupérer et se battre contre les agresseurs.
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Nov 3, 17:35