Depuis 1907, Pural propose des produits pour une alimentation saine. L‘assortiment comprend plus de 200 produits biologiques et végétariens.
Avec le slogan « less is more », et par souci de l‘environnement, Pural s‘engage à :
• Une diminution de l‘empreinte carbone via l‘optimisation des emballages plastiques, le renoncement tant que possible à l‘huile de palme et via l‘utilisation de matières premières produites localement (sucre de betterave vs sucre de canne).
• Une diminution du sucre et du sel dans ses recettes (-25% de sel dans les chips de pommes de terre au sel de mer ; -30% de sucre dans les barres au sésame, amandes et noix).
• Un grand choix de produits sucrés et salés (aussi disponibles en format vrac) fabriqués en grande partie à base de céréales complètes lorsqu‘ils contiennent du blé, de l‘épeautre, du petit épeautre, du seigle, de l‘avoine ou du riz.
Catégories de produits :
Snacks salés
Pains croustillants
Pains longue conservation
Biscuits et confiserie
Tartinables et sauces
Aides culinaires
Produits à base de céréales
Pâtes alimentaires
Barres fruits et céréales
Fruits secs, noix et graines
Plats préparés et autres
Une jolie marque à découvrir exclusivement dans les magasins du réseau spécialisé bio et les sites de vente en ligne de produits biologiques et écologiques.
Ces derniers temps, le concept du jeûne a été vilipendé et dénigré. Il est vrai que faire jeûner des cancéreux dénutris et cachectiques relève de l’inconscience. Heureusement, les naturopathes en connaissent les contre-indications. La pratique du jeûne et/ou de l’abstinence alimentaire remonte à la nuit des temps. C’est même une pratique naturelle chez les animaux. Jusqu’à nos jours, le jeûne (ou la restriction alimentaire) à des fins spirituelles fut de beaucoup le plus important, loi religieuse chez quasiment tous les peuples de l’Antiquité.
Que ce soit par l’observation de certaines restrictions alimentaires, d’habitudes de tempérance ou d’un jeûne complet, la pratique exprimait une vertu sacrée. L’Occident ne fut pas en reste, avec Hildegarde Von Bingen (1098-1179). Cette religieuse bénédictine, dans son système de santé au naturel, recommandait comme une panacée de renoncer à la nourriture afin de traiter quarante maladies différentes. (pour aller plus loin, voilà 3 remèdes de Hildegarde de Bingen)
par le Dr Jean-Pierre Willem, chirurgien et anthropologue,acupuncteur, homéopathe,
phytothérapeute, aromathérapeute et auteur d’une quarantaine d’ouvrages
Le jeûne, une thérapie ?
Dans notre société d’abondance, le jeûne apparaît souvent comme un remède miracle : nous mangeons trop, il nous faut expier. En Suisse, en Amérique du Nord, en Russie, les cliniques de jeûne se multiplient. En Allemagne, la cure de jeûne est remboursée par la sécurité sociale, en Suisse par les mutuelles. En France, le jeûne était peu pratiqué. Aujourd’hui, on voit la création de centres labellisés « Jeûne et Randonnée », avec des stages d’une semaine.
Un salutaire retour aux sources
C’est en fait l’impuissance de la médecine face à certains phénomènes pathologiques qui orienta vers d’autres voies les recherches de quelques hygiénistes.
La science médicale s’était contentée de combattre la maladie dans ses manifestations multiples sans en rechercher les causes véritables.
C’est ainsi qu’une savante pharmacopée, coûteuse et bien souvent médiocrement active, s’est lentement constituée, sans pour autant résoudre ce problème de premier plan.
Si la médecine sait agir sur différentes pathologies particulièrement graves, elle ne sait pas vraiment gérer ce quotidien qui ne devrait pas nous amener à la maladie. Les médicaments qu’elle administre aggravent bien souvent l’état général de l’organisme, qui s’épuise dans la lutte qu’il soutient contre les toxiques conjugués.
Le jeûne peut être une solution pour échapper à une fatalité : si nous vivons de plus en plus vieux, c’est pieds et poings liés aux béquilles chimiques fournies par l’industrie du médicament…
… même s’il est assez paradoxal, au pays de Descartes, de concevoir que lorsqu’on supprime de la nourriture à un organisme, il devient plus fort !
Purifier notre organisme
Le jeûne est un excellent moyen de détoxiner et de désintoxiquer l’organisme. Il permet de récupérer et de recharger son énergie vitale par une action de fond. Le jeûne nous permet à la fois de nous nettoyer, de recharger nos batteries et de disposer de plus d’énergie vitale, créatrice, affective, émotionnelle et spirituelle.
D’un point de vue biologique, le jeûne met notre système digestif au repos, dès lors que nous n’ingérons plus de nourriture solide. Notre organisme commence par en profiter pour « faire le ménage », en évacuant les toxines et les toxiques accumulés au fil des jours, des mois et des années par une alimentation inadéquate. Cette phase d’élimination, parfois pénible, peut durer plusieurs jours et occasionner divers troubles, dont une grande fatigue.
Le phénomène de désintoxication de notre organisme qui s’opère alors est généralement accompagné d’un sentiment de faim qui finit par s’estomper, en même temps que les inconforts.
Ensuite, notre organisme, toujours au repos, en profite pour se régénérer et pour se renforcer. Les personnes qui souffrent de maladies métaboliques (notamment une résistance à l’insuline…) et dégénératives doivent approcher le jeûne avec prudence, car la première phase, celle de l’élimination, amplifie certains mécanismes pathologiques.
Jeûner pour rester jeune
En termes d’allongement de l’espérance de vie, la seule méthode qui ait vraiment fait ses preuves, chez les animaux en tout cas, est la restriction alimentaire. Chez le rat, le gain est de 50 % d’espérance de vie et de 30 % chez les primates, leur restriction calorique ayant débuté dès leur naissance. Les animaux sont en meilleure santé et paraissent plus jeunes que leur âge. Les baleines et les tortues marines peuvent jeûner plusieurs mois et vivent 150 ans.
Chez la souris, on a trouvé des effets positifs du jeûne sur les maladies neurodégénératives, comme Parkinson et Alzheimer. Pour les primates, non seulement ils perdent du poids, mais ils souffrent également deux fois moins de cancers liés à l’âge et de maladies cardio-vasculaires. Ils développent aussi moins de diabète. Le bénéfice serait également intéressant lorsque la restriction est entreprise seulement en milieu de vie.
Manger beaucoup moins
Ceux qui ont assez à manger pourraient utilement, pour eux et pour la planète, manger moins. Et d’abord commencer par pratiquer des jeûnes réguliers.
On sait que l’organisme commence par assimiler les nutriments consommés, puis, un peu plus tard, consomme les sucres stockés dans le foie et dans les graisses du corps : c’est ainsi qu’il élimine les éléments toxiques et regénère le système digestif. Le prix Nobel de médecine 2016 a été décerné au Japonais Yoshinori Ohsumi, pour ses travaux sur l’autophagie, mécanisme mis en œuvre lorsque la cellule, privée de nutriments extérieurs, digère une partie de son propre cytoplasme et permet ainsi son renouvellement.
Chez l’homme, la privation volontaire de nourriture favorise non seulement la perte de poids, mais aussi améliore l’acceptation de l’insuline par les diabétiques de type 2, diminue le risque de contracter des maladies cardiovasculaires, freine le vieillissement cellulaire.
OKINAWA : la référence !
Le régime d’Okinawa propose, par exemple, de ne jamais manger plus qu’à sa faim, voire en deçà (c’est le hara hachi bu, ou « ne manger qu’à 80 % de sa faim »). Les habitants de l’île consomment d’ailleurs 40 % de calories en moins que les Américains et 17 % de moins que les autres Japonais.
Dans ces principes de vie, la réduction alimentaire est révélatrice, chez les habitants de l’île d’Okinawa. Cette île japonaise qui fait partie d’un archipel de 160 îles, s’étendant entre le Japon proprement dit et Taïwan, est habitée par une proportion de centenaires plus importante que dans tout le reste du Japon. Les accidents cardio ou cérébro-vasculaires et les cancers hormono-dépendants y sont très faibles : près de moitié moins que dans le reste du Japon, 80 % de moins que dans les pays occidentaux.
On a aussi constaté que la densité osseuse est très élevée, en rapport avec l’incidence faible des fractures du col du fémur.
Cette inscription très ancienne gravée sur un rocher près de la plage d’Okinawa situe bien le contexte et l’état d’esprit des natifs : « À 70 ans, vous n’êtes qu’un enfant ; à 80, vous êtes à peine un adolescent; et à 90, si les ancêtres vous invitent à les rejoindre au paradis, demandez-leur d’attendre jusqu’à 100 ans, âge auquel vous reconsidérerez la question. »
Les études montrent clairement que ces bons scores ne sont pas dus à la présence d’un patrimoine génétique particulièrement généreux, ni à un secret extraordinaire ou à un aliment spécial, et encore moins à une pilule miracle ! Il s’agit tout simplement du résultat d’un style de vie sain où toutes les influences, en particulier nutritionnelles, sont respectées. Dernière observation intéressante et qui n’est en rien surprenante : cette performance sanitaire exceptionnelle tend à disparaître chez les jeunes Okinawaïens (comme pour les Hunzas), qui ont adopté un régime alimentaire moderne.
Les différents jeûnes
Le régime
En France et dans certains pays d’Europe, la diététique et l’hygiène physique et mentale restent les grandes absentes des hôpitaux et des enseignements universitaires. Elle se réduit à quantifier protides, lipides et glucides dans des proportions équilibrées.
Le régime est un domaine tabou, tandis que, dans les pays anglo-saxons, il fait l’objet de recherches et d’actions publiques de grande envergure. Les régimes ont toujours représenté le point fort des traitements non conventionnels, au point de constituer « la » thérapeutique du cancer pour certains d’entre eux.
Beaucoup ont d’ailleurs été mis au point par des malades qui se prétendent améliorés ou guéris par ceux-ci. Certains font partie d’une vision du monde ou d’une philosophie personnelle. C’est ainsi que certains de ces régimes, que leurs adeptes doivent suivre à la lettre, relèvent d’une approche sectaire. Toutefois, certains régimes, à condition d’être pratiqués à bon escient et limités dans le temps, présentent des effets bénéfiques.
Pour tous, ils soulignent un élément important de notre civilisation : la suralimentation.
Tous ont en commun d’être amaigrissants, pauvres en calories, pauvres en protéines d’origine animale ou en corps gras, qui favorisent l’éclosion des cancers hormono-dépendants (sein, prostate) en élevant les taux hormonaux.
Le jeûne intermittent
Il existe d’autres possibilités de bénéficier des effets positifs du jeûne sans devoir maigrir pour autant.
Une des pistes est de manger sans restriction calorique cinq jours par semaine puis, sur deux jours consécutifs, de jeûner ou, tout du moins, de ne pas dépasser 600 kilocalories par jour.
Parmi les personnes qui ont expérimenté le jeûne intermittent, beaucoup ont constaté une baisse de leur glycémie, de leur taux d’insuline sanguin, ainsi que de certains facteurs d’inflammation. Et certains facteurs de croissance importants sont eux aussi réduits de moitié. Le jeûne intermittent consiste à répéter très régulièrement des séances de jeûne court, d’une durée minimale de 16 heures.
Cela peut se faire de façon spontanée, au gré de son ressenti, ou de façon plus méthodique.
Le jeûne le plus court – et donc le plus facile à mettre en œuvre ! – est le jeûne 16/8, qui consiste à s’abstenir de s’alimenter pendant 16 heures, par exemple entre 20 h et 12 h le lendemain.
Certains le réalisent sans se forcer, en sautant systématiquement la case du petit-déjeuner. Sans doute le signe que leur foie rencontre certaines difficultés pour terminer, au petit matin, son travail de détoxification nocturne.
D’où cette absence de faim matinale.
Il n’est donc pas « contre-nature » de jeûner par intermittence, et cela fait même du bien à l’organisme assez rapidement, comme en témoigne l’amélioration des valeurs physiologiques (cholestérol total, triglycérides, insulinémie à jeun, marqueurs de l’inflammation).
Le jeûne intermittent reproduit le mode de vie de nos ancêtres chasseurs-cueilleurs, qui ne connaissaient pas la famine, mais des périodes brèves sans nourriture ou avec peu de nourriture.
Leur métabolisme s’est adapté, le stress généré par cette privation a créé un bouleversement neuroendocrinien dont nous profitons aujourd’hui, selon la phylogénèse.
Le jeûne total
Évidemment, il s’agit d’un jeûne total, à l’eau pure (et peu minéralisée), qui consiste donc seulement à boire et à ne pas s’alimenter pendant tout le temps du jeûne, tout en étant surveillé médicalement. Le corps puise alors sur ses réserves en sucres, présentes surtout dans le foie et un peu dans les muscles.
Elles sont épuisées en deux jours.
Ensuite, le corps prend sur ses réserves en graisses, lesquelles doivent être transformées en corps cétoniques pour parvenir au système nerveux central, qui a besoin d’énergie pour fonctionner. Ainsi, le 4e jour peut être difficile à passer du fait de l’état d’acidocétose, responsable de faiblesse, de nausées et de migraines : il faut connaître ce cap délicat pour avoir le courage et la persévérance de continuer.
Le jeûne provoque un état de stress qui est une réaction d’adaptation à un changement de l’environnement, ici la privation de nourriture. Confronté à cette privation de nourriture, l’organisme déclenche l’alerte, ce qui provoque un bouleversement hormonal et neuroendocrinien.
Des hormones mobilisent les réserves du corps, certaines ont aussi un effet anti-inflammatoire. Ce sont ces mécanismes d’autorégulation qui induisent les effets thérapeutiques.
Ainsi, de nombreux paramètres sanguins s’améliorent (glycémie, cholestérol, triglycérides, taux d’insuline). Parallèlement, la dépense d’énergie de l’organisme diminue peu à peu (respiration, rythme cardiaque, pression artérielle). Tout se ralentit. Le système digestif est également mis au repos.
La mise en place des processus métaboliques du jeûne
Le jeûne provoque un état de stress qui relance les mécanismes de sanogénèse, ou auto-détoxication de l’organisme, qui restent d’habitude passifs à cause de notre mode de vie.
Le stress est un mécanisme d’adaptation au changement de notre environnement, ici l’absence de nourriture. La privation de nourriture va déclencher une alerte, conduisant à un bouleversement hormonal et neuroendocrinien. La réponse va être, en premier, la mobilisation des réserves énergétiques de l’organisme. La production des catécholamines (l’adrénaline, la noradrénaline, la dopamine) est fortement augmentée. Elles préparent le corps à l’activité physique et psychologique. Elles exercent une action stimulante au niveau cardiorespiratoire, cérébral et rénal. Elles stimulent la sécrétion du glucagon et donc la glycogénolyse ainsi que la lipolyse, et inhibent la sécrétion d’insuline.
Ce sont les hormones et les neuromédiateurs de l’éveil et de l’action.
Leurs effets stimulants, notamment sur le cerveau, expliquent, en partie, les résultats obtenus par les médecins russes dans le traitement des différentes maladies mentales de leurs patients : le jeûne s’est substitué, parfois très efficacement, aux anxiolytiques ou aux anti-dépresseurs.
Hygie et Panacée
Quant à la dimension psychique, notamment la sensation d’euphorie ou de légèreté décrite par les jeûneurs, elle s’explique aussi par le processus que le corps traverse automatiquement quand on le prive de nourriture. Dans un contexte plus prosaïque, il est difficile d’écarter, dans les effets bénéfiques du jeûne, une dimension psychologique, à savoir la volonté de prendre soin de soi, le sentiment d’accomplir un défi personnel, ou encore de s’offrir une pause dédiée à la santé et à l’introspection.
Le jeûne a ainsi valeur de point de départ pour réformer son hygiène de vie et ses habitudes alimentaires. L’intérêt devient en ce sens plus préventif, à plus long terme, que curatif.
Un impact qui fait écho aux origines de la médecine occidentale moderne : « Asclépios, le dieu grec de la médecine, avait deux filles : Panacée – qui représente le remède, le traitement de la maladie par le médicament –, et Hygie – qui symbolise l’hygiène et la médecine préventive. Du combat entre les deux, c’est Panacée qui est ressortie victorieuse, et le corps médical occidental en est l’héritier. Mais Hygie trouve de plus en plus d’écho dans le public… et le jeûne fait peut-être partie de cette démarche (Bernard Schmitt).
Actualités du Dr Willem :
Lors de ma conférence au salon Bien-être à la porte de Versailles, j’ai été très heureux devant la foule qui a envahi la salle. Suite à la chute du Covid, les conférences sur la maladie d’Alzheimer vont continuer.
Le samedi 20 mai 2023 : « Tout savoir sur les virus et y faire face » (salle Céleste). Le dimanche 21 mai 2023 : « Alzheimer et odorat : quand les arômes restaurent la mémoire ».
Personnellement, j’interviens dans un centre labellisé « Jeûne et randonnée », animé par un naturopathe formé dans ma faculté (FLMNE), Batiste Barennes. Demander son programme :
« Lorsque vous jeûnez, ne prenez pas un air triste, comme les hypocrites, qui se rendent le visage tout défait pour montrer aux hommes qu’ils jeûnent. » Bible (Sacy), Évangile selon saint Matthieu, VI, 16.
Véritable cure de jouvence, le jeûne est un secret de beauté et de longévité !
L’organisme se retrouve désencombré de ses toxines, le mental est éclairci, l’humeur est stabilisée et quelques kilos superflus ont disparu.
Associer les bienfaits du Jeûne à ceux de la Thalassothérapie pour se ressourcer, offrir un « reset » à son organisme, se reminéraliser et booster ses défenses immunitaires.
Cure de jouvence par excellence, le jeûne a un effet préventif sur l’ensemble des maladies dites de civilisation. Il agit comme une « chirurgie sans bistouri » car ce grand nettoyage sélectif s’effectue sur les excès de graisses, les cellules malades ou endommagées et les tissus inutiles voire dangereux.
Le lieu
Dans un cadre idyllique du sud de la France, à Canet-en-Roussillon (66), Vitalitem propose ses séjours de jeûne et randonnée en Thalassothérapie pour allier les bienfaits du jeûne et de la marche à ceux de l’eau de mer. Directement sur la plage, avec la chaîne Pyrénéenne en toile de fond, le lieu est idéal pour un break salutaire. Gare TGV et aéroport de Perpignan à proximité.
Eveil corporel et méditation guidée, 2h de marche quotidienne, chacun à son rythme, dans les plus beaux endroits de notre région, nombreux ateliers et conférences pour vous aider à faire perdurer les bienfaits de ce séjour et mettre en place de meilleures habitudes d’hygiène de vie, accès libre à la thalassothérapie avec piscines d’eau de mer chauffée à 32 degrés, jacuzzi, hammam, sauna et accès à la salle de fitness. Un tarif préférentiel de –10% sera appliqué sur tous les soins SPA et thalassothérapie.
Inspirée de le méthode Buchïnger, la cure de jeûne se compose d’un jus à l’extracteur le matin, de tisanes et d’un bouillon de légumes le soir, ce type de jeûne est adapté au plus grand nombre.
Pour les personnes qui ne se sentent pas encore prêtes à jeûner totalement ou fatiguées et dévitalisées, une détox plus douce est proposée avec une monodiète de jus à l’extracteur (avec supp.)
L’accompagnement
Centre renommé pour la qualité de son accompagnement bienveillant et professionnel, la complémentarité des spécialités des membres de l’équipe (Naturopathie et diététique, réflexologie, acupuncture, ostéopathie, etc..) permet une prise en charge globale de votre mieux être avec joie, bonne humeur et bienveillance pour retrouver vitalité et joie de vivre !
Tarifs et hébergements :
Vous serez hébergé en appartement ou à l’hôtel**** pour s’adapter au niveau de confort souhaité et à votre budget. A partir de 975€/pers. en offre duo, tout inclus. Les séjours de jeûne sont proposés à l’année de septembre à juin.
Enrichie en collagène et plantes aphrodisiaques, cette cure de jus et shots en édition limitée Libido Booster nous fait monter le rose aux joues ! À prendre seul(e) ou en duo, pour faire monter la température en février… NUBIO – Cure de 5 jours Libido Booster
(en complément de son alimentation) – 83 €
Se détendre… Tout naturellement !
Des biopastilles au CBD à sucer, pour chasser le stress et passer une belle soirée !
Une bougie de massage à réaliser à deux, enrichie à l’huile végétale de fruit de la passion et parfumée à la délicate odeur de vanille. Une fois fondue, son huile enveloppe le corps d’une douce chaleur divinement parfumée, pour un moment à la fois cocooning et sensuel !
Une mosaïque de 4 teintes mates et irisées, pour un effet bonne mine immédiat en un passage. Enrichie en huile de jojoba biologique, 100 % d’ingrédients d’origine naturelle.
Une infusion naturelle 100 % made in France pour booster la libido. Six plantes naturelles sélectionnées pour leurs propriétés stimulantes, relaxantes et aphrodisiaques (damiana, hibiscus, gingembre, ginseng rouge, rose de Damas, réglisse).
Pratiquer l’alimentation vivante peut sembler intimidant pour certains, surtout en hiver ! Tout simplement parce que manger cru signifie souvent, dans les esprits, manger froid. Eh bien non, c’est une vision assez simpliste et réductrice.
L’alimentation vivante permet, elle aussi, de se réchauffer en hiver.
Voici plusieurs moyens de maintenir une sensation de chaleur tout en pratiquant une alimentation crue en hiver :
1.Incorporez des ingrédients chauds dans vos plats crus : les légumes tels que les radis, les navets, les carottes et les panais peuvent être râpés, puis passés dans un bain d’eau chaude quelques minutes avant d’être ajoutés à des salades ou des wraps.
2. Les smoothies aussi peuvent vous apporter un peu de chaleur sans dénaturer les bienfaits des nutriments. Juste avant de mixer les fruits, ajoutez l’équivalent d’un verre d’eau chaude et pensez à utiliser des épices telles que le gingembre, la cannelle, le curcuma et le poivre noir pour apporter de la chaleur.
3. Cette dernière astuce est aussi valable pour les jus de légumes, dans lesquels vous aurez pris soin de verser un peu de plasma marin, ainsi que pour vos sauces.
4.Optez pour le réconfort d’une soupe maison !
Une soupe chaude, mais crue. Rien de plus rapide à préparer : passez les légumes au blender, puis versez de l’eau chaude jusqu’à obtenir la texture souhaitée. Vous profiterez ainsi pleinement de leurs vitamines et minéraux, mais aussi de la saveur plus prononcée des légumes crus.
Astuces pour augmenter la valeur nutritionnelle de vos soupes :
Mixer les légumes frais avec des légumes lactofermentés
Ajouter du miso blanc
Ajouter 1 cuillère de purée d’oléagineux fermentés
Saupoudrer la soupe de levure maltée
Agrémenter la soupe d’algues déshydratées en paillettes ou même de spiruline pour faire le plein d’iode !
5.Penser à utiliser un déshydrateur pour réchauffer les préparations comme les crackers, les wraps, les cuirs de fruits, etc.
6.Bouger !
Oui, mais en douceur et régulièrement. Privilégiez le yoga, les étirements, la méthode Pilates. Tout ce qui cible un bien-être en profondeur.
7.Croquer dans tous les agrumes !
La nature est bien faite et nous apporte en hiver ce dont notre corps a besoin. Les agrumes sont des fruits qui aident à renforcer notre système immunitaire grâce à leur teneur élevée en vitamine C. En consommant des agrumes en hiver, vous pouvez aider votre corps à combattre les infections hivernales. Ils sont aussi une excellente source d’hydratation, ce qui est important en hiver pour maintenir une bonne santé.
Et leur odeur raffinée et tonique aide à stimuler l’humeur et à combattre la dépression saisonnière.
Conclusion
Ne vous découragez pas si vous souhaitez garder une alimentation végétale et au maximum crue. Il y a d’autres alternatives que de se jeter sur les raclettes et les fondues !
Ce mois-ci, nous avons à cœur de partager avec vous notre vision de l’Entre-deux. Février se situe entre le calme de l’hiver et l’effervescence du printemps. C’est une période charnière où l’on sent que le soleil commence à reprendre ses droits, mais timidement, cédant encore place à plusieurs journées hivernales. Et pourtant, quand on observe la nature, les signes ne trompent pas : les bourgeons les plus précoces sont déjà en train s’ouvrir, les paysans s’activent pour préparer les semis de l’été, et nous recommençons à avoir envie de sortir, nous promener, profiter de ces journées qui s’allongent enfin !
Et pourtant, c’est à la fin du mois de février que l’on observe en général le plus gros pic de grippes saisonnières. Si l’immunité n’est pas parfaitement préparée, le corps parfaitement reposé, il peut encore flancher. Nous sommes dans cet entre-deux, et souvent nous sommes d’ailleurs bien souvent tiraillés en cette saison, entre rester au chaud sous la couette quand il fait froid le matin, nous lever tôt pour profiter d’une belle journée ensoleillée qui s’annonce.
Mais l’entre-deux, ce n’est pas seulement en février, l’entre-deux, c’est également au quotidien, dans tous nos petits moments de la vie : le temps que l’eau chauffe pour vous préparer un thé, le feu rouge auquel vous êtes coincé, la file d’attente à la caisse, la machine à laver qui se termine… Tous ces petits laps de « temps perdu », ne nous servent en général qu’à nous agacer, et nous nous jetons sur nos téléphones portables pour combler l’ennui ou l’impatience.
Chez Mint-e, nous souhaitions, ce mois-ci, vous proposer une alternative pour remplir ces instants de vide qui, mis bout à bout, nous prennent généralement plusieurs heures dans vos journées. Des alternatives qui permettent de soutenir votre corps et votre immunité, pour passer cet Entre-deux de février en douceur, et arriver en mars fort et serein pour profiter du printemps !
Proposition 1 : Respirez !
Oui, c’est la base : la respiration est essentielle et trop souvent négligée. Comme elle se fait de façon inconsciente, on en oublie d’y prêter attention et on va se contenter de respirations hautes ayant peu de bénéfices par rapport à une respiration complète. Si vous faites seulement 10 respirations profondes toutes les demi-heures (cela prend 30s), ce sera peut être 200 bols d’oxygène, de relaxation et de « vacances » à la fin de la journée, un cadeau précieux au quotidien. Poser simplement de la conscience sur notre façon de respirer, ouvre une parenthèse d’écoute de son corps, d’écoute de soi. En effet, il est reconnu que la respiration ventrale contribue à augmenter l’oxygène dans le sang, à diminuer le stress et l’anxiété, à gérer des émotions fortes, à renforcer le système immunitaire, à améliorer la concentration, la digestion, le transit intestinal ou encore le sommeil.
Conseil 2 : Faites des mouvements de gym
Le printemps arrive, et il est temps de se remettre en mouvement ! Choisissez des mouvements que vous pouvez faire et essayez de varier, il y a tellement d’entre-deux dans la journée : Squats, debout sur la pointe de pieds, contraction des fessiers (encore mieux sur la pointe des pieds)… car à la fin de la journée, vous aurez peut-être fait 60 ou 100 squats, qui seront passés inaperçus, mais qui auront contribué, l’air de rien, à soutenir votre vitalité en faisant circuler votre sang, votre lymphe, et à renforcer vos muscles ! Dans tous les cas, tâcher de voir chaque moment d’attente comme une opportunité de bouger : Si vous êtes suffisamment en avance à votre arrêt de bus, par exemple, marchez jusqu’au suivant.
Conseils 3 : Etirez-vous
Le matin, pendant que le thé chauffe, et aux autres moments propices, offrez à votre corps quelques étirements… La souplesse, c’est la vie (en témoigne l’expression « raide mort »).
Vous pouvez par exemple faire quelques fentes avant (type chevalier servant), étirements des ischios (derrière la cuisse), étirement de vos quadriceps, roulement d’épaules, étirement du dos, posture de yoga de l’arbre. Assis à votre bureau, n’hésitez pas à changer de position régulièrement, à vous étirez le dos, en avant, en arrière, à vous assoir sur une jambe, puis l’autre, en tailleur, …
… Voici donc nos quelques propositions, mais soyez créatifs !
Le Ravintsara est bien adapté aux femmes dont la grossesse dépasse les 3 mois
L’huile essentielle de Ravintsara est bien tolérée par les femmes enceintes de plus de 3 mois. C’est une huile essentielle qui s’utilise facilement et avec peu de contre-indication.
Cette huile a néanmoins un côté asséchant, pouvant entrainer des toux sèches. Les voies respiratoires peuvent elles aussi se retrouver asséchées. C’est principalement pour cette raison qu’on ne la préconise pas pour les enfants de moins de 4 ans et les femmes enceintes de moins de 3 mois.
La puissance de cette huile n’est pas négligeable et dans ces cas-là nous allons plutôt favoriser l’hydrolat de Ravintsara qui est aussi très efficace. Il est davantage facile à utiliser lorsque l’on est sur un public plus «sensible».
Comment utiliser l’huile essentielle de Ravintsara pour les femmes enceintes de plus de trois mois ?
Nous vous recommandons de favoriser la voie cutanée, et plus spécialement la voûte plantaire (qui regroupe les méridiens) pour une meilleure distribution de l’huile essentielle dans le corps.
L’application sur les poignets est également efficace, en revanche il faudra éviter l’ingestion, qui est toujours problématique pour le système digestif.
Bien entendu, l’ingestion fonctionne également mais, peut entraîner des effets indésirables, au niveau du foie notamment qui n’aime pas vraiment les huiles essentielles car elles sont trop concentrées.
Appliquer seulement 3 à 4 gouttes une à deux fois par jour maximum sous la voûte plantaire. Et si vous ne vous estimez que l’huile essentielle est trop forte, passez sur de l’hydrolat. Il est aussi très efficace mais moins concentré pour votre corps et donc plus simple à utiliser.
Mais alors, comment utiliser l’hydrolat de Ravintsara pour les femmes enceintes de moins de 3 mois et plus?
L’hydrolat de Ravintsara a l’avantage d’être beaucoup plus doux et digeste, car il est moins concentré. Vous pouvez notamment le consommer sous forme de cure : une cuillère à café par jour pure ou dilué dans un verre d’eau froide, au choix ! C’est une histoire de goût.
L’application cutanée est également recommandée, sous les pieds notamment ou toute autre partie de votre corps, et même sur le visage.
Vous effectuerez cette cure durant toute la durée de la maladie mais vous pouvez aussi faire une cure en préventif, pendant 5 à 7 jours pour stimuler votre système immunitaire et celle de votre bébé par exemple à l’arrivée de l’hiver ou avant une semaine de grand froid.
Méditer et se rendre utile pour le monde,
C’est ce que permet la méditation de transmission
Libre et gratuite, elle se pratique en groupe,
à partir de 3 personnes. Atelier découverte en ligne mensuel
Présentation suivie d’un temps de méditation Cliquer ici
Nous voilà de retour aux Blaquières après 3 ans d’interruption, avec un rendez-vous attendu qui fêtera sa 18e édition autour du Bio et des solutions alternatives pour un « monde meilleur ».
Retrouvez nos 60 exposants en bio (à 100%), équitables et zéro déchets (lorsque cela est possible). Vous y trouverez du choix et de la qualité parmi les producteurs et entrepreneurs locaux.
Deux jours pour échanger lors des conférences, sur différents sujets liés à «une vie autrement», mais aussi pour évoquer ce que sera «demain»…
Également des ateliers pour expérimenter les solutions d’économie, d’écologie et de savoir-faire anciens qui nous reconnectent à la nature.
Thème du village de la transition : HABITER DEMAIN
La réussite de notre transition énergétique et écologique passe par une transformation de l’habitat qui doit devenir plus sobre et plus respectueux de l’environnement et répondre aux changements de nos modes de vie.
Les pistes existent pour imaginer des logements pour demain, confortables, agréables à vivre, peu consommateurs de ressources, alimentés par les énergies renouvelables et adaptés aux modifications de nos modes de vie. Des habitats plus petits, moins coûteux à l’usage avec le développement de l’échange de biens et de services, du partage et de la collaboration. Et puis le climat change, nous devons adapter les bâtiments à des conditions météorologiques plus extrêmes (fortes chaleurs, inondations, tempêtes, sècheresse) et faire appel à l’architecture bioclimatique en utilisant au mieux l’environnement naturel (soleil, vent, pluie) et le recours à des matériaux d’origine naturelle souvent plus efficaces (chanvre, laine, fibres végétales, liège, paille, bois…)
Le bâtiment est le premier secteur énergivore avec 43% de l’Energie utilisée en France devant le transport, l’industrie et l’agriculture (CITEPA, 12/2017)
Parce que l’enjeu écologique est de plus en plus pressant, ne fermons pas les yeux sur le réchauffement climatique alors que des solutions existent.
Patrice LE PIHIVE Ostéopathe, Masseur, Kinésithérapeute, Enseignant de Yoga, AÎkidoka, Formateur, Consultant
Issu de plusieurs décennies de pratique professionnelle et de recherche, le concept PLP GLOBAL WELLNESS réunit les bienfaits de nombreux soins de thérapie manuelle individualisés, et la transmission de pratiques psychocorporelles adaptées permettant à chacun de devenir l’acteur de sa Santé.
Le Bien-Être légitimement recherché en permanence par chacun est considéré comme le résultat d’un équilibre de fonctionnement de tous les grands système du corps, chaque système étant défini comme une structure permettant une fonction.
Les différentes techniques utilisées dans les soins sont capables d’améliorer le fonctionnement de chaque structure, et permet à chacun de mieux les percevoir et les ressentir.
Les faiblesses individuellement découvertes pour chacun et pour chaque structure appellent la mise en œuvre d’une véritable action de prévention par des soins spécifiques et par la mise en oeuvres de pratiques psycho corporelles adaptées et choisies, dans le long terme.
La compréhension progressive des besoins, la motivation d’agir avant la survenue des dégradations, la connaissance et la capacité de réaliser les pratiques simples proposées sont en permanence recherchées.
LA VISION SYSTEMIQUE OCCIDENTALE
L’équilibrage et l’harmonisation des grands systèmes demandent une approche à la fois intellectuelle et sensitive du corps humain.
La description anatomique, biomécanique et physiologique de chaque structure doit s’animer dans la perception symétrique du corps du sujet et de celui du thérapeute.
Le ressenti des différents niveaux de perception du thérapeute permet au sujet une écoute nouvelle des différents structures et fonctions de son propre corps :
La surface cutanée et ses fonctions essentielles de protection, de perception, de communication, de respiration
Les différentes couches du système musculaire de posture et de mouvement
La stabilité et la mobilité de chaque articulation du corps et l’équilibre de l’axe de vie vertébral
Les différents mouvements du système respiratoire, la perception et la maîtrise du souffle
Les actions du système nerveux (Sympathique et Parasympathique) pour la gestion de toutes les fonctions automatiques du corps
La perception de l’importance de la dynamique cardiaque, vasculaire et circulatoire, sanguine et lymphatique
La connaissance et la perception des fonctions d’assimilation et d’élimination en lien avec une région abdominale au tonus équilibré
La sensation d’un esprit plus calme et apaisé
La perception d’une énergie vitale plus puissante et plus fluide
Chaque système communique et dépend du fonctionnement de tous les autres systèmes.
Le thérapeute adapte en permanence ses technique pour apprécier l’état de chaque système, optimiser son fonctionnement et harmoniser leur interdépendance.
Les exercices psychocorporels adaptés et progressifs transmis permettent un véritable travail de santé et de prévention, réalisant ainsi la mise en place d’un nouvel Art de Vivre.
LA VISION HOLISTIQUE ORIENTALE
La Tradition millénaire indienne de l’Ayurveda (science de la Vie) nous propose une vision du fonctionnement unitaire de la Vie en nous et autour de nous.
Cette analyse et cette description s’appuie principalement sur la notion des 5 éléments, comme des états énergétiques constitutifs de tout l’univers.
L’Elément TERRE : Solide et dense il créé les conditions d’équilibre et de stabilité L’Elément EAU : Fluide, il nourrit la terre et permet la vie L’Elément FEU : Il transforme par la chaleur et donne la lumière L’Elément AIR : Son mouvement et sa légèreté dynamise et nettoie L’Elément ETHER : Cet espace et cette dimension primordiale et omniprésente inaccessible à nos sens enveloppe tout.
Notre existence est évidemment tributaire du bon fonctionnement de ces cinq éléments à l’extérieur de nous :
Une terre qui nous nourrisse, une eau qui la fertilise, la chaleur du soleil, un air pur et un espace de liberté (physique et mental) pour évoluer.
Ces cinq éléments doivent tout autant agir efficacement en nous
Un corps physique solide mais souple, une circulation des liquides du corps sans entrave, une dégradation- combustion-digestion efficace des aliments, une respiration ample et profonde et un esprit ouvert et curieux permettront une vie saine et heureuse.
Les pratiques psychocorporelles proposées ont pour objectif la perception et l’entretien des bons fonctionnement internes du corps et leur meilleure synchronisant avec leurs correspondances externes.
Parmi ces pratiques, celle régulière et correctement guidée d’un Yoga (Union – Absorption) authentique, permettra la perception et la conscience des différentes structures corporelles et de leur niveaux d’énergie associés.
Selon le Dr Hiromi Shinya, gastro-entérologue : L'eau Kangen est considérée comme la meilleure eau au monde pour ses qualités sur le plan de l'hydratation […]
Nov 3, 17:35