Une approche holistique des dents avec le Dr Rossi

Le docteur Catherine Rossi, chirurgien-dentiste, pratique une approche holistique des soins dentaires depuis plus de 30 ans. À l’occasion de la sortie de la 3e édition de son livre Le Dicodent, Catherine Rossi a eu la gentillesse de répondre à nos questions.

Dr Catherine Rossi
Chirurgien-dentiste

Pourquoi un Dicodent ?

Dès le début de mon exercice, j’ai réalisé que, lorsque des patients comprenaient ce qui se passait dans leur bouche, ils comprenaient aussi ce qu’on allait leur faire, et surtout quels allaient être les bénéfices et les conséquences d’un traitement dentaire : les peurs, les craintes et les suspicions s’apaisaient. Ce n’est qu’à ce moment-là qu’un réel partenariat peut se créer entre le patient et le soignant. Et, pour moi, c’est là que commence la vraie santé. Donc ce livre a été écrit dans le but d’informer les patients et qu’ils puissent créer un vrai lien de confiance avec leur chirurgien-dentiste.

Pourquoi avoir commencé ce dictionnaire par le mot Amour ?

Eh bien parce que je suis convaincue que, pour avoir de bonnes dents, il faut les aimer. C’est comme une relation : si vous n’en prenez pas soin, si vous ne cessez de la critiquer, de dire qu’elle est moche, qu’elle passe son temps à vous faire du mal, que c’est le cauchemar de votre vie, qu’elle est mauvaise, cette relation n’aura pas beaucoup d’avenir et elle vous pourrira la vie jusqu’à en sortir. Les dents, c’est pareil : si vous n’en prenez pas soin avec amour, elles vont vous faire souffrir et iront même jusqu’à dégrader votre santé car elles ne font que répondre à l’énergie que vous leur envoyez. C’est une loi de la nature.

Quelle est la différence entre parodontite et parodontose ?

Ce sont des termes anciens, car il y a maintenant une nouvelle nomenclature pour qualifier les différents stades de la maladie parodontale ; mais j’ai gardé ces termes car je les trouve très explicites pour les patients. La parodontite, comme tous les termes médicaux finissant par -ite, est inflammatoire. Elle est une réaction de l’organisme à une agression. C’est souvent la plaque bactérienne, le tartre qui commencent à enflammer la gencive. Avec le temps, sans détartrage, la situation dégénère et c’est tout le parodonte – c’est-à-dire l’os et les tissus qui entourent les racines dentaires – qui va s’enflammer, s’infecter et se dégrader.

Quant à la parodontose, on a plus une notion dégénérative, sans infection ni inflammation, un peu comme l’ostéoporose ou l’arthrose. C’est le signe d’une grande déminéralisation, due à des carences minérales, carences vitaminiques. Généralement, l’hygiène dentaire est bonne, mais la parodontose peut se transformer en parodontite si la plaque bactérienne et le tartre s’accumulent. Mais, malgré cette bonne hygiène dentaire, la parodontose a une évolution lente, les dents se déchaussent, on voit apparaître les racines dentaires, ce qui rend souvent les dents sensibles au chaud et au froid ; à part traiter le terrain pour reminéraliser l’organisme d’une manière générale et pour stopper le processus de dégradation, il y a peu de choses à faire au niveau local.

Pourquoi la mastication est-elle aussi importante ?

En fait, la mastication est importante à surveiller dès l’apparition des dents car elle participe à la croissance des maxillaires. C’est ce qui permettra à toutes les dents de se mettre correctement sur l’arcade. Ne croyez pas les personnes qui vous disent que votre enfant a hérité des petites mâchoires de la maman et des grosses dents du papa ! La nature ne crée jamais de telles aberrations sans avoir besoin de s’adapter à un environnement délétère.

La mastication a également un rôle sur le cerveau et les fonctions cognitives. De nombreuses études ont montré qu’une bonne mastication facilite la mémoire et les capacités d’apprentissage, augmente la concentration et les facultés cognitives. Il faut prendre en compte également tous ces aspects chez les personnes âgées, la mastication ayant été mise en avant comme un facteur de prévention des démences et de la maladie d’Alzheimer. C’est pour cela qu’il est important de garder toutes ses dents le plus longtemps possible et, en tout cas, de remplacer des dents absentes et de s’assurer que la mastication est efficace quand on reconstitue des prothèses chez les personnes âgées.

Sommes-nous tous égaux face à la formation de tartre ?

Ce qu’il faut savoir, c’est que, pour que le tartre se forme, il doit y avoir de la plaque bactérienne. La plaque bactérienne est ce dépôt blanchâtre et grumeleux qui se dépose 24 h/24 sur nos dents et que nous sommes censés enlever en totalité lors du brossage dentaire. Si la plaque dentaire n’est pas ôtée correctement, c’est-à-dire pas enlevée partout bi-quotidiennement, au bout de quelque temps, elle se transforme en tartre. Les minéraux de la salive colonisent cette plaque bactérienne et la transforment en tartre. Et c’est là où la spécificité de chacun intervient. Certaines personnes créeront du tartre dès 6 heures de présence de plaque bactérienne et d’autres n’en créeront jamais ; mais une chose est sûre : s’il n’y a pas de plaque bactérienne, il n’y aura jamais de tartre.

Qu’est-ce que la réflexologie des dents ?

De nombreux praticiens très curieux – principalement allemands – ont, au début du siècle dernier, observé qu’après avoir soigné ou extrait certaines dents, des pathologies générales avaient disparu. En alliant leurs savoirs et leurs observations cliniques, ils ont remarqué que chaque dent était en lien avec un méridien d’acupuncture. Ainsi, les incisives correspondent aux méridiens rein et vessie, les canines aux méridiens foie et vésicule biliaire, les prémolaires du haut et les molaires du bas correspondent aux méridiens poumons et gros intestin, les molaires du haut et les prémolaires du bas à rate, pancréas, estomac. Concernant les dents de sagesse, elles sont en lien avec coeur, intestin grêle, triple réchauffeur et maître du coeur. Il suffit de savoir quels sont les organes et les fonctions qui sont régis par ces différents méridiens et d’observer s’il y a des liens entre la pathologie sur la dent qui passe par ce méridien et les éventuels organes ou fonctions affectés. Mais les tableaux de réflexologie dentaire sont aussi la compilation des observations cliniques des praticiens, qui, pendant des années, ont noté les améliorations de santé qu’ils ont obtenues après avoir prodigué des soins dentaires.

Dévitaliser une dent ou l’arracher ne sont pas des actes anodins. Pourriez-vous nous expliquer pourquoi ?

En effet, certaines personnes font à leurs dents ce qu’elles n’accepteraient pas que l’on fasse au reste de leur corps. Comme vous le dites, dévitaliser ou arracher une dent ne sont pas des actes anodins, mais les dentistes ne peuvent faire qu’avec ce que les patients leur apportent. Quand une carie a atteint le nerf, nous ne pouvons rien faire d’autre que de dévitaliser. Lorsqu’une dent est tellement cariée que les racines sont infectées et fragilisées de manière irréversible, nous n’avons d’autres options que l’extraction. Quand une carie est trop profonde, on devrait tout faire pour éviter la dévitalisation ; mais, parfois, les dents continuent de faire mal malgré un soin consciencieux et, au final, on est quand même obligé de dévitaliser. Certains patients ne sont pas contents, mais j’ai envie de leur dire, avec toute ma bienveillance, qu’il fallait y penser avant et ne pas attendre si longtemps avant de faire soigner sa carie.

En tout cas, si une dent doit être dévitalisée, je vous conseillerais de prendre cet acte très au sérieux et, éventuellement, de le faire pratiquer par un spécialiste appelé endodontiste, afin de minimiser les risques de séquelles infectieuses à l’intérieur des racines. Car le vrai risque des dents dévitalisées est que des bactéries restent à l’intérieur et finissent par diffuser dans tout l’organisme. De même, lorsque l’on perd ses dents, il faut absolument les faire remplacer pour éviter de perturber l’équilibre global de la bouche et du corps. Une dent absente provoque le déplacement de toutes les dents à côté, je dirais même de toutes les dents, qui cherchent à recréer un nouvel équilibre, qui mène très souvent à des déséquilibres chroniques. La mastication n’est plus efficace, cela peut provoquer des douleurs au niveau des articulations temporo-mandibulaires, des risques d’acouphènes et, surtout, des douleurs dans tout le schéma postural, du crâne à la plante des pieds, en passant par tous les étages de la colonne vertébrale.

C’est ce que l’on appelle un déséquilibre de l’occlusion.

Existe-t-il un lien entre le stress et notre santé bucco-dentaire ?

Oui, le stress provoque une acidose. L’acidose provoque une déminéralisation. Les premières parties du corps qui sont déminéralisées sont les dents et l’os alvéolaire, qui entoure les racines dentaires. Ensuite, ce sont tous les os du squelette qui souffriront de cette déminéralisation. Caries et maladie parodontale sont donc accélérées par le stress. Entre autres, cette acidose provoque également une inflammation, qui augmente la gravité de la maladie parodontale.

Qu’est-ce que la dentosophie ?

Son créateur, Michel Montaud, vous en parlerait mieux que moi. Dentosophie signifie « sagesse des dents ». Chaque dent joue un rôle particulier dans l’équilibre global de la bouche, un rôle physique, un rôle métabolique et aussi un rôle émotionnel. Les dents sont les messagères de notre inconscient. Leurs pathologies sont leur manière de nous parler. La douleur, la fracture, l’infection, la malposition, l’extraction sont autant de maux pour dire des mots.

En conclusion, j’aimerais vous dire : « Aimez vos dents comme vous aimeriez être aimé·e. » Vos dents sont les meilleures alliées de votre santé, de votre force de vie, de votre bien-être, tant physique, métabolique, psychique qu’émotionnel. Prenez-en soin, elles vous le rendront au centuple.

Le docteur Catherine Rossi est chirurgiendentiste, auteure et formatrice en dentisterie globale et naturelle, fondatrice et responsable scientifique du blog www.naturebiodental.com

 

Pour aller plus loin…

Le cas du fluor : POUR ou CONTRE ?

Depuis quelques années, le fluor n’en finit plus de faire couler de l’encre et de susciter de vives polémiques. Quand certains le jugent indispensable dans la prévention des caries, d’autres le considèrent comme responsable de l’augmentation du nombre de fluoroses, une malformation de l’émail dentaire qui apparaît lors du surdosage en fluor et qui provoque des taches blanches sur les dents.

POUR
par le dr Christophe Lequart, porte-parole national de l’UFSBD – Union Française pour la Santé Bucco-Dentaire

Le fluor est la seule molécule qui a permis de faire diminuer les caries partout dans le monde. Ne plus faire appel au fluor, c’est prendre le risque, à terme, de l’augmentation des caries par l’utilisation des dentifrices ne contenant pas de fluor. Malheureusement, on ne trouve pas actuellement, dans les magasins bio, de dentifrices avec du fluor, alors que le label bio n’est pas incompatible avec la présence de fluor. À titre d’exemple, Vademecum a un label éco-terre et toute une gamme au fluor.

Or, le fluor est considéré par l’OMS – l’Organisation mondiale de la Santé – parmi les 10 meilleures actions de santé. Le fait de ne pas avoir de fluor va forcément augmenter la prévalence des caries.

À force de diaboliser le fluor, nous courons à une catastrophe et à des générations d’enfants qui auront vraisemblablement beaucoup de caries.

Il me semble important de rappeler que les dentifrices en France sont à des concentrations en fluor où l’on ne risque pas de fluorose.

Comme souvent, c’est une véritable question de bénéfice/risque. La question à se poser est : vaut-il mieux avoir une petite tache blanche (ou des marbrures marron) sur une dent ou bien une carie ? La réponse scientifique est la petite tache blanche.

Par ailleurs, il faut tout de même préciser qu’une fluorose sérieuse peut fragiliser tous les os du squelette. Mais il faut bien comprendre qu’il n’y a pas de fluorose osseuse avec le fluor contenu dans les dentifrices. Cela se produit seulement quand une inhalation importante de fluor se produit ou que l’eau que l’on boit en est riche.

Cette polémique est apparue aux États-Unis lorsqu’il a été décidé de fluorer l’eau du robinet pour prévenir les caries.

 

 

CONTRE
par le dr Catherine Rossi, chirurgien-dentiste

On a tellement ancré dans le cerveau des gens que le fluor est bon pour les dents, et la peur des soins dentaires étant encore très présente dans l’inconscient collectif, que l’on a oublié que le fluor est un toxique. Il est même un neurotoxique. À trop vouloir faire disparaître ce fléau mondial, on a voulu mettre du fluor partout et principalement dans des produits où la surveillance des doses est impossible : les dentifrices, les bains de bouche, les produits dentaires pour reconstruire des dents, le sel de cuisine, l’eau de boisson, les chewing-gums, si bien que la quantité de fluor réellement ingérée quotidiennement par les enfants – et même les adultes – est devenue absolument incontrôlable. La fluorose est la partie visible de l’iceberg, car il serait naïf, et surtout non scientifique, de croire que le fluor ingéré en trop grande quantité ne provoque que des fluoroses. Des travaux scientifiques ont d’ailleurs montré les effets neurotoxiques du fluor1.

 

 

Concernant l’émail dentaire, qui est un minéral, il ne peut supporter des doses trop importantes de fluor, qui n’est pas un minéral. S’il y a trop de fluor, la structure cristalline de l’émail dentaire se disloque, perd sa cohérence et il se produit l’effet inverse de celui escompté ! L’émail trop riche en fluor devient fragile et prédispose à la carie. C’est ce qui est appelé la fluorose.

Si vous voulez un peu plus d’explications sur ce qui se passe réellement avec le fluor dans la dent, on pourrait dire schématiquement que le fluor est un halogène ; il a donc une action destructrice, il brûle s’il n’est pas maîtrisé. Dans la dent, c’est le calcium qui contient le fluor. J’ai envie de dire qu’il lui permet de rester sage et de jouer son rôle dans la dent, c’est-à-dire : diminuer l’état minéral de la dent, donc diminuer sa propension à se déminéraliser en présence d’acide, donc de diminuer le risque de carie. CQFD !

Le fluor crée donc une sorte d’émail super- résistant contre nature… Mais la nature reprendra ses droits, entre autres, dans les périodes de stress. L’acidose provoquée par le stress déminéralise les dents, qui perdent leur calcium. Si la dent contient beaucoup de fluor – même si elle n’est pas atteinte de fluorose –, quand elle perd son calcium, elle libère le fluor, qui va retrouver ses propriétés halogéniques et créer un processus de destruction interne des tissus dentaires. On voit ainsi apparaître chez des adultes – généralement ces anciens enfants qui ont pris beaucoup de fluor – ce que l’on appelle des caries internes en période de stress chronique.

1- www.naturebiodental-pro.com/2020/06/11/les-effets-neurocomportementaux-des-toxiques-sur-le-developpement/

Comment garder les dents saines et belles ?

Vous trouverez ci-dessous des remèdes de grand-mère !* Libre à vous de les tester, ou pas*.

1ère astuce : La puissance du bicarbonate

Il y a des milliers d’années, les Égyptiens utilisaient déjà le bicarbonate de sodium pour maints usages, comme se frotter les dents ou purifier leur habitat, pour l’hygiène corporelle, etc.

Le bicarbonate de soude n’est ni nocif pour la santé, ni pour l’environnement ; c’est donc une très bonne astuce naturelle pour avoir les dents blanches et en bonne santé. Essayez d’utiliser de petites quantités de bicarbonate de sodium (NaHCO3) de qualité alimentaire ou officinale en plus de votre dentifrice sans fluor.

Si vous agissez ainsi plusieurs fois par semaine, vous constaterez que votre plaque dentaire de tartre diminue, puis disparaît, que votre bouche s’est assainie, qu’elle s’est renforcée.

NaHCO3 dissout les résidus alimentaires, rééquilibre le pH, assainit la bouche et nous offre ainsi un nettoyage en profondeur. Ne rêvons cependant pas, ça ne fait pas repousser les dents ! Nous ne sommes pas dans Harry Potter.

NB : Il peut arriver que, si vous mettez trop de bicarbonate directement, sans le dissoudre dans l’eau, vos gencives saignent un peu, pendant 1 minute ou 2… Pas de panique. Il ne semble pas que cela soit un souci (vous pouvez demander conseil à votre dentiste*).

Différents auteurs sont en désaccord sur les éventuels dangers du bicarbonate, pour l’émail des dents.

Personnellement, je l’utilise tous les jours avec bonheur et gratitude depuis plusieurs années ! J’en suis ravi car ma bouche est en bien meilleure santé qu’auparavant…

 

 

2e astuce : Voici comment gérer facilement la douleur dentaire à l’aide de la manupuncture coréenne…

Eh oui, si vous n’avez pas mis en pratique l’astuce n° 1, vous aurez besoin de l’astuce n° 2 !

Si les dentistes de votre ville sont surbookés, en attendant le jour J de votre rendez- vous, vous pourrez appliquer avec succès la face nord d’un petit aimant (de préférence un aimant de puissance 9 000 gauss ou davantage) sur la zone de la bouche située à la moitié inférieure de la moitié inférieure de la longueur de la phalange distale de votre majeur (voir la photo ci-dessous).

Ce procédé est remarquable d’efficacité !

Si la douleur persiste, alors faites la même chose sur le majeur de l’autre main.

Si la douleur perdure encore, alors appliquez également un aimant identique sur l’autre côté du doigt, de façon à le « prendre en sandwich ».

Si, malgré tout, la douleur demeure récurrente, alors ajoutez (avec une extrême prudence) des huiles essentielles, comme le clou de girofle à l’endroit de la douleur, en diluant d’abord l’huile essentielle dans un peu d’une huile alimentaire. Et pratiquez le Quantum Touch 2.0 : envoyez simplement de fortes sensations d’amour sur l’emplacement de la douleur, et la douleur se calmera.

3e astuce : Un bon décodage et, hop, tout va mieux !

Si vous jetez un oeil dans le surprenant Dictionnaire du Langage de vos dents, écrit par Estelle Vereeck (éditions Luigi Castelli), vous découvrirez alors une incroyable source d’informations pour comprendre ce que nos dents veulent nous dire, l’ultime étape étant, comme toujours, la « mise en ordre » des causes conscientisées…

Toute douleur est un signal nous indiquant que nous sommes dans l’erreur. La douleur nous invite à lâcher prise, à nous transformer, à nous « désidentifier » du corps de souffrance, à nous adapter avec acceptation, amour et bienveillance, à ce qui est…

Nous surmonterons plus facilement les douleurs en faisant le choix de vivre pleinement dans le présent et avec confiance en la vie, en écoutant notre sagesse intérieure et en agissant en conséquence avec souveraineté, indépendamment de ce que voudraient nous dicter l’esprit de masse, l’hypnose collective, le regard des autres…

Si vous souffrez, alors s’il vous plaît, lisez mon article sur la douleur dans l’écolomag n° 81 de janvier 2021…

J’espère que ces quelques idées et remèdes de grands-mères vous donneront la « banane », un merveilleux sourire éclatant, la paix, la joie, l’harmonie intérieure…

En 2021, soyez prudents avec les « traitements invasifs suggérés ».

L’amour nous aime infiniment ! Libre à nous de prendre soin de nous, et des autres.

Liberté, paix et joie dans les coeurs !

Stéphan Lentzner
www.therapie-globale.com

* Je ne suis pas médecin. Prenez conseil auprès de votre médecin allopathe ou de votre dentiste.

Dents et décodage biologique – Nos dents nous parlent !

Connaît-on l’origine de nos maux ?

Proposé par Fanny Guichet
Professeur de yoga et praticienne en réflexologies, massages et conseils ayurvédiques, Shiatsu, Chi Nei Tsang, Lifting naturel, Reiki – Un accompagnement sur-mesure en fonction de vos besoins. www.inspirequilibre.fr

Pourquoi des douleurs et/ou maladies se manifestent-elles chez certaines personnes et pas chez d’autres ? Christian Flèche, psychobio-thérapeute et créateur du décodage biologique, s’est penché sur le sujet et nous explique que la maladie est le résultat de certains principes biologiques.

Le décodage biologique est ainsi une approche de la thérapie et de la santé basée sur le sens biologique des symptômes. L’observation et l’écoute des patients par un nombre croissant de chercheurs, médecins, thérapeutes et passionnés ont mis en évidence le lien intrinsèque entre chaque maladie et une émotion, qui s’appelle : le ressenti biologique conflictuel. Pourquoi ? Car le corps est un ensemble d’organes. Ces derniers assurent une fonction biologique pour la survie du tout. Les poumons respirent pour oxygéner toutes les cellules ; l’estomac digère pour toutes les cellules ; les os soutiennent tout le corps ; les organes des sens, nourris et oxygénés, apportent des informations au cerveau, qui servent au corps afin qu’il trouve sa nourriture, etc.

 

 

Cela est biologique et non pas psychologique. En fait, la vie est biologique par nature, psychologique par accident. Lorsque la fonction biologique est satisfaite, apparaît le ressenti biologique de satisfaction (nous avons bien mangé, nous nous sentons comblés, nous avons bien dormi, nous sommes en sécurité, nous voyons quelque chose de beau, nous avons évacué selles et urines, eu un rapport sexuel…). En résumé, dès qu’un organe est comblé survient une émotion spécifique : libéré, soulagé, transporté, touché, comblé, etc. À l’inverse, lorsqu’une fonction biologique n’est pas satisfaite, dès qu’un organe n’a pas eu ce pourquoi il est programmé, émerge une sensation afin de corriger cela : c’est le ressenti conflictuel biologique.

Ici, nous allons mettre cette approche thérapeutique – consistant à analyser l’origine biologique de la manifestation d’une maladie, d’un handicap ou d’une douleur physique – en lien avec les troubles attachés aux dents. En clair, quelle symbolique correspond à quelle dent.

Il est bon de comprendre que rien de ce qui suit n’est une vérité absolue. Le décodage biologique fait émerger des symboliques précises en fonction des pathologies, mais nous sommes tous différents !

À chacun et chacune de savoir reconnaître ce qui fait écho ou non chez lui ou chez elle.

Source : www.pourquoidocteur.fr

 

Nos dents et leur symbolique…

La bouche et les dents sont les premiers remparts pour permettre à un élément « extérieur » d’entrer à « l’intérieur »…

Incisives centrales : potentiel de l’individu, être physique, capacité à avancer, relations aux parents

11 – Mémorisation du père
21 – Mémorisation de la mère
31 – Place et importance données à la mère au quotidien
41 – Place et importance données au père au quotidien

 

 

Incisives latérales : être physique dans sa spécificité affective, relations aux parents

12 – Différenciation au père
22 – Différenciation à la mère
32 – Schéma de fonctionnement par rapport au père
42 – Schéma de fonctionnement par rapport à la mère

Canines : individu sur le plan émotionnel, intimité profonde et vitalité

13 – La perception de soi souhaitée par l’individu
23 – Transformations intérieures qui peuvent être mises en place par la personne pour arriver à la perception voulue
33 – Extériorisation des transformations évoquées par la canine 23
43 – Perception réelle et concrète de sa propre personne par les autres

Premières prémolaires : bases essentielles de l’individu (famille, travail, maison…)

14 – Faculté et souhait d’agir à l’extérieur des structures
24 – Importance donnée à l’affectif dans la préparation mentale de ces actions
34 – Importance donnée à l’affectif dans la concrétisation des actions menées avec les autres
44 – Exécution effective des projets et des désirs, action menée en dehors des structures habituelles

Deuxièmes prémolaires : nouveauté, changement, création, adaptation

15 – Naissance des projets
25 – Prédispositions intrinsèques à ces projets. Cette dent joue le rôle de « filtre »
35 – Capacité à s’adapter à de nouvelles situations, mais aussi à des tentatives de changement
45 – Réalisation effective de ces modifications, leur concrétisation

Premières molaires : Harmonie intérieure, joie de vivre, reflet du miroir maternel

16 – Désir d’amour, de bien-être ou de douceur dans une relation
26 – Expression des sensibilités intérieures ou intériorisées
36 – Reconnaissance de sa propre personne et de sa propre personnalité sur le plan affectif
46 – Concrétisation de la relation amoureuse

Deuxièmes molaires : Réflexion, analyse, démarche intellectuelle

17 – Rapport aux autres dans le domaine des décisions, des actions, des démarrages, des prises de position ou de pouvoir
27 – Rapport aux autres dans le domaine affectif, émotionnel, tout ce qui touche à l’intimité profonde
37 – Rapport aux autres dans le domaine de la communication, de l’image de soi
47 – Rapport aux autres, par son passé, ses habitudes, ses traditions, son hérédité

Troisièmes molaires (dents de sagesse) : individu sur le plan spirituel, projets et réalisations, puissance et énergie globale

18 – Force intérieure d’intégration dans la société, au passage dans le monde adulte
28 – Énergie de conscience intérieure, assurant l’équilibre entre les influences intérieures et extérieures
38 – Énergie nécessaire pour se montrer, se mettre en avant, se faire connaître
48 – Énergie physique dépensée à l’insertion dans le monde adulte

Dossier bien-être : Sourire nous rend beaux et contribue à notre bien-être ! Ou tout sourire !

Le fait d’avoir une bouche en bonne santé est un atout considérable pour notre santé globale, notre qualité de vie, notre rapport à l’autre. Et si, maintenant, nous parlions bien-être et de l’importance du sourire ?

On peut rire tout seul, mais le sourire s’adresse à quelqu’un… Il est, comme le dit si joliment Alexia Guggémos – créatrice du musée virtuel du sourire –, « une fenêtre ouverte sur l’âme », un lien social primordial.

En ces temps masqués où le sourire ne s’affiche plus, il est plus que jamais utile de lui rendre hommage et de le remettre au cœur de nos vies !

 

Articles à voir

Sourire pour créer ou amplifier sa joie et activer le nerf vague

Peut-il y avoir un rapport entre nos dents et les fleurs de Bach ? Eh bien, oui…

Cabinet de curiosités autour du sourire

Sourire pour créer ou amplifier sa joie et activer le nerf vague

La joie s’accompagne bien souvent, de manière spontanée, de jolis sourires. Mais savez-vous que sourire sur commande peut également entraîner une sensation de joie ?

Les recherches en neurosciences ont montré que s’entraîner à sourire, même lorsque l’on n’en a aucune envie, stimule les mêmes régions du cerveau – et notamment le nerf vague – qu’un sourire franc et sincère. Certes, l’impact est moindre, mais il existe bel et bien. À chaque fois que l’on va provoquer le sourire sans joie, nous allons modifier les productions neuro-hormonales et inonder notre corps d’une pluie d’hormones et de neurotransmetteurs, qui favoriseront le bon fonctionnement du nerf vague et son efficacité maximale d’adaptation face au stress.

Quelques mots sur le nerf vague

Le nerf vague est le plus long du corps et ses ramifications sont parmi les plus nombreuses. Il s’étend depuis le crâne à de multiples organes du corps : le coeur, toutes les voies respiratoires, l’estomac, le foie, les reins, le pancréas, l’intestin… On sait aujourd’hui qu’il joue un rôle-clé dans notre pleine santé et qu’il est un nerf étroitement lié à nos fonctions cérébrales.

 

 

Le nerf vague est impliqué dans l’inflammation, contrôle notre appétit, est en lien avec notre microbiote intestinal, influence notre manière de respirer, régule notre activité cardio- vasculaire, intervient dans nos défenses immunitaires. Mais, pour fonctionner de façon optimale, le nerf vague a besoin d’un niveau de stress peu élevé.

Pratiquer quotidiennement l’exercice du sourire

Comme nous venons de le voir, il faut sourire pour créer ou amplifier sa joie intérieure.

Au réveil, le matin, allongé·e sur votre lit, prenez quelques respirations calmes, amples et profondes. Les yeux fermés, dessinez un sourire sur vos lèvres (mentalement et physiquement).

Puis, au fil de votre respiration, faites monter ce sourire vers votre cerveau. Essayez de « ressentir » ce sourire qui dans lequel baigne tout l’intérieur de votre boîte crânienne, véhiculant un sentiment de joie et de bien-être.

Ensuite, faites descendre ce sourire mental dans vos bras, votre buste, votre abdomen et vos jambes. Il doit « couler » dans votre corps et l’inonder tout entier.

Expirez profondément et ouvrez les yeux. Vous êtes prêt·e à affronter la journée dans la joie et la sérénité. Le tout vous aura pris moins d’1 minute.

Au cours de la journée, si vous sentez que vous avez besoin de « muscler » votre joie de vivre, pratiquez cet exercice assis·e ou debout, n’importe où. Lorsque vous en aurez pris l’habitude, il vous suffira de quelques secondes pour sentir ce sourire dans tout votre corps.

 

Exercice extrait du livre

Stress, inflammation, troubles digestifs, immunité… et si c’était le nerf vague ?

Peut-il y avoir un rapport entre nos dents et les fleurs de Bach ? Eh bien, oui…

Par la bouche, tout commence par le fait de goûter, manger, mastiquer et d’avaler pour l’absorption des aliments, puis donner un baiser, parler, chanter, s’exprimer, sourire… vivre. Avant de concevoir que les dents puissent être belles, blanches, éclatantes et que l’on puisse rire à gorge déployée et sans complexe, elles représentent le début du tube digestif et tout ce que cela peut symboliser de plaisir, de désir, mais aussi de contrariant si le calme, l’harmonie en soi et la sérénité d’une bonne santé n’y sont pas reflétés.

La dentisterie n’est pas toujours agréable car les dents enracinées dans nos gencives peuvent nous faire mal, provoquer des douleurs terribles au visage, s’abîmer, se carier et, même, s’enflammer, jusqu’à l’extraction… L’état des dents traduit souvent l’état général de la personne et sa manière d’appréhender sa propre vie, le soin qu’elle y apporte en tous cas.

Vous remarquerez que les personnes ayant des dents dans un mauvais état, ou qui les négligent, ont, généralement, un problème psychologique latent non résolu, dans la perception qu’ils ont d’eux-mêmes et/ou qu’ils n’affrontent pas.

D’autre part et de manière plus populaire, nous disons souvent que les problèmes de dents évoquent 3 choses distinctes comme :

  • L’envie de mordre : agressivité, rancune, colère rentrée.
  • Mordre au travers, prendre une décision.
  • Mordre pour croquer la vie à pleines dents.

L’agressivité transparaît par ces petites phrases lâchées pour expliciter une situation difficile, comme « s’armer jusqu’aux dents ». Cela traduit des émotions fortes et difficiles à gérer, tant pour la personne qui les émet que celle qui les reçoit ! Comme une volonté affirmée d’avancer coûte que coûte.

Certaines fleurs et élixirs, comme Holly, la fleur de la colère, de la haine, de la jalousie, de la révolte, puis Vervain, la fleur de l’excès qui pousse à convaincre autrui avec passion et nervosité sans faire cas de ce qu’il peut bien penser ou éprouver, aideront à mieux réguler et gérer ses impulsions, tant dans la parole que les gestes. Ce sont des fleurs pour les énergies puissantes et écrasantes.

Leurs bienfaits amèneront la personne à plus de douceur et de considération de l’autre… et les messages ou émotions se vivront beaucoup mieux des deux côtés.

« Avoir une dent contre lui, avoir la dent dure, faire la gueule, marmonner entre les dents » exprime bien la rancune, celle que l’on garde en soi comme un ver dans le fruit, qui mûrit et macère. Elle trouve tout son sens avec la fleur Willow, de la famille d’émotions que le Dr Bach a nommée découragement et désespoir !

Mettre des mots sur cette amertume et cette rancoeur permet de mieux les digérer, pardonner, se délester d’un poids qui pèse sur le coeur et, surtout, passer à autre chose ! Accepter et se libérer pour retrouver la joie de vivre qui était enfouie et coincée au niveau de nos mâchoires.

L’élixir floral particulièrement adapté aux problèmes de la libération de la parole se nomme Gueule de loup ! Cet élixir apporte un soutien incontournable pour ceux qui parlent la bouche serrée, sont facilement irritables, ont le sens critique exacerbé et s’expriment le plus souvent en criant ou avec violence. L’énergie vibratoire de cette fleur, qui porte bien son nom, comme une métaphore, libère les émotions réprimées et favorise une expression verbale plus douce et équilibrée.

L’élixir Cosmos aide aussi à l’éloquence, à montrer ses belles dents tout en parlant sans peur, avec confiance ; celui-ci s’adresse particulièrement aux orateurs, acteurs et beaux parleurs ! Elle est harmonisante pour tous ceux qui utilisent les langues et le « parler vrai ».

On peut aussi évoquer le bruxisme (le grincement des dents), qui démontre une tension musculaire et corporelle très forte au niveau du visage et de la bouche ; il se manifeste le plus souvent la nuit lors du sommeil. Cela est même dangereux car ces crispations usent les dents de manière irréversible.

Toutes les fleurs et élixirs floraux qui apaisent et calment les personnes anxieuses, stressées et angoissées seront bénéfiques pour mieux gérer ces terrains de stress : Impatiens, Agrimony, Elm, Rock rose, Camomille, Valériane, le Poirier, le Pissenlit, et tant d’autres dans la panoplie d’énergies florales qui vous feront du bien naturellement.

Et, pour ce faire, il est nécessaire de prendre un certain temps avec un ou une florithérapeute pour en parler, en définir les sources et mettre en face la bonne composition d’élixirs afin d’y remédier, et être soutenu·e dans ses efforts pour garder une bonne santé générale sur tous les plans – psychologique et physiologique –, sans oublier dans sa tête pour de belles dents saines !

Nouveau : venez me rejoindre sur ma chaîne YouTube : Isabelle Bourdeau Florithérapeute et plus
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Cabinet de curiosités autour du sourire

D’où vient le mot sourire ?

Le mot sourire vient du latin populaire sub-ridere, dérivé de ridere (rire), sub marquant l’atténuation. Le terme signifie prendre une expression rieuse ou ironique. Le mot sourir a fait son apparition au XIVe siècle, et on disait « un souris », et non « un sourire », jusqu’au XIXe siècle.

Par quel mécanisme le sourire est-il contagieux ?

On entend souvent dire que le sourire est contagieux, mais savez-vous quel mécanisme entre en jeu ? L’avancée des neurosciences semble confirmer ce que le théâtre sait depuis longtemps : il existerait un processus en grande partie inconscient, reposant sur des neurones moteurs – les neurones miroirs –, nous permettant de « rentrer dans la peau de l’autre » en mimant son comportement. Bref, de véritables neurones de l’empathie !

D’où vient l’expression « Souriez, vous êtes filmé » ?

De Candid Camera, émission américaine culte créée en 1948, une caméra cachée ayant fait une grande audience jusqu’en 1970. À la fin de chacune des émissions, la phrase « Smile, you’re on camera » – « Souriez, vous êtes filmé » – était lâchée à la personne piégée.

Le sourire pour annoncer un décès au Japon

Savez-vous qu’au Japon, lorsque l’on annonce à quelqu’un que l’on a perdu un être cher, on le fait en souriant, pour lui signifier qu’il ne doit pas se sentir impliqué dans notre peine ?

La place du sourire dans l’art

Le sourire a été très longtemps boudé dans l’histoire de l’art et, notamment, dans la peinture. En effet, la bouche étant considérée comme le siège des plaisirs gustatifs et charnels, les règles de bienséance voulaient que l’on évite la présence d’un sourire sur une peinture. D’ailleurs, jusqu’à la deuxième moitié du XVIIIe siècle, le sourire « denté », c’est-à-dire bouche ouverte, était réservé aux filles de joie, aux ivrognes et à toutes personnes s’adonnant à la débauche.

L’homme qui rit d’Antonello de Messine, 1470. Sicile, Musée Mandralisca de Cefalù. Madame Vigée-Le Brun et sa fille d’Élisabeth Vigée Le Brun, 1786. Musée du Louvre.

Ainsi, les oeuvres « souriantes » dans l’histoire de la peinture sont rares. En 1470, Antonello da Messina peint L’homme qui rit, mais le sourire arboré par le modèle s’apparente davantage à une grimace cynique. Les historiens s’accordent à penser que le portrait de la Joconde, peint entre 1503 et 1506, serait le premier portrait souriant. Un sourire toutefois bouche fermée et tout en retenue, par un habile jeu d’ombres.

À partir de la seconde moitié du XVIIIe siècle, entrouvrir les lèvres devint acceptable, voire souhaitable, dans la mesure où, avec l’essor des grands romans sensibles de l’époque – comme La Nouvelle Héloïse, de Jean-Jacques Rousseau –, le sourire s’impose comme un modèle pour les élites souhaitant afficher leur sensibilité et leur richesse. Mais l’évolution des mentalités sera longue, comme en témoigne l’autoportrait d’Élisabeth Vigée Le Brun, en 1786. Sur cette oeuvre, on la voit tenir sa fille dans ses bras et sourire bouche ouverte en regardant le spectateur dans les yeux. Cette attitude sera jugée déplacée compte tenu de la représentation classique de la maternité.

Après la Révolution, le sourire ne revient dans la peinture française qu’avec les artistes de l’impressionnisme. Il faudra toutefois attendre le début du XXe siècle pour qu’une femme de la bourgeoisie respectable apparaisse avec un sourire franc et décomplexé, comme le montre la peinture Femmes à la balustrade, de Kees Van Dongen (1910-1911). La stylisation de cette oeuvre opère alors une sorte de promotion sociale du modèle féminin en le libérant de toute vulgarité.

Source : www.deuxieme-temps.com
l’art du sourire, Marion Spataro.

QUIZ DENT POUR DENT

1- Avoir la dent dure
a- Avoir de solides dents
b- Faire des critiques très dures contre quelqu’un ou quelque chose
c- Être très ambitieu·x·se

2- Avoir une dent contre quelqu’un
a- Faire des critiques très dures contre quelqu’un ou quelque chose
b- Avoir de la rancune envers quelqu’un
c- Être redevable envers quelqu’un

3- Mentir comme un arracheur de dents
a- Mentir sans scrupules
b- Mentir tout le temps
c- Mentir pour blesser quelqu’un

 

 

4- Avoir les dents longues
a- Faire des critiques très dures contre quelqu’un ou quelque chose
b- Être très ambitieu·x·se
c- Avoir une belle dentition

5- Être sur les dents
a- Être très ambitieu·x·se
b- Être dangereu·x·se
c- Être tendu

6- Parler entre ses dents
a- Marmonner
b- Parler très fort
c- Se taire

7- Se casser les dents
a- Tricher
b- Échouer
c- Avoir mal aux dents

8- Prendre la lune avec les dents
a- Tenter l’impossible
b- Faire n’importe quoi
c- Être naï·f·ve

9- Quand les poules auront des dents !
a- Être très occupé·e
b- Être très ambitieu·x·se
c- Ça n’arrivera jamais !

10- Se faire les dents
a- Prendre soin de ses dents
b- Être très ambitieu·x·se
c- S’entraîner


Réponses
1 : b / 2 : b / 3 : a / 4 : b / 5 : c / 6 : a / 7 : b / 8 : a / 9 : c / 10 : c

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