Qui n’a jamais ressenti ce blues qui nous vient du froid, du sombre et de l’hiver ?
Si la date du 16 janvier est considérée comme la plus déprimante de l’année – le fameux blue monday –, nous ne sommes pas pour autant tirés d’affaire.
De fait, le temps et le climat n’aident pas à être vifs, sereins et pleins d’entrain ; de plus, l’ambiance sociale, économique et environnementale accentue ce phénomène de baisse de moral et de ras-le-bol. Comme si nous subissions un effet de l’extérieur sur notre énergie vitale.
Le cycle des saisons touche particulièrement notre système immunitaire, notre sommeil et notre vitalité. S’ensuivent de la déprime, de la fatigue et de la morosité. Le manque de lumière influe sur notre production de mélatonine, qui finit par dérégler notre horloge interne…
Cet état de fragilité globale physique et morale agit sur notre vie quotidienne et envahit notre espace vital, sans compter les émotions qui vont de pair et nous submergent !
L’aide et le soutien de l’énergie vibratoire des Fleurs de Bach et élixirs floraux sont puissantes dans la gestion des émotions qui émanent de cet état provoqué par l’hiver, qui semble durer, durer et durer, mais qu’il faut traverser coûte que coûte. Nous n’avons pas le choix ; je dis NOUS car je me sens particulièrement concernée en cette période et je me concocte toujours un mélange adéquat pour passer cette saison… le mieux possible.
Pour la tristesse : mustard, gentian, oranger et retrouver la joie de vivre
Pour la fatigue : oak, olive, hornbeam, lilas et récupérer votre dynamisme et votre entrain
Pour le sommeil : white chestnut, agrimony, camomille et renouer avec l’apaisement et le lâcher-prise
Pour le moral et les troubles de l’humeur : walnut, gorse, scleranthus, millepertuis et recouvrer votre enthousiasme et votre faculté d’adaptation
La florithérapie offre un large choix de mélanges personnalisés en fonction de votre manière de vivre les choses, des jours, des semaines, et suivant l’impact que cela à sur vous. Une séance de florithérapie est l’occasion de mettre à plat votre ressenti profond et de déterminer ensemble les élixirs floraux qui vont vous permettre d’inverser les émotions négatives en positives, et cela de façon naturelle…
Votre flacon, à raison de 4 gouttes 4 fois par jour, soit 2 gouttes au lever et 2 gouttes au coucher, ou bien dans votre bouteille d’eau si vous allez travailler avec, vous sera utile pour une cure de 1 mois, à renouveler selon vos besoins jusqu’à l’amélioration de votre bien-être (sans effet secondaire, ni accoutumance ni risque de surdosage, compatible avec tout traitement médicamenteux).
Il n’est pas trop tard pour enrayer le phénomène de dépression saisonnière, n’hésitez pas à me questionner si besoin !
Isabelle Bourdeau – Florithérapeute et soins énergétiques
06 814 614 86 – contact@lapogeedesoi.fr
www.lapogeedesoi.fr
YouTube : Isabelle Bourdeau Florithérapeute et plus
Code Siret : 807 808 440 00041
Les plantes au service de l’amour…
Nous nous inscrivons comme une entreprise qui veut aider à l’amélioration de la santé des gens en anticipant les problèmes plutôt qu’en les traitant. Notre devise est “ la prévention plutôt que la guérison” et notre but est d’éviter autant que possible aux femmes et hommes de tomber malades.
Afin d’accompagner la croissance de la société et ses nombreux axes de développement, nous avons décidé de lancer une levée de fonds sur une courte période, en 28 jours.
Vous pouvez vous rendre sur la page dédiée pour y trouver une description plus détaillée et les documents officiels : HÂPY
Le Lundi 30 Janvier à 18:00 CET, une présentation de la société est organisée en ligne, accessible depuis un smartphone ou un ordinateur (retransmission en direct).
Pour vous inscrire à l’événement, il vous suffit de cliquer sur le lien suivant : INSCRIPTION
PS : Si vous avez plus de questions, vous pouvez échanger avec les équipes gérant la campagne au +33757957583 ou prendre rdv ici directement dans mon agenda
La Journée mondiale de l’hypersensibilité, c’était vendredi dernier (le 13 janvier). L’occasion de rappeler ce qu’est l’hypersensibilité, dont on parle de plus en plus, mais qui est encore incomprise au quotidien par tous ceux qui ne sont pas hypersensibles.
Elle peut se définir comme une sensibilité plus élevée que la moyenne, c’est-à-dire par une réceptivité accrue aux stimuli intérieurs comme extérieurs, par des perceptions fines, ainsi que par un traitement en profondeur des informations.
L’hypersensibilité est une hyperconnexion, qui peut prendre toutes les dimensions de notre être : physique, mental, émotionnel et énergétique. Et, contrairement aux idées reçues, elle ne diminue pas au fil des années, mais, au contraire, s’accentue.
On pense souvent – à tort – qu’être hypersensible est un excès d’émotivité ; mais l’hypersensibilité ne se résume pas à cela. Elle est bien davantage et bien plus « caméléon ».
L’hypersensibilité s’exprime au quotidien dans des domaines très variés, par exemple :
- La sensibilité accrue aux remarques des autres
- La sensibilité exacerbée à l’écoute d’une musique
- L’hypersensibilité aux matières: par exemple, ne pas supporter un pull en laine à même la peau plus de 5 minutes
- L’hypersensibilité dentaire
- L’hypersensibilité à la lumière et ne pas tolérer les éclairements forts ni trop blancs
- La sensibilité intensifiée face aux changements d’état ou de lieu
- La sensibilité amplifiée vis-à-vis des imprévus…
Ce ne sont que des exemples, car la liste complète serait longue tant les manifestations peuvent être nombreuses et variées.
Depuis peu, la parole s’est enfin libérée et le nombre d’ouvrages sur cette thématique s’est multiplié.
Mais alors, comment assumer cette hypersensibilité si envahissante et déstabilisante ?
Nous avons posé quelques questions à Aurélia Monaco, autrice du livre J’assume mon hypersensibilité, aux éditions Gereso.
Découvrez ICI cet interview.
Et si vous assumiez votre hypersensibilité?
Aurélia MONACO a débuté sa carrière en tant qu’avocate fiscaliste, puis RH. Elle a changé de vie pour devenir coach et a fondé le cabinet Ici & Higher. Hypersensible, elle anime des formations, conférences et webinaires, très suivis, sur ce thème. Nous avons eu le plaisir de lui poser quelques questions à l’occasion de la sortie de son ouvrage J’assume mon hypersensibilité, aux éditions Gereso.
Quelles ont été vos motivations à écrire cet ouvrage ?
Avec mon livre, j’ai souhaité donner des clés de compréhension pour les hypersensibles que j’appelle, avec humour, « les hypersensibles contrariés », c’est-à-dire ceux qui ont une vie qui va à l’encontre de leurs besoins : soit parce qu’ils ignorent être hypersensibles, soit parce qu’ils essaient de coller à la « norme ».
J’ai cheminé ces dernières années pour adapter mon environnement à mon hypersensibilité et non plus « suradapter » mon hypersensibilité à mon environnement, et c’est ainsi que j’ai pu m’épanouir. Avant, je travaillais comme avocate fiscaliste dans un bureau. Aujourd’hui, ma sensibilité me permet de créer des vidéos et des accompagnements qui me portent.
Si tout hypersensible n’a pas forcément besoin de se reconvertir professionnellement, je souhaitais transmettre mon expertise et mes prises de conscience pour faire gagner du temps à d’autres personnes.
Vous dites dans votre ouvrage que l’on n’est pas hypersensible par hasard. Pourriez-vous développer ?
Je pense en effet que la vie est bien faite et que, si l’on est hypersensible, ce n’est pas un hasard. C’est une façon d’être au monde et, à mon sens, si l’on perçoit autant d’informations, c’est pour les exprimer et partager sa vision du monde.
Pour moi, les hypersensibles sont les garants du vivant ; mais, avant d’essayer de l’être, ils doivent accueillir ce vivant en eux, notamment en se reliant à leur corps.
On parle de plus en plus d’hypersensibilité, mais souvent sans vraiment savoir ce qu’il se cache derrière. Pourriez-vous nous éclairer ?
Effectivement. L’hypersensibilité va de pair avec une intensité dans la façon d’être au monde et d’avoir moins de filtres que la moyenne, comme je le préciserai après.
Dans mon livre, je donne une image : deux personnes regardent le soleil. La personne hypersensible va le voir – et le sentir – comme si elle ne portait pas de lunettes de soleil, quand l’autre personne, qui ne serait pas hypersensible, va regarder et sentir le même soleil, avec des filtres, et sera moins impactée – positivement comme négativement.
Quelles sont les caractéristiques de l’hypersensibilité ?
Je parlais d’intensité, et celle-ci va être présente à plusieurs niveaux :
Au plan émotionnel, l’hypersensible ressent plus intensément et plus longtemps ses émotions – même s’il a pu s’en couper par le passé…
Au niveau sensoriel, la personne hypersensible capte plus d’informations et est plus réactive aux stimuli sensoriels – internes comme externes ; on parle d’hyperesthésie. C’est le fait de capter plus d’informations au travers de ses sens.
Le sens le plus développé chez les hypersensibles est souvent l’audition, puis vient le toucher. C’est un spectre sensoriel élargi. Dans mon ouvrage, j’explique qu’il est important de développer sa conscience sensorielle pour éviter la surcharge quotidienne, qui mène à de la fatigue.
Également, il existe un traitement des informations en profondeur, avec un sens du détail, une forme de perfectionnisme et des valeurs fortes.
Est-elle innée ou acquise ?
Il est difficile de répondre à cette question !
Il semblerait qu’elle soit souvent innée, mais une étude récente réalisée avec des jumeaux, que je cite dans mon livre, montre que la sensibilité est à 53 % liée à l’environnement, contre 47 % liée à la génétique. Dans la pratique, de nombreuses personnes hypersensibles ont un parent ou des enfants hypersensibles. Ce qui est certain, c’est que le contexte de l’enfance va influencer considérablement la sensibilité : plus l’environnement a été bienveillant, plus la sensibilité sera accueillie et bien vécue.
À l’inverse, quand l’enfant a dû s’adapter à un environnement qui n’était pas sécurisant, l’hypersensibilité peut mener à une hyper-vigilance, avec une difficulté à autoréguler son stress une fois adulte.
On confond souvent l’hypersensibilité et le haut potentiel émotionnel, ou HPE. Quelles sont les différences ?
En effet, on peut être hypersensible sans être haut potentiel émotionnel, et inversement.
Le haut potentiel émotionnel est un terme qui vient nommer une intelligence émotionnelle, notamment confirmée par un test – test EQ-i. Cette intelligence émotionnelle est composée de 4 piliers.
Selon moi, un hypersensible a le potentiel pour développer son intelligence émotionnelle et être « haut potentiel émotionnel », mais ce n’est pas toujours inné, justement, car il reçoit beaucoup d’informations. C’est alors une compétence à développer, notamment en apprenant à nommer ses émotions, prendre des décisions, gérer son stress, etc. Je conseillerais de passer le test, puis de se faire accompagner sur les piliers qui sont les moins développés. Encore une fois, le terme haut potentiel émotionnel comme le terme hypersensible ne « servent » à rien si l’on ne comprend pas ce que cela cache derrière.
Quel est le rapport entre l’hyperesthésie et l’hypersensibilité ?
Les hypersensibles ont souvent une hyperesthésie, c’est-à-dire cette capacité à recevoir sensoriellement beaucoup plus d’informations que la moyenne.
Cela n’est pas forcément associé : il existe des hypersensibles qui vivent leur intensité plutôt au niveau émotionnel et moins au niveau sensoriel ; de même qu’il existe des personnes uniquement avec une hyperesthésie sans être hypersensibles. La nature humaine est riche et variée !
Pourquoi les hypersensibles sont-ils souvent des hyper-empathiques ?
Je ne saurais pas vous dire pourquoi, mais je pense que cela va de pair avec cette intensité et le fait de capter plus d’informations. Des études montrent que les hypersensibles ont des neurones miroirs plus actifs, ce qui leur permet de se connecter plus facilement et intensément aux autres. Cette hyper-empathie va faire qu’ils vont ressentir en eux ce que ressentent les autres personnes, voire l’énergie des lieux.
On parle « d’éponges émotionnelles » et il est alors essentiel de connaître et de poser ses limites.
Pourquoi dit-on souvent que les hypersensibles sont des créatifs ?
Parce qu’ils perçoivent ce que d’autres ne voient pas forcément, parce qu’ils ont souvent des pensées en arborescence, libres et vives. Ce sont des personnes intuitives, qui voient en grand.
Parce qu’ils sont sensibles aux arts, aux détails, à l’harmonie, au beau…
Pour moi, ce sont des visionnaires, qui, pour développer leur créativité, doivent avoir un environnement propice à cela, notamment au travail ; et, malheureusement, ce n’est pas toujours le cas. Je pense que les hypersensibles sont là pour penser en dehors des cases et créer d’autres possibles en faisant des liens nouveaux.
Assumer son hypersensibilité passe-t-il avant tout par l’estime de soi et la prise en charge de soi ?
Cela passe par la prise en charge de soi-même. En tant qu’hypersensible, on est souvent tourné vers l’extérieur, les besoins des autres. C’est important de repartir à l’intérieur de soi, de prendre conscience de sa valeur, de s’accepter avec ses qualités et ses défauts et de ne pas attendre d’être sauvé par l’extérieur. Je dirais que tout cela peut se résumer par le fait de devenir ses propres parents bienveillants, pour soi-même.
Auriez-vous quelques conseils à donner à nos lecteurs pour mieux assumer leur hypersensibilité ?
Je leur conseille de suivre le chemin que je propose dans mon livre, à savoir : comprendre leur fonctionnement, honorer leurs besoins, bien s’entourer, ne plus chercher à sauver le monde mais se sauver eux-mêmes, adapter leur environnement à leur sensibilité et trouver du sens à leur vie, car c’est essentiel pour eux.
Le mot de la fin ?
Je terminerai par la phrase avec laquelle je débute mon ouvrage : « Être hypersensible, c’est être hyper-vivant ! »
Nous l’avons déjà vu, la capacité de notre organisme à réagir à un agent stressant varie d’un individu à l’autre, mais également dépend de votre fatigue, de votre état de santé, ect. L’alimentation est un réel soutien, toutefois, elle peut s’avérer insuffisante si vous êtes allé(e) trop loin… Dans ce cas, il est parfois bienvenu d’accepter un petit coup de pouce de la Nature, qui recèle, de par son extraordinaire pharmacopée, de précieux trésors pour vous requinquer.
Merveilleuses plantes adaptogènes !
Une plante adaptogène est, comme son nom l’indique, une plante qui va aider votre organisme à s’adapter à votre situation. Elle ne fonctionne pas comme un excitant (tel le café par exemple qui masque la fatigue et vous permet de puiser dans vos dernières ressources jusqu’à épuisement), mais elle augmente la résistance de votre corps aux agents stressants quels qu’ils soient… Son effet n’est donc pas immédiat, mais ces plantes vont soutenir l’organisme en profondeur, sans le stimuler à l’excès, ni freiner ses fonctions normales. Généralement, les bénéfices se ressentent au bout de la première semaine : mieux être général, amélioration de l’endurance de l’organisme, stimulation des fonctions cognitives tout en apaisant l’émotionnel. Ainsi, si vous sentez que le stress chronique est en train de s’installer, ces plantes peuvent vous être d’un précieux soutien.
Ginseng (Panax Ginseng)
Une des plantes les plus connues est le ginseng. Cette racine chinoise est bien connue pour son action défatiguante, stimulante, tonicardiaque et antalgique. Pa ailleurs, elle augmente la production de globules blancs, et donne donc un coup de fouet à votre système immunitaire tout en réduisant votre production de cortisol (ce qui est fort intéressant en cas de stress chronique). Elle augmente également les capacités de concentration, et améliore la circulation lymphatique. Attention toutefois, victime de son succès, le ginseng est souvent falsifié ou mal préparé… préférez des spécialités titrées en ginsénosides.
La rhodiole (Rhodiola rosea)
La rhodiole, également appelée racine dorée ou herbe sacrée des Tibétains est une de nos plantes préférées, elle fait d’ailleurs partie d’un des produit phare de notre laboratoire : le Z-stress !
Et pour cause : elle appartient aux pharmacopées des médecines traditionnelles chinoise et russe pour lutter contre le stress, augmenter les performances physiques, stimuler les défenses immunitaires, et les facultés physiques et mentales. On dit même que Vikings l’utilisaient pour ses vertus tonifiantes. Aujourd’hui, vous trouverez plusieurs études qui attestent de son action sur le cortisol principalement, dont elle réduit les taux excessifs, ou de son action régulatrice sur la réponse cellulaire au stress. Ses principes actifs (le salidroside et les rosavines) se trouvent principalement dans ses racines.
Par ailleurs, la rhodiole a une action anti-inflammatoire reconnue et augmenterait la production d’endorphines dans l’organisme (effet anxiolytique). Enfin, elle soutient la récupération musculaire et cardiaque après un effort !
Si vous avez besoin d’une petite cure, vous vous recommandons d’en prendre 2 gélules tous les matin, environ 30 minutes avant le petit déjeuner, pour une cure de 21 jours, à renouveler si elle vous a fait du bien !
L’ashwagandha (Withania somnifera),
L’ashwangandha, souvent appelée le « ginseng indien », est une autre plante adaptogène, qui s’associe parfaitement à la rhodiole. Il s’agit est une plante indienne utilisée en médecine ayurvédique pour renforcer l’organisme, diminuer le stress et améliorer le sommeil. Depuis, plusieurs études scientifiques ont permis de valider ses effets sur la fatigue physique et nerveuse. Elle est aujourd’hui régulièrement indiquée en situation de stress chronique, car elle améliore globalement tous les facteurs de résistance au stress, augmente la vivacité d’esprit et améliore le bien-être général.
Par ailleurs, l’extrait d’ashwagandha a une activité anti-inflammatoire reconnue. Les doses quotidiennes recommandées vont de 0,3 à 1,5 g par jour, à prendre en 2 prises, midi et soir (en complément de la rhodiole !)
D’autres plantes existent, tels que l’éleuthérocoque, la maca, le Schisandra, etc. Renseignez-vous auprès de votre thérapeute préféré.
Enfin, en cas de stress brutal, nous vous recommandons vivement le complexe Rescue de fleurs de Bach : 4 gouttes sous la langue toutes les 10 min jusqu’à amélioration (et avant de finir le flacon, car il est composé à 99% de cognac ! Ps: le complexe Rescue est bien présent dans notre crème Z-Trauma : une noisette à masser sur le plexus solaire fera autant de bien, et contient bien moins d’alcool !
Respectez-vous votre corps ?
La nature nous a fait don de ce cadeau précieux, magnifique et surtout UNIQUE, que nous avons la responsabilité de respecter. Pourtant, pour la plupart des gens dans notre société, le corps n’a plus vraiment d’importance aujourd’hui : il n’est pour la plupart des humains, qu’un simple véhicule que nous malmenons dans notre course effrénée contre le temps. Plongés dans l’univers 2.0 des technologies numériques, nous avons noyé notre conscience du vivant dans le cloud, et nous préférons prendre en photo un beau paysage et l’envoyer instantanément à notre réseau plutôt que de prendre le temps de ressentir la puissante action de cette Nature dans notre intérieur.
Mais, le corps, oublié, va alors commencer à se manifester, en lançant des alertes, plus ou moins violentes (mal de dos ou vertiges, au début, des vertiges, pour finir par des burn-out, dépressions, maladies auto-immunes… voir des cancers). Bref, tout ce que l’on appelle aujourd’hui les « maladies de civilisation » ne sont que des témoins de notre déconnexion au corps.
Et vous, quand avez-vous pris votre dernier “tête à tête” avec votre corps ?
Dans ce podcast, Patrick Martini, gérant du Laboratoire Mint-e nous parle du respect de son corps.
Pour écouter l’émission, cliquez ici.
Pour la télécharger, c’est ici.
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Les conserves gastronomiques La Truitelle sont les premières boîtes de petits poissons labellisées AB. Elles sont élaborées à partir d’ingrédients d’une qualité exceptionnelle, à commencer par les poissons, qui sont élevés dans le plus grand respect de la charte de l’aquaculture biologique, avant d’être mis en boîte à la main. Une cuisson rapide et précise sauvegarde leur goût et leur texture uniques…
Zoom sur la Truitelle de montagne à l’huile d’olive, aneth & Carvi, poivre de Madagascar
Les saveurs anisées ont toujours parfaitement rehaussé les cuissons du poisson, notamment dans les pays d’Europe du Nord. Pour s’accorder au mieux avec la finesse de la truite, La Truitelle a associé ces petites truites à l’huile d’olive vierge extra pressée par Jean-Claude Pons à Luc-sur-Aude (11), le carvi et l’aneth, dont les graines – produites par Lucie Morival à Espezel (11) – relèvent subtilement cette conserve d’exception à l’accent scandinave…

Zoom sur les graines de carvi
Le carvi a un goût proche du cumin mais en plus doux, plus citronné et plus anisé avec des accents d’orange amère. Son parfum est chaud, épicé, évoquant un peu la térébenthine. Une épice produite par Lucie Morival à Espezel qui s’accorde parfaitement avec les Truitelles.
Zoom sur le poivre de Madagascar
Le poivre Voatsiperifery est récolté à la main sur des lianes atteignant 25 m de hauteur à la cime des arbres des forêts tropicales du sud-est de Madagascar. Ses notes finement boisées et sa finale citronnée s’harmonisent parfaitement avec la saveur racée de l’huile de tournesol vierge extra produite par Benoît Poux à Belcaire.
Compagnon idéal de la truitelle, il s’apprête à faire chanter votre palais. Comme autant de notes de musique sur une partition virtuose…
Nouveaux produits “Coffret poissons rares”
Deux conserves d’exception qui rendent hommage aux espèces de truites européennes les plus prisées, dans un coffret noir estampillé La Truitelle. Tout d’abord, une recette volontairement très peu salée, pour laisser exprimer toute sa finesse à la truite fario, seule espèce de truite autochtone des rivières d’Europe. Puis une recherche gastronomique inédite : la subtilité absolue de la chair de l’omble chevalier, espèce reine des salmonidés originaire des lacs alpins, sublimée par le poivre et le vinaigre de sapin des Pyrénées produits par Abiès Lagrimus sur les pentes du Canigou.
Au cours de mon cheminement personnel et spirituel, j’ai compris une chose fondamentale pour être heureuse au quotidien. L’amour de soi. C’est pourquoi je m’intéresse beaucoup à la notion d’amour en général, et aussi sur des plans plus subtils.
L’amour de soi
L’amour est selon moi une énergie divine d’amour inconditionnel qui est présente dans chaque cellule, chaque atome de l’univers. Elle est a l’origine de la vie et de la création de l’Univers. Elle est donc présente en chacun de nous. C’est donc notre essence, notre nature profonde. Et bien que le monde d’aujourd’hui reflète une société malade et en désamour de soi complet, on peut se connecter à cette énergie et la faire revivre en nous.
Je ne m’aime pas, que faire ?
Soi rassuré, je pense que personne n’est un cas désespéré. Chacun choisi de rester dans le désamour de soi, parce que c’est plus confortable ainsi. Ou bien au contraire, on choisi d’agir pour changer sa façon de vivre et de voir le monde afin d’élever son énergie d’amour. Les personnes qui restent dans leurs souffrances, choisissent d’y rester consciemment ou non. En tout cas, elles ont la possibilité de faire un choix à un moment donné. Choisir de s’aimer commence avec une prise de conscience.
Une fois que l’on prend la voie de l’amour de soi, tu peux commencer par te rendre la vie belle en lâchant quelques croyances et en commençant par changer quelques habitudes.
Où se trouve l’amour ?
Je pense que l’amour se trouve uniquement à l’intérieur de soi et que la meilleure façon de nourrir ce besoin c’est de l’entretenir soi-même en soi. Pourquoi ne pas se contenter d’une relation amoureuse ou familiale ? Et bien parce que cet amour et ce bonheur se situe à l’extérieur de soi. De plus, les relations entre êtres humains développent toujours un peu d’attachement (voir beaucoup jusqu’à la dépendance). Et au moment de la séparation, cela crée une douleur intense et un désespoir total.
Alors qu’avec l’amour de soi, l’avantage c’est qu’il est toujours là. Même dans la séparation avec le corps, notre âme continue de briller d’amour. Cela permet de prendre la responsabilité de ses besoins et surtout de son bonheur. Bien sûr que c’est sympa d’être en couple et de fonder une famille. Ces êtres chers peuvent partager aussi leur amour avec nous et nous en donner. D’ailleurs, pour donner de l’amour aux autres, il faut d’abord remplir sa coupe d’amour. Si elle est vide, on ne peut pas en distribuer. Logique.
7 choses à connaître sur l’amour
1. L’amour se situe en soi
C’est une idée difficile à accepter et pourtant tellement vraie. L’amour se situe uniquement en soi et jamais à l’extérieur. C’est pour cela que chacun est responsable de sa coupe d’amour et de la façon dont il va la remplir au quotidien.
2. Planter des graines d’amour en soi et les entretenir
Planter des graines d’amour, cela veut dire commencer par explorer ce que l’on aime chez soi. Et si vous pensez qu’il n’y a rien, cherchez encore, il y a forcément quelque chose que vous appréciez chez vous. N’oubliez pas que le désamour de soi est une croyance entretenue depuis trop longtemps par des pensées fausses et toxiques. VOUS ETES DIGNES D’AMOUR.
Ce n’est pas un travail facile, c’est certain. Avec de la ténacité et de la force on arrive à voir de belles choses en soi. Ne serait-ce que sa flamme d’amour intérieur. Vous avez été créés à partir d’énergie d’amour donc cette beauté divine est en vous.
3. S’aimer de multiples façons
A vous de trouver comment vous aimer, comment prendre soin de vous. Chercher les petites choses de la vie qui vous font plaisir. Par exemple, manger sainement, s’offrir un massage de temps en temps, une retraite dans la nature, des petites balades, s’envoyer des pensées d’amour, méditer, sentir en vous cet amour divin avec des exercices choisis… A vous de trouver ce qui vous convient le mieux.
4. Créer sa routine d’amour de soi
Quand vous avez trouver vos façons de vous aimer, vous pouvez les intégrer dans votre quotidien selon vos possibilités de temps et d’argent. Essayer d’ajouter ses petites choses jusqu’à ce que cela devienne de nouvelles habitudes saines.
5. L’amour est toujours présent en soi
Au fur et à mesure que l’on cultive cet amour de soi en soi, on se crée un socle solide de lumière. Cela ne va pas vous empêcher de vivre des moments douloureux. Cependant, vous verrez que vous les vivrez autrement.
Pour ma part, quand je vis des moments intenses, j’arrive à plonger au fond de moi et me demander si, malgré cet événement douloureux, il y a une part en moi qui soit sereine et pleine d’amour. Et la réponse est toujours oui. Parce que je suis convaincue que cette énergie est toujours présente. Et donc c’est de cette façon que je traverse les cataclysmes émotionnels.
6. L’amour est toujours inconditionnel
C’est important de faire la différence entre l’amour inconditionnel divin, l’affection et le sentiment amoureux. Seul l’amour divin est authentique, puissant et présent en nous de manière abondante. C’est notre choix de s’y connecter et de le laisser briller intensément.
7. Quand on s’aime, on partage son amour
Une fois que notre amour pour soi-même rayonne en abondance, on peut le diffuser partout autour de soi et le partager avec l’humanité. L’amour fait du bien, guérit, élève… Nous y sommes tous sensibles parce que c’est notre essence.
Pour conclure
Pour finir, je résumerai l’amour comme la seule voix possible au bonheur, à l’harmonie et à la paix intérieur. Que cette énergie fait partie intégrante de notre être. Qu’elle se situe en nous. Et que l’on peut se relier à elle et la diffuser à tout moment. C’est de cette façon que j’ai créer mon bonheur intérieur, par conséquent, il me suit partout où je vais.
Ressentir calme et sérénité est sûrement un de nos besoins les plus essentiels, surtout dans un monde où tout va trop vite et où nous sommes constamment sollicités.
Il est temps de faire une pause, pour revenir à soi et en soi afin de prendre du recul et faire le point, avant de mieux repartir. C’est ce que nous invite à faire Tatiana Orlhac, accompagnatrice bien-être et créatrice du concept ZEN & BOOST*, dans cette séance à pratiquer en 10 minutes seulement.
Idéale après une journée intense, pour un retour au calme et la préparation à une belle nuit de sommeil.
RESPIRATION BALLON À L’HÉLIUM
Installez-vous sur votre tapis, pliez les jambes. Tirez vos bras au maximum vers l’avant afin d’avoir vos genoux les plus proches possible de vos aisselles. Enlacez vos jambes, relâchez complètement votre tête. Amenez votre attention dans votre dos et respirez dans celui-ci. Imaginez-vous gonfler un ballon à l’hélium sur chaque inspiration et être plus léger sur chaque expiration. Prenez 8 cycles de respiration ici.

QUADRUPÉDIE DOS ROND/DOS CREUX ou « CHAT/VACHE »
Placez-vous face à votre tapis, les mains en dessous des épaules et les genoux en dessous des hanches. Inspirez, creusez votre dos et regardez vers le ciel.
Expirez, arrondissez votre dos, poussez dans vos mains, et rentrez votre menton en direction de votre poitrine.
Prenez le temps du mouvement pour cinq allers-retours.

MOUVEMENT CROISÉ COUDE/GENOU
Placez-vous à nouveau face à votre tapis. Déposez votre main droite derrière votre tête, et le coude sur le côté. Étirez votre jambe gauche à l’arrière. Puis ramenez le coude en direction de votre genou. Répétez ce mouvement 5 fois à droite, puis 5 fois à gauche.

AUTO-MASSAGE DÉTENTE DES TRAPÈZES SUPÉRIEURS
Attrapez votre muscle (trapèze supérieur) avec vos doigts et pétrissez selon votre ressenti et vos différentes sensations. Utilisez votre bras droit pour masser à gauche, et inversement. Lorsque vous massez, tournez la tête en opposition dans un premier temps, puis dites « non » avec celle-ci. Faites le massage à droite, puis à gauche.

ALLONGÉ, DOS CREUX/DOS ÉTALÉ
Allongez-vous sur le dos, fléchissez les jambes et placez vos pieds à plat. Écartez vos pieds de la largeur de vos hanches et placez vos genoux au-dessus des pieds.
Creusez votre dos, observez le bas du dos qui se creuse facilement. Allez chercher également le haut du dos avec vos omoplates qui se resserrent l’une vers l’autre.
Allongez ensuite chaque vertèbre sur le tapis et terminez en exagérant l’étalement du bas du dos et en orientant le pubis vers le haut. Toutefois, sans décoller le bassin.
Reproduisez le dos creux, puis l’étalement 2 fois de plus, le plus lentement possible.
Puis étalez vos jambes et ressentez pleinement votre corps quelques secondes.

Retrouvez d’autres exercices de Tatiana sur l’ecolomag.
Vous venez de terminer votre séance d’entraînement et vous vous sentez épuisé. Votre corps a besoin de récupérer pour réparer les tissus endommagés et reconstruire les muscles. Heureusement, il existe plusieurs façons de faciliter la récupération après le sport. Dans cet article, nous vous donnerons quelques conseils pour bien récupérer après votre entraînement.
La récupération après l’entraînement
Il est important de bien récupérer après l’entraînement pour que les muscles puissent se reposer et se reconstruire. Voici quelques conseils pour une bonne récupération :
- Buvez beaucoup d’eau avant, pendant et après l’entraînement pour éviter la déshydratation.
- Mangez un repas riche en protéines après l’entraînement pour aider les muscles à se reconstruire.
- Faites une séance de massage ou de stretching après l’entraînement pour détendre les muscles et prévenir les courbatures.
- Prenez un bain chaud ou une douche chaude après l’entraînement pour favoriser la circulation sanguine et détendre les muscles.
La récupération après la compétition
Il est important de bien récupérer après avoir fait du sport, afin de ne pas risquer de blessures ou de fatigue. Voici quelques conseils pour vous aider à récupérer efficacement:
- Buvez beaucoup d’eau avant, pendant et après l’activité physique. L’eau permet à votre corps de mieux se réhydrater et donc de mieux récupérer.
- Mangez des aliments riches en glucides et en protéines après l’effort. Les glucides aident à reconstituer les glycogènes musculaires et les protéines favorisent la reconstruction des muscles endommagés pendant l’exercice.

Le plus essentiel dans la récupération
Il est primordial et indispensable de veiller à ce que votre équilibre acido-basique soit optimal pour ne pas subir les courbatures et retrouver la forme rapidement. Et si c’était aussi simple que de porter le T-shirt ou le legging bioactif THERATEX ? Les cellules fonctionnant mieux, on observe une optimisation des métabolismes et de la respiration cellulaire, une régulation des dysfonctionnements du corps avec à la clef:
- Meilleure élimination des toxines
- Amélioration du flux sanguin
- Meilleur apport en oxygène
- Meilleur échange cellulaire
En suivant nos conseils, vous vous sentirez beaucoup mieux après votre séquence sportive et en portant nos vêtements techniques de récupération, vous serez plus rapidement en meilleure forme pour votre prochain entraînement.
5 exercices pour évacuer le stress
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Nov 3, 17:35