L’ionisation de l’eau est un processus qui consiste à modifier la structure moléculaire de l’eau en ajoutant ou en enlevant des ions. Ce processus peut être utilisé pour purifier l’eau et la charger en énergie.
L’eau est composée de molécules d’H2O, qui sont neutres et n’ont pas de charge électrique. Cependant, lorsque l’eau est ionisée, elle devient chargée en ions positifs (H+) et négatifs (OH-). Ces ions ont la capacité de se lier à d’autres molécules, ce qui peut aider à éliminer les impuretés de l’eau.
Il existe plusieurs méthodes pour ioniser l’eau, mais l’une des plus courantes est l’utilisation d’un ioniseur d’eau. Les ioniseurs d’eau sont des appareils qui électrolysent l’eau en la faisant passer à travers une chambre d’électrolyse. Les électrodes dans la chambre créent un champ électrique qui divise l’eau en ions positifs et négatifs.
Lorsque l’eau est ionisée, elle devient plus acide ou plus alcaline en fonction de la quantité d’ions H+ et OH- présents. L’eau ionisée alcaline a un pH supérieur à 7, ce qui peut aider à neutraliser les acides dans le corps et à améliorer l’équilibre acido-basique. L’eau ionisée acide, quant à elle, peut être utilisée pour nettoyer et désinfecter les surfaces.
En plus de purifier l’eau, l’ionisation peut également la charger en énergie. Certains affirment que l’eau ionisée a des propriétés énergisantes en raison de sa structure moléculaire modifiée, qui permet une meilleure absorption de l’eau par le corps. Cette eau chargée en énergie peut également aider à améliorer la digestion et l’hydratation.
Cependant, il est important de noter que les avantages de l’eau ionisée ne sont pas prouvés scientifiquement et sont sujets à débat. Certains professionnels de la santé estiment que l’eau ionisée peut avoir des effets secondaires indésirables, tels que des troubles digestifs ou des problèmes rénaux.
En conclusion, l’ionisation de l’eau peut être une méthode efficace pour purifier l’eau et la charger en énergie. Il est important toutefois de discuter avec un professionnel de la santé avant de décider d’utiliser de l’eau ionisée à des fins de santé.
BIOLUMINESCENCE… Retenez bien ce mot car vous risquez d’en entendre beaucoup parler dans les mois à venir.
Kézako ? Je ne vais rien vous dévoiler car j’ai eu l’immense privilège d’interviewer Rose-Marie Auclair, biologiste de formation. Avec son « partner in green », Ghislain, également biologiste, ils ont eu une idée tout simplement GÉNIALISSIME (et je pèse mes mots) : créer, en 2018, Woodlight, qui propose des plantes bioluminescentes pour faire rimer écologie et poésie.
Une solution basée sur les superpouvoirs de la nature pour offrir aux villes du monde entier une sobriété énergétique garantie, ainsi qu’un environnement dépolluant et poétique. Qu’on se le dise, avec ses plantes qui émettent leur propre lumière de manière autonome, Woodlight cultive la lumière de demain. Et ça, on adore !
Après avoir créé les premières cellules végétales bioluminescentes en France, Woodlight lance une campagne de financement participatif qui connaît un franc succès dans la seule optique de mettre sur le marché les premières plantes à émettre leur lumière de manière autonome. Rendez-vous pour cela en 2024, mais découvrons sans plus attendre les réponses de Rose-Marie à nos interrogations.
Rose-Marie, quelles sont les différences entre fluorescence, phosphorescence et luminescence ?
La bioluminescence, c’est tout simplement la production de lumière par des êtres vivants, tels que les lucioles, les méduses, certains champignons ou poissons.
Nous connaissons la fluorescence ou la phosphorescence, qui sont assez présentes dans notre quotidien, mais là où ces phénomènes impliquent un apport de lumière pour délivrer ensuite un éclairage, la bioluminescence, quant à elle, ne nécessite aucun apport lumineux.
Quels sont les avantages de la luminescence par rapport aux deux autres propriétés ?
La bioluminescence ne nécessite aucun apport lumineux, ce qui signifie que, dans un noir complet, elle continuera à émettre, sans limite de temps. Cette capacité unique aux êtres vivants offre la possibilité de rendre stables nos lumières, avec une pérennité sans égale.
Contrairement aux deux autres phénomènes, il n’y a donc pas de consommation électrique, pas d’ajout de molécules chimiques, et une recyclabilité à 100 % possible.
Comment a germé le concept de Woodlight ? En regardant Avatar ?
Avatar nous a confortés dans notre idée, en imageant ce que nous nous imaginions. Notre idée vient plutôt de voyages réalisés après nos doctorats respectifs. En nous promenant dans de grandes villes, nous avons ressenti ce besoin grandissant de verdure et de respiration dans un monde de béton et de gris. Apporter des plantes ne se fait pas de manière assez évidente aujourd’hui. Biologistes de formation, nous avons du coup pensé à la bioluminescence. En mêlant cette capacité extraordinaire d’animaux terrestres aux plantes, nous créons une lampe qui répond aux problématiques d’économie d’énergie des villes, tout en y ajoutant de la verdure et de la respiration dépolluante. Le projet était né.
Quelles ont été les différentes étapes depuis 2016 ?
En 2016, nous nous sommes formés à l’entrepreneuriat et avons testé l’idée via des concours de création de start-up. Ceux-ci confortant notre projet, en 2017, nous avons monté un second projet, cette fois de création de laboratoire, avec l’aide de l’université de Strasbourg et la ville de Strasbourg. Ensemble, nous avons fondé en 2018 le Biotech-Lab, le premier laboratoire de biotechnologie d’une université, ouvert à de jeunes startuppers scientifiques, dont les projets ne sont pas issus de la recherche académique. Cette même année, nous avons créé l’entreprise et avons concrétisé notre preuve de concept in vitro grâce à ce laboratoire. En 2019, nous avons été incubés et avons reçu de premiers financements pour notre société via différentes institutions. En 2020, la Covid-19 nous a beaucoup ralentis, avec notamment une fermeture partielle du laboratoire. En 2021, nous avons obtenu une preuve de concept in vivo, c’est-à-dire des premières cellules végétales luminescentes. Celles-ci nous ont permis de déposer un premier brevet sur notre technologie. En 2022, nous avons confirmé ces résultats et démarré un partenariat avec un industriel de la lumière. Dès le printemps de cette même année, nous avons entamé les démarches pour réaliser une levée de fonds. Démarches achevées en février 2023, avec l’octroi des financements nécessaires pour la suite : deux recrutements à venir en mars 2023 et des prototypes de plantes entières dès 2024.
Quels obstacles avez-vous rencontrés ?
La difficulté de ne pas avoir un projet issu de l’académie. Et donc l’impossibilité d’accès à certains financements de maturation délivrés par l’État pour les technologies deeptech.
Le fait de ne pas avoir un accès rapide et simple à un laboratoire pour effectuer notre première preuve de concept. Un grand merci à l’université et la ville de Strasbourg d’avoir entendu notre appel.
La prise de mauvais conseils et le manque de discernement parmi ceux qui vous veulent du bien, et ceux qui veulent votre projet.
Vous avez créé le premier Biotech-Lab de France au sein de l’université de Strasbourg. Quelques mots sur cette folle aventure ?
Monter le projet fut tout d’abord très intéressant : rencontrer l’université, différentes institutions en France et à l’étranger, convaincre la ville, trouver des financements, monter un cadre juridique…
Mais c’est surtout son ouverture qui fut exceptionnelle. Avoir la possibilité de donner accès à notre projet, bien sûr, mais aussi à d’autres projets pour simplement leur faire prendre vie était génial.
Par la suite, Ghislain est devenu le manager de ce laboratoire en parallèle de son activité pour Woodlight. Il a donc dû se former au secourisme de travail, à la prévention de laboratoire, à la gestion des stocks, trouver des dons de matériel, des financements, etc. Toute une aventure parallèle, qui n’a fait qu’accroître notre réseau et nos compétences.
Les plantes luminescentes n’existant pas dans la nature, à quelles transformations devront-elles être soumises pour émettre de la lumière ?
Il s’agit de leur transférer les capacités qui existent chez d’autres organismes pour qu’elles puissent produire de la lumière d’elles-mêmes. Elles seront donc capables d’elles-mêmes de faire de la bioluminescence.
Un fort développement de Woodlight pourrait-il nuire à biodiversité et fragiliser les écosystèmes ?
Les plantes bioluminescentes Woodlight sont imaginées et élaborées dans le plus grand respect de la nature et de l’humain. Elles ont pour buts premiers de dépolluer les villes et reconnecter leurs habitants à la nature en répondant au besoin d’éclairage, qui représente 15 % de la consommation d’énergie mondiale.
Ces plantes seront 100 % recyclables et seront rendues infertiles afin qu’elles ne puissent pas se multiplier et perturber les écosystèmes environnants. Néanmoins, leur culture sera facilitée et transmise afin de garantir leur accessibilité.
La modification génétique des plantes doit-elle ou non faire débat ?
Les débats sur ce sujet ont déjà eu lieu à maintes reprises ces 20 dernières années. En 20 ans, les technologies de biologie ont beaucoup évolué et, aujourd’hui, elles sont très précises et sûres. Les biotechnologies peuvent vraiment apporter une réponse au monde de demain, et ceci pour plein de problématiques que nous vivons actuellement. Ce n’est pas un débat qui doit avoir lieu, mais plutôt de plus grandes communication et transparence entre le monde de la recherche et le grand public. Simplement expliquer comment les choses sont faites. Aujourd’hui encore, les technologies, dans tous les domaines, paraissent souvent obscures car complexes et peu comprises. Nous pensons qu’une bonne communication et des explications permettraient de résoudre cela.
Quelle sera la première variété de plante dépolluante bioluminescente que vous allez développer ?
La première plante sera un plant de tabac. Les autres variétés ne sont pas encore définies, mais notre choix s’arrêtera bientôt.
Nous utilisons les plants de tabac car ce sont des plantes modèles à croissance rapide et que l’on sait bien cultiver en laboratoire. L’idée pour nous est de développer un prototype le plus rapidement possible.
Quand sera-t-elle en vente et à quelle fourchette de prix ?
Les premiers plants seront en vente fin 2024, début 2025. Ils ne seront pas accessibles au grand public mais plutôt à des entreprises spécialisées, notamment dans la décoration ou l’architecture. Pour le grand public, il faudra attendre encore quelques années, que Woodlight soit en mesure de proposer le produit le plus adapté à un marché de cette ampleur, et à des prix accessibles.
Les domaines d’application de la bioluminescence sont vastes. Quelles sont vos priorités vers les entreprises et vers les consommateurs ?
La priorité numéro 1 est la disposition du marché des entreprises de la décoration et du design pour une population haut de gamme. Cela car, d’une part, nos premières plantes seront les premières plantes bioluminescentes et intéresseront certaines personnes pour ce caractère particulier. D’autre part, grâce à ces ventes, nous pourrons réaliser un chiffre d’affaires qui rentabilisera nos années de développement.
Par la suite, nous ciblerons le marché professionnel de l’urbanisme, même si nous le développons en parallèle, afin d’apporter notre bioluminescence à nos villes.
Enfin, nous viendrons sur le marché des particuliers, qui nécessitera une capacité différente de Woodlight pour y répondre.
Le mot de la fin ?
Cette aventure extraordinaire, nous souhaitons la vivre ensemble, que chacun puisse y participer. D’où l’ouverture, cet hiver 2022-2023, à une campagne de financement participatif par de l’investissement, et qui a parfaitement montré l’intérêt du grand public pour cette solution d’avenir.
Nous nous sommes lancés dans ce projet parce qu’il répond aux problématiques humaines de manière claire, avancée et sans causer de nouvelles perturbations. Nous n’allons pas ajouter de la lumière, nous allons la remplacer et la complémenter.
Notre baseline correspond tout à fait à notre vision : « Ensemble, cultivons la lumière de demain. »
La respiration est une fonction vitale du corps humain, mais elle est souvent prise pour acquise. En effet, la qualité de l’air que nous respirons peut avoir un impact significatif sur notre santé et notre bien-être. Respirer dans un air sain est donc essentiel pour maintenir une bonne santé.
Malheureusement, l’air que nous respirons est souvent contaminé par des polluants, tels que les gaz d’échappement des voitures, les émissions industrielles, les produits chimiques et les particules en suspension. Ces polluants peuvent pénétrer dans nos poumons et entraîner des problèmes respiratoires, tels que l’asthme, la bronchite, les infections pulmonaires et même le cancer du poumon.
En outre, la qualité de l’air peut également avoir un impact sur notre santé mentale et émotionnelle. Les personnes qui respirent un air pollué peuvent souffrir de maux de tête, de fatigue, d’irritation des yeux et du nez, ainsi que d’autres symptômes désagréables qui peuvent avoir un impact sur leur bien-être général.
Il est donc essentiel de respirer dans un air sain pour maintenir une bonne santé. Pour ce faire, il est important de prendre des mesures pour réduire notre exposition aux polluants atmosphériques, notamment en utilisant des masques de protection respiratoire, en évitant les zones où la pollution de l’air est élevée, en améliorant la qualité de l’air intérieur de notre domicile et en adoptant des modes de transport plus propres, tels que le vélo ou les transports en commun.
En outre, les gouvernements et les industries peuvent également jouer un rôle important dans la protection de la qualité de l’air en mettant en œuvre des politiques environnementales plus strictes, en investissant dans des technologies plus propres et en adoptant des pratiques plus durables.
En conclusion, la qualité de l’air que nous respirons a un impact significatif sur notre santé et notre bien-être. Il est essentiel de prendre des mesures pour respirer dans un air sain, tant au niveau individuel que collectif, pour protéger notre santé et préserver notre environnement.
La qualité de l’air à l’intérieur des bâtiments est importante pour la santé et le bien-être des occupants. Cependant, de nombreux polluants peuvent se trouver dans l’air intérieur, tels que les particules fines, les composés organiques volatils (COV), le dioxyde de carbone et le monoxyde de carbone, qui peuvent être nocifs pour la santé.
La purification de l’air intérieur peut aider à réduire la quantité de polluants dans l’air et améliorer la qualité de l’air à l’intérieur. Les purificateurs d’air sont conçus pour filtrer l’air et éliminer les particules fines, les COV, les bactéries et les virus.
Les avantages de la purification de l’air intérieur sont nombreux. Voici quelques-uns des principaux bienfaits:
Réduction des allergies et de l’asthme: Les purificateurs d’air peuvent aider à réduire les allergènes tels que la poussière, les acariens et les pollens, ce qui peut réduire les symptômes d’allergies et d’asthme.
Amélioration de la qualité de sommeil: Un air plus purifié peut aider à améliorer la qualité du sommeil en réduisant les irritants qui peuvent perturber le sommeil, tels que la poussière et les pollens.
Réduction des odeurs: Les purificateurs d’air peuvent aider à éliminer les odeurs désagréables causées par les fumées de cuisson, les animaux domestiques, les produits chimiques, etc.
Amélioration de la santé mentale: La qualité de l’air intérieur peut affecter la santé mentale. Des études ont montré que les personnes travaillant dans un environnement avec un air purifié se sentent moins stressées et plus alertes.
Réduction de la propagation des maladies: Les purificateurs d’air peuvent aider à réduire la propagation des maladies en filtrant les particules et les micro-organismes transportés par l’air.
Il existe de nombreux types de purificateurs d’air sur le marché, chacun avec des caractéristiques et des capacités différentes. Il est important de choisir un purificateur d’air adapté à votre environnement pour obtenir les meilleurs résultats.
En conclusion, la purification de l’air intérieur est bénéfique pour la santé et le bien-être des occupants des bâtiments. Cela peut aider à réduire les allergies, à améliorer la qualité de sommeil, à réduire les odeurs, à améliorer la santé mentale et à réduire la propagation des maladies.
Dans une approche non violente de notre relation avec le monde et cherchant à nous offrir toujours plus de saveurs, Écoidées vient de sortir Vegahimsa : une nouvelle gamme singulièrement variée d’assaisonnements et de bouillons 100 % végétaux !
Saveurs crustacés, parmesan, fromage bleu, homard, crème de champignon, bœuf bourguignon, bacon, jambon ibérique, crème de truffe, gambas ou poulet grillé, la gamme d’assaisonnements et bouillons 100 % végétaux Vegahimsa offre d’étonnants bouquets à ajouter dans nos plats… et ce en moins d’une minute !
Il suffit de les saupoudrer ou de les cuisiner comme des épices. Le plus efficace est aussi de les mélanger simplement à une crème végétale.
En un instant : plats en sauce, veloutés, gratins ou risottos sont sublimés.
Ils ont d’ailleurs été plébiscités par les chefs et restaurateurs qui les ont découverts à l’édition 2023 du Shira, le salon international de la restauration, de l’hôtellerie et de l’alimentation.
Côté éthique, ahimsa signifie en français non-violence et respect de la vie.
Pierre-Alexandre Huber, lui-même végétarien depuis près de 30 ans, nous explique la signification profonde de sa nouvelle marque :
« VEGAHIMSA s’inscrit en toute cohérence dans les 3 axes qui définissent mon projet d’entreprise depuis le début de la création d’Écoidées : non-violence envers la Terre par l’agriculture biologique, non-violence envers notre prochain par le commerce équitable et non-violence envers les animaux par les alternatives végétales.
Avec VEGAHIMSA, tout est dit : on sait bien que l’alimentation végétale est une des réponses aux problèmes environnementaux et sanitaires de notre temps. Par contre, hors de question de se priver lorsque des alternatives existent, la notion de plaisir reste de mise ! Pourquoi s’abstenir des saveurs d’un bœuf bourguignon, d’une bisque de homard ou d’une sauce fromagère lorsque des alternatives végétales permettent de s’en régaler ? Je suis devenu végétarien après avoir regardé une émission sur le transport des animaux, qui m’a bouleversé. Pour autant, l’odeur d’un poulet grillé ou d’une merguez sur un barbecue continue de me faire saliver, chacun sa madeleine de Proust !
Les végans et végétariens ont une culture, une histoire, des références culinaires et c’est cela qui explique leur attrait pour des saveurs qui ne sont pas que celles du houmous ou du guacamole. VEGAHIMSA propose des saveurs intenses, des produits simples, faciles d’utilisation, certifiés bio et d’origine européenne, tant pour la cuisine de tous les jours que pour les menus de fête. Jubilatoire !
Depuis 20 ans, Écoidées a développé, imaginé, innové, lancé des produits qui sont aujourd’hui des “standards” des références bio dans les magasins spécialisés. 20 ans que nous créons des gammes de produits, 20 ans que, chaque année, nous ouvrons de nouvelles pistes. Finalement, 20 ans que nous sommes une start-up ! »
La saison du chocolat arrive à grand pas ! Pour Pâques, Les Jardins de Gaïa, Maison de thé bio et équitable, conjugue son savoir-faire à celui de la chocolaterie Bean to Bar, Cacao Expérience, et présente une tablette chocolat blanc au thé matcha bio.
Une tablette 100% bio, made in Alsace, qui soutient des valeurs éthiques et équitables. De quoi redonner du sens à ses achats de Pâques !
Composée de chocolat blanc, associé au prestigieux thé japonais en poudre et aux feuilles de sencha, la tablette offre un vrai voyage gustatif grâce l’équilibre parfait entre les saveurs fraîches et végétales du matcha et les saveurs onctueuses et lactées du chocolat. Une composition irrésistible qui fera saliver les amateurs de chocolat et de thé vert…
Derrière cette recette, c’est l’histoire de deux artisans passionnés qui partagent les mêmes valeurs de transparence, de qualité et d’éco-responsabilité. Tous deux avaient à cœur de proposer un produit gourmand, premium et qui sort de l’ordinaire pour savourer les fêtes pascales.
UNE TABLETTE CHOCOLAT BLANC AU THÉ MATCHA BIO
Cette tablette offre un vrai voyage gustatif grâce à l’équilibre parfait entre les saveurs fraîches et végétales du prestigieux thé vert japonais en poudre (matcha) et les saveurs onctueuses et lactées du chocolat blanc. Un mariage subtil entre thé et chocolat, agrémenté de feuilles de sencha qui lui procurent une texture légèrement croustillante.
UNE COMPOSITION TOUT SIMPLEMENT IRRÉSISTIBLE POUR SAVOURER LES FÊTES DE PÂQUES !
La tablette est précieusement enveloppée dans un étui illustré d’une cigogne, faisant écho à sa fabrication purement alsacienne. Un emballage qui participe à la dégustation en dévoilant à son ouverture une série d’informations sur le chocolat et le thé matcha présents dans la recette.
UNE FABRICATION ARTISANALE ET UN SOURCING IRRÉPROCHABLE
Parce qu’un bon chocolat commence par un bon cacao, Les Jardins de Gaïa se sont entourés de la chocolaterie Bean to Bar Cacao Expérience pour confectionner leur création pascale. Tous deux partagent les mêmes valeurs de transparence, d’éthique et d’éco-responsabilité et avaient à coeur de proposer un produit gourmand, premium et qui sort de l’ordinaire. Ainsi, les ingrédients sont issus de l’agriculture biologique, provenant de filières éthique et équitables, soigneusement sélectionnés pour leur qualité.
INFOS PRODUIT :
60 g net
100% des ingrédients issus de l’agriculture biologique
40% de beurre de cacao naturel pure origine Inde
4% thés verts matcha et sencha premium origine Japon
Chocolat blanc au thé matcha avec inclusion de feuille de Sencha premium. Le produit est en vente sur la boutique en ligne de Cacao Experience et de Jardins de Gaïa.
Malgré les rinçages après chaque lavage, les poils de brosses à dents accumulent et développent des bactéries qui seront nuisibles au biofilm buccal lors des lavages suivants. Au fil du temps, une prolifération bactériologique s’installe, liée au dentifrice, à la salive et au milieu humide de la salle de bains. Les filaments se courbent et ce n’est plus la pointe de ceux-ci qui brosse, mais les flancs, ce qui réduit l’efficacité du brossage. En cas de gencives déjà sensibles ou irritées, il est par ailleurs essentiel de renouveler fréquemment la brosse à dents afin que les bactéries de celle-ci n’aggravent pas la fragilité des gencives. Le problème… l’impact écologique démesuré que cela engendre !
La solution ? Des brosses à dents à tête interchangeable
La marque made in France Bioseptyl propose des brosses à dents à base de liège français, de lin français ou encore de coquilles de Saint-Jacques recyclées – avec tête interchangeable – permettant de renouveler seulement 20 % de la brosse.
Les manches de ces brosses à dents sont confectionnés à partir de matières premières respectueuses de l’environnement et entièrement recyclables. Il suffit de choisir dans quelle matière vous souhaitez que le manche de votre brosse à dents soit fait.
Le + :
La tête interchangeable peut être recyclée en intégralité : vous pouvez la déposer dans votre bac de tri, dans une boîte de collecte disponible dans plusieurs magasins bio partenaires ou l’envoyer par enveloppe postale directement sur le site de production Bioseptyl.
Yarrah est fier de développer des aliments savoureux et de qualité pour les chiens et chats, tout en respectant la nature. Pour eux, le biologique est un choix naturel.
Ils s’adressent aux amis des animaux qui veulent faire un choix conscient, tout comme chez Yarrah. La santé de votre compagnon à quatre pattes est leur priorité absolue. C’est pourquoi Yarrah veille à la qualité et à la durabilité de leurs ingrédients et de leurs recettes.
Ils sont engagés dans le monde dans lequel nous vivons. Yarrah est conscient de notre responsabilité envers l’homme, l’animal et la planète. Ils sont fiers de leur transparence et de leur sincérité. Ils font les bons choix, sans compromis, même s’ils ne sont pas toujours faciles. Comment tout a commencé L’histoire de Yarrah remonte à 1992. Le propriétaire de Dano, un bouvier bernois, voulait mieux pour son chien que les aliments ordinaires disponibles dans les magasins. Comme il achetait des produits biologiques sains pour lui-même, il a souhaité faire de même pour son chien. C’est ainsi qu’il a commencé à préparer lui-même des repas biologiques pour animaux.
Le temps a passé et Yarrah est aujourd’hui leader sur le marché des aliments biologiques pour chiens et chats, avec des produits disponibles dans plus de 28 pays à travers le monde! La gamme Yarrah propose des croquettes, des aliments humides et des friandises pour chiens et chats, ainsi que de la litière biologique pour chats.
Connaissez-vous la formule préférée d’un grand nombre de jeûneurs ? Le jeûne avec apport de nutriments sous forme de jus de fruits ou de légumes, de bouillons. Cette pratique est encouragée en France par la Fédération Francophone de Jeûne et Randonnée (FFJR). Découvrez plusieurs raisons de choisir un jeûne encadré par la FFJR.
1. Respecter son corps
Dans les centres certifiés FFJR, on jeûne pendant une semaine et on randonne 2 à 5 heures par jour ! Incroyable ? C’est pourtant une méthode pratiquée et approuvée par plus de 14 000 Français par an. Une efficacité possible parce qu’on vous propose un jeûne accompagné de jus de fruits, de tisanes, de jus de légumes et de bouillons. C’est le jeûne dit Buchinger, du nom du docteur Otto Buchinger, médecin allemand ayant initié cette pratique il y a 100 ans. Cet apport calorique léger vous procure l’énergie nécessaire pour partir en randonnée tous les jours, vous nourrir de la beauté de la nature et entretenir vos muscles. Idéal pour une détox et un ressourcement en profondeur et en douceur.
Le centre Un jeûne Zen
Le centre A Muvrella Corsica
2. Être guidé et bien accompagné
Tous les centres FFJR s’adressent à des adultes en bonne santé, mais cela reste une expérience intense et parfois inédite pour le corps. C’est pour cette raison que, depuis plus de 30 ans, le rôle de la FFJR est d’accompagner chaque jeûneur avec professionnalisme et bienveillance tout au long de son séjour. Tous les organisateurs certifiés FFJR :
sont formés et ont acquis toutes les connaissances et compétences nécessaires pour encadrer des séjours Jeûne et Randonnée ;
ont une grande expérience du jeûne et le pratiquent régulièrement ;
agissent par conviction et ont à cœur de partager et faire découvrir cette pratique.
Les organisateurs certifiés FFJR vous guident pas à pas, à votre rythme, organisent des conférences du soir, des moments d’échange entre participants, invitent des intervenants extérieurs… Ces temps de rencontre et de partage sont au cœur des séjours.
3. Trouver le lieu qui correspond à ses envies
120 centres certifiés FFJR, c’est la possibilité de trouver votre jeûne idéal, en fonction de vos préférences. 200 destinations au choix, partout en France (Côte d’Azur, Bretagne, Pyrénées, Paris…) ou même Québec, Laponie, Rio, Martinique ! Chaque centre organise des activités complémentaires à la pratique de Jeûne et Randonnée, parmi lesquelles la méditation, le yoga, l’équithérapie, la danse, la peinture, des randonnées plus sportives, des visites culturelles… Vous avez aussi le choix du niveau de prestation : du confort luxueux avec spa aux hébergements les plus simples, voire insolites si vous avez l’âme d’un aventurier… Autrement dit, il y en a pour tous les goûts…
Pour préparer le corps à entrer dans la période printanière, il est bon de détoxifier l’organisme en profondeur afin de retirer les toxines accumulées pendant l’hiver.
Particulièrement intéressant lors de changements de saison, le jeûne est une pratique visant à régénérer et revitaliser le corps dans son entier (ici l’expertise du jeûne par le Dr Jean-Pierre Willem). Il préviendrait nombre de maux, parmi lesquels le surpoids, la fatigue chronique, les maladies cardiovasculaires, l’hypertension, les allergies… Mais sa pratique nécessite de prendre quelques précautions.
Vous avez envie de vous faire cocooner pendant que vous jeûnez ? Vitalem associe les bienfaits du jeûne à ceux de la Thalassothérapie. De quoi se ressourcer tout en offrant un « reset » salutaire à son organisme!
Et, bien sûr, retrouvez également nos recettes détox pour faire le plein d’énergie : tisanes, gaspacho, smoothie, jus, etc.
Selon le Dr Hiromi Shinya, gastro-entérologue : L'eau Kangen est considérée comme la meilleure eau au monde pour ses qualités sur le plan de l'hydratation […]
Nov 3, 17:35