ÉVÉNEMENT DU PRINTEMPS EN PARTENARIAT AVEC L’ÉCOLOMAG
Conférence exceptionnelle
du Dr Jean-Pierre Willem
Préserver naturellement sa santé face aux différentes pollutions
Jeudi 13 avril 2017 – 19h00 > 22h00 Espace Reuilly Paris 12e – 21 rue Antoine-Julien Hénard – Métro Montgallet
À l’occasion de la sortie de son nouveau livre Pollutions et santé – Faire face à toutes les pollutions et les enrayer, aux éditions Dangles, le Dr Jean-Pierre Willem animera une conférence exceptionnelle sur les différents types de pollutions auxquelles nous devons désormais parer et qui sont à l’origine de la plupart de nos problèmes de santé. Il s’appuiera pour cela sur sa longue expérience de médecin et sur ses connaissances dans le domaine de solutions de santé naturelles. Le Dr Jean-Pierre Willem, médecin et chirurgien, est fondateur de l’association humanitaire Les Médecins aux Pieds Nus, dont il est le président. Diplômé en épidémiologie du sida et en anthropologie médicale, il est l’un des pionniers de la réanimation en ville à l’origine du SAMU (Algérie, 1961) et l’initiateur du concept d’ethnomédecine, synthèse entre la médecine occidentale et les thérapeutiques traditionnelles et naturelles de différents pays. Créateur et Président de la Faculté Libre de Médecines Naturelles et d’Ethnomédecine (FLMNE), il a été l’un des derniers assistants du Dr Albert Schweitzer, en 1964, à Lambaréné au Gabon, et participe toujours à de très nombreuses missions humanitaires.
Pollutions et santé
Préface du Docteur Willem
Un nouveau concept médical, à savoir le « paradigme environnementaliste », surgit aujourd’hui suite à l’omniprésence de ces pollutions qui assaillent notre monde industrialisé. L’intoxication environnementale est généralisée et contamine tous nos organismes.
Les principaux ennemis de la planète – pesticides, nitrates, nanoparticules, métaux lourds, hormones, antibiotiques, additifs de synthèse, OGM, élevage intensif, exploitations hors-sol et mondialisation de la production alimentaire – portent préjudice à la qualité de l’air, à la vitalité des sols, à la disponibilité et à la salubrité de l’eau, à la biodiversité et au climat, et, par ricochet, nous affectent.
L’homme empoisonné, c’est chacun d’entre nous qui souffre de mille pollutions. Notre corps doit aujourd’hui combattre sur tous les fronts : pollution de l’eau et de l’air, toxines, aliments appauvris, tabac, alcool, tranquillisants, etc.
Jamais, dans l’histoire de l’humanité, nous n’avons tant exposé notre organisme à un si vaste déluge d’agressions. La plupart des maladies contemporaines n’existaient pas il y a un siècle !
L’alimentation moderne est à mettre au pilori dès lors qu’elle s’éloigne de l’alimentation ancestrale et naturelle, pour laquelle notre organisme semble avoir été programmé. Les dénaturations subies par nos aliments sont nombreuses et variées.
Au nom du sacro-saint rendement, les volailles et les animaux de boucherie reçoivent trop souvent :
– des médicaments, dont beaucoup sont des molécules de synthèse n’existant pas dans la nature ;
– des hormones pour les faire grossir ;
– des antibiotiques, qui accélèrent leur croissance ;
– des tranquillisants, administrés avant l’abattage pour diminuer le stress qui fait noircir la viande de boucherie et altère son goût.
Nous vivons dans un environnement chimique : des milliers de produits métallo-chimiques baignent notre quotidien. Des sources de pollutions diverses encrassent l’organisme en permanence par différentes infiltrations. Et, le plus terrible, c’est que nous nous polluons principalement en respirant, en mangeant et en nous soignant.
– Nous nous imprégnons de métaux toxiques en inhalant les gaz d’échappement des automobiles et camions, les émissions aériennes des processus industriels résultant de la combustion du pétrole, du charbon, des végétaux, les émanations des incinérateurs, des déchets miniers et industriels…
– Nous ingérons des toxines en mangeant des aliments contaminés, résultat des pratiques agroalimentaires modernes stimulantes à l’excès par l’utilisation à long terme de composés chimiques destinés à la protection des plantes. Ce qui a mené à l’explosion des quantités de cuivre, de mercure, de cadmium et de plomb dans les sols et les cours d’eau, souillant les aliments. Il n’existe plus de poisson sans mercure, de pain sans cadmium, plomb et mycotoxines, de pâtes sans aluminium, de café sans cuivre, de lait et de fromage sans plomb… On ne trouve plus de frites sans mycotoxines ni beaucoup d’acrylamides (principe cancérigène), ni de vin (même bio) sans sulfites… Nous nous infestons de toxiques en buvant des jus de fruits, de l’eau dans des bouteilles en plastique, en récurant notre vaisselle et notre domicile, en cuisant au micro-ondes, en lavant notre linge… Sans oublier l’irradiation des aliments : stériliser les aliments est devenu une obsession. Cette technologie génère des effets néfastes : elle détruit les vitamines, transforme des nitrates inoffensifs en nitrates et nitrosamines cancérigènes.
– Nous empoisonnons notre organisme avec des métaux lourds et des nanoparticules en nous traitant préventivement par les vaccins – dont les adjuvants contiennent du mercure et/ou de l’aluminium – ou en subissant depuis des générations l’obturation des caries par des amalgames dentaires contenant du mercure et de l’argent, en consommant certains médicaments… Des nanoparticules de la taille de l’ADN sont présentes dans les chewing-gums, les dentifrices…
Il est impossible de dresser le catalogue de tout ce qui peut agir sur la santé d’un individu au cours de sa vie. Toutefois, il serait bon d’insister sur le danger des pollutions cachées, méconnues, et de celles que nous engendrons quotidiennement sans le savoir.
Il reste à dépolluer
Que reste-t-il, me direz-vous, pour bien vivre ? Nousmême, à condition que notre esprit ne soit pas lui aussi pollué. Mais est-il possible d’être indemne alors que tout, ou presque, est contaminé ?
Toutes ces pollutions créent un encrassage de nos organismes. Personne n’y échappe.
En premier lieu, il s’agit d’éliminer les toxines qui encombrent nos émonctoires que sont les intestins, les reins, le foie, les voies respiratoires et la peau.
Le plus important de ces filtres est l’intestin. C’est la première des 5 barrières qui protègent notre organisme. La flore intestinale recèle 70 % du système immunitaire total du corps qui implique à la fois l’immunité humorale par les lymphocytes B et l’immunité cellulaire par les lymphocytes T.
La médecine de terrain dispose d’une vaste gamme de remèdes naturels pour « libérer » l’ensemble de nos émonctoires.
Il s’agit aussi, outre l’élimination des toxines, d’oxygéner l’ensemble de nos tissus. Pour cela, nous faisons appel au Bol d’air Jacquier® et à l’eau Kaqun super-oxygénante.
La célèbre plante ginkgo biloba nous permettra de réactiver la microcirculation et de neutraliser les radicaux libres qui accompagnent notre processus métabolique.
Contrairement à un régime ou à une cure, l’alimentation vivante, vécue au quotidien, est un mode alimentaire non restrictif, d’une forte densité nutritionnelle, dans lequel il n’est pas question de se priver du moindre nutriment, bien au contraire ; elle véhicule une multitude de substances de qualité, facilement assimilables par notre organisme. Ses effets bénéfiques sur la santé en découlent naturellement. La phase préliminaire de détoxination (élimination des toxines) inhérente à un changement radical d’alimentation implique toujours un drainage.
Il est particulièrement important de maintenir alors une activité physique pour éviter une fonte musculaire.
Réservation des places
sur le site billetweb.fr/dr-willem
Tarif préférentiel de 18 € pour les lecteurs
de L’ÉCOLOMAG (au lieu de 25 €)
Avec le code ECOLOMAG