Tout d’abord, un sourire, s’il est sincère, évoque une relation bienveillante, uneouverture propice au positif, à l’enthousiasme, à l’engagement, à la relation…Le sourire est la base du bonjour et pour vivre une émotion de belle qualité ;notre visage, nos mains, notre attitude, notre faciès sont les premières chosesque l’autre voit, perçoit et qui invitent au dialogue et à échanger de manièredétendue puisque le sourire est bien là !
La vie est belle lorsque l’on veut bien la regarder de façon positive ; on peut se dire que tout est affreux, difficile et contraignant au regard des actualités, de la conjoncture et des statistiques effrayantes, comme si la vie était une charge, un devoir, un sacerdoce… On peut aussi se dire et regarder les choses de façon plus optimiste, soit que le verre est bien à moitié plein et non à moitié vide, et se dire wouhaouuuu, il me reste tout ça ! Garder cette idée que nous avons tous un potentiel énergétique à exploiter et une capacité à créer, imaginer et visualiser notre vie et notre futur. Notre pensée est créatrice et nous sommes acteurs de notre vie, même si, dans les grandes lignes, notre karma nous mène à notre mission première, celle que notre âme a choisi de vivre incarnée ici, là et maintenant… Dans cette vie-ci.
Ce regard sur la vie doit être lumineux, clair et optimiste pour, en effet, sourire à la beauté de la vie ; et comme notre regard est le reflet de notre âme, notre moi supérieur, celui qui fait que nous sommes tous différents, particuliers et uniques, nous nous devons de l’entretenir par des émotions positives et légères, contrairement aux émotions lourdes, pesantes et soumises aux vibrations à basses fréquences, telles que la peur, la suspicion, la jalousie, la haine, la rancoeur…
C’est là qu’intervient l’énergie vibratoiredes fleurs de Bach et élixirs floraux, carcette énergie bien spécifique et naturelledes végétaux peut aider à inverser desémotions vécues en négatif pour les vivreen positif ; c’est-à-dire vous montrer le cheminde votre potentiel à créer « la meilleureversion de vous-même ».
Avec les fleurs de Bach, nous pouvons travailler nos blocages, nos pensées limitantes, nos schémas erronés ou répétitifs, nos croyances et développer notre capacité à avoir confiance en nous lorsque cela n’est pas le cas, notre optimisme lorsque nous sommes abattus et déprimés, notre force lorsque nous sommes fatigués et à bout de souffle, stressés et inaptes.
Une bonne mise à plat lors d’une séance de florithérapie des éléments qui composent votre vie, des événements et traumas passés et/ou présents qui vous bloquent et vous freinent dans votre élan, et le tour est joué afin de choisir le bon mélange d’élixirs ; celui qui vous soutiendra dans ces moments difficiles et facilitera la remontée vers de meilleurs auspices en conscience de vos urgences et besoins émotionnels.
Pour l’optimisme, je préconise souventWillow, la fleur du destin, pour ne plus se positionner en victime mais acteur de votre vie, reprendre les rennes et vous conduire selon votre petite voix intérieure vers vos choix…
La fleur de l’intuition, Cerato, sera aussi d’un grand soutien pour ce faire car il n’y a que vous qui sachiez ce qui est bon pour vous. N’est-ce pas ??
Gorse, la fleur de l’espoir, pour ceux qui pensent que rien ni personne ne peut les aider, pour aller de l’avant et savoir faire face aux difficultés avec conviction et non se résigner au pire.
La Gentian lorsque le découragement sefait sentir et que les choses n’avancent pas assez vite ou connaissent des entraves, des contrariétés… Aide à rebondir et persévérer avec courage…
Mustard, la fleur de la joie, pour effacer les moments de tristesse qui surviennent sans raison apparente et sans prévenir !
La peur tétanise souvent : ne dit-on pas « je suis pétrifié de peur, mortifié de peur » ! La pire des émotions s’appelle bien LA PEUR, et, pour la vaincre, nous avons besoin de courage, de force, d’énergie, de la comprendre, de la disséquer pour la réduire à néant. La peur trouve souvent sa racine dans l’enfance, dans son vécu ou dans ses croyances ; elle freine ainsi notre foi en nousmême pour avancer et vivre en souriant car la peur nous fait plutôt pleurer.
Le Dr Bach a déterminé 5 fleurs pour la famille d’émotions des peurs : Red chestnut,le marronnier rouge, pour la peur excessive vis-à-vis de ses proches ; Mimulus pourles peurs des choses connues, la timidité, le manque de courage ; Aspen, le tremble,pour les peurs indéterminées, incorporelles et diffuses ; Rock Rose, l’hélianthème, qui apaise rapidement, pour les peurs paniques et paralysantes, celles que l’on ressent physiquement comme les tremblements, spasmes, le souffle coupé, les rougeurs et coups de chaud ; Cherry plum, le pruniermyrobolan, pour la peur de la perte decontrôle émotionnel, véritable solution pour retrouver le calme intérieur face aux coups de gueule et pétage de plombs… Avec les élixirs floraux Deva, certains élixirs comme l’Angélique lorsqu’il est question de vie ou de mort, élixir « du seuil », le Nénuphar blanc lorsquela peur touche le domaine financier, leMillepertuis lorsque les personnes sontvulnérables aux influences psychiques extérieures comme l’entrée dans l’hiver, leTrèfle rouge pour les périodes de pandémie comme celle que nous traversons en ce moment, etc.
Voyez à quel point la nature vue par Bach nous offre tant de solutions énergétiques bienfaitrices pour pallier toutes vos souffrances diverses et variées ! Poser vos mots sur vos maux lors d’une séance de florithérapie, prendre le temps de le faire comme pour vous offrir un « moment privilégié, un moment ressource » afin de retrouver la vie belle !
C’est ce que je vous propose selon vos besoins ; une cure de fleurs de Bach se prend sous forme de quelques gouttes ingérées directement dans la bouche ou dans un verre d’eau ou autre liquide, à raison de 4 fois par jour réparties du réveil au coucher, ou même plus si nécessaire, car sans risque aucun de surdosage, accoutumance ni effet secondaire. Des rêves un peu abracadabrants sont possibles, ils représentent l’effet d’un grand nettoyage, une sorte de purification, débarrassage des choses erronées dont vous n’avez plus besoin.
Que du bonheur et de la joie retrouvés… exprimés par votre si beau sourire, celui qui vient de l’intérieur…
Isabelle Bourdeau – Florithérapeute,en présentiel et distanciel Cabinet L’Apogée de Soi – 06 814 614 86 Chaine YouTube : Isabelle Bourdeau Florithérapeute et pluswww.lapogeedesoi.fr www.médoucine.com
Que ce soit pour booster notre taux de sérotonine, réguler notre stress ou soulager les maux detête, les plantes n’ont pas leur pareil pour nous permettre de nous sentir mieux, tout naturellement.
Booster notre sérotonineavec le ginkgo et le griffonia
Savez-vous que la sérotonine est impliquée dans de nombreux processus concernant notre santé ? Elle a en effet un rôle proche de celui des hormones. Elle agit sur le système nerveux central et induit différentes actions, notamment dans la régulation de certains comportements, comme l’humeur, le comportement social, le sommeil, l’appétit, la digestion, la mémoire et le désir sexuel.
C’est pourquoi on l’appelle couramment l’hormone du bonheur, lorsqu’elle est à un taux équilibré. Elle est synthétisée par les neurones à partir d’un acide aminé – le tryptophane –, fourni par l’alimentation, et participe à la constitution des protéines de l’organisme. Elle régule l’anxiété et le stress, canalise le comportement alimentaire et normalise le cycle veille-sommeil.
Deux plantes sont idéalespour stimuler notre productionde sérotonine :
Le ginkgo (Ginkgo biloba)
Originaire du sud-est de la Chine, le ginkgo biloba est le dernier représentant connu de la famille des Gingkoacées. Il est surnommé « arbre aux quarante écus », « abricotier d’argent » ou « fossile vivant ».
Source de ginkgolides et de bilobalides, les feuilles de cet arbre sont réputées pour être neuroprotectrices. Elles aident à préserver les fonctions cognitives, tout en favorisant la circulation cérébrale.
Le griffonia (Griffonia simplicifolia)
De la famille des Fabaceae, le griffonia est une plante grimpante originaire de l’Afrique de l’Ouest et de l’Afrique centrale.
Ses graines sont riches en 5-HTP (5-hydroxytryptophane), un acide aminé précurseur de la sérotonine, neurotransmetteur régulateur de l’humeur, de la cognition et du stress, tout en participant au bon équilibre nerveux.
C’est pour cette raison que les Laboratoires Phytoceutic ont imaginé un complément alimentaire contenant à la fois du ginkgo et du griffonia, titré à 30 % en 5-HTP pur et naturel (cela représente 75 mg de 5-HTP pour 2 gélules).
Atténuer le stresset adoucir l’humeur
Savez-vous qu’1 adulte sur 20 souffre de céphalées? Celles-ci sont souvent liées au stress, à la fatigue et à l’anxiété.
Pour chasser les tensions cérébrales, modérer et prévenir les maux de tête, trois plantes se révèlent particulièrement intéressantes :
La grande camomille(Tanacetum partheniumL.), source de parthénolides, a une action antalgique et anti-inflammatoire, antispasmodique des muscles lisses entourant les vaisseaux. Elle soutient par ailleurs le bienêtre cérébral, et prend part à l’atténuation des tensions nerveuses lors de maux de tête.
La lavande vraie(Lavandula angustifoliaP. Mill.) concourt à la relaxation et à l’apaisement.
La reine des prés(Filipendula ulmaria L.), source d’acide salicylique, est la plante antidouleur par excellence.
Treedom dévoile les 5 bonnes résolutions écolos 2022
qui font du bien à la planète
Chaque année, c’est pareil ! Quand arrive la nouvelle année, chacun y va de ses bonnes résolutions, santé, travail, psycho… mais passés 15 jours, elles sont souvent vite oubliées. Alors cette année, c’est en matière d’écologie qu’on ne fera pas l’impasse. Car notre planète a besoin d’un coup de pouce pour aller mieux. Beaucoup reste encore à faire pour changer nos mentalités et habitudes de consommation, c’est pourquoi Treedom suggère quelques actions faciles à mettre pour respecter l’environnement… et être fiers d’avoir tenu – enfin – nos résolutions !
On stop le gaspi… alimentaire
Parce que c’est déjà le premier point sur lequel on peut agir facilement et dans tous les domaines. En réduisant le gaspillage alimentaire tout d’abord (n’acheter que ce dont on a besoin et pas plus permet de lutter efficacement contre le changement climatique. Quand on sait qu’en France une personne gaspille chaque année en moyenne près de 29kg de nourriture, un peu de vigilance nous permettrait de nous rapprocher de l’éco-responsabilité.
On favorise les transports écologiques
À l’heure où la planète se réchauffe de plus en plus vite, notamment sous l’effet des gaz à effet de serre, il devient très urgent de basculer vers un transport écologique. De nombreux moyens existent et nous permettent de les utiliser différemment selon les distances que nous devons parcourir. Alors entre le vélo, notre allié écolo pour des distances de proximité ou le vélo électrique, les transports en commun, le covoiturage ou encore l’acquisition d’une voiture électrique, il est facile aujourd’hui de trouver un moyen de transport adapté à nos besoins. Et en plus, c’est bon pour nos gambettes !
Bienvenus les produits de seconde main
Une autre action, simple et ludique, est aussi facile à mettre en place : changer notre façon de consommer. En effet, en surfant sur la vague des objets de seconde main comme les vêtements, les sacs, les jouets, les livres… on réduit ainsi notre impact carbone ! De bonnes habitudes à prendre dès le plus jeune âge car vous pouvez demander à vos enfants de participer en triant leurs jeux ou leurs habits eux-mêmes !
Priorité au local… qui ne coûte pas plus cher
Acheter et consommer des produits locaux nous permet de choisir des produits de qualité, bio, sans pesticide, de faire travailler des producteurs locaux. Cela permet, également, de bénéficier de légumes de saison, composés de vitamines et de nutriments essentiels, bien meilleurs pour notre santé. De plus, leurs produits n’ont pas traversé la planète en avion ou bâteau, ce qui limite la pollution et l’impact carbone. Enfin, participer à l’économie locale c’est aider vos voisins en rendant visite à vos commerçants de quartier.
Exit les fleurs coupées… on offre des arbres !
Cette année, c’est décidé, on arrête le gâchis et on offre des arbres ! On arrête d’offrir aux fêtes, anniversaires et autres occasions, des fleurs coupées. Ces bouquets sont certes magnifiques, mais c’est un désastre pour la planète. Entre engrais chimiques et pesticides utilisés pour les faire pousser, le transport nécessaire puisque la plupart viennent de l’autre bout de la planète… l’impact environnemental est énorme. Alors on change nos habitudes dès maintenant et on s’y tient : désormais on offre des arbres ! C’est un geste moderne et respectueux de l’environnement qui retiendra à coup sûr l’attention de celui ou celle qui le recevra.
En 2022, plus question de fainéantiser avec l’écologie ! On change ses habitudes, on consomme mieux et on devient… responsable !
Ce jeudi 16 décembre, Patagonia a dévoilé sur Youtube son tout nouveau court métrage : Vanishing Lines. Tourné avec ses ambassadeurs Lena Stoffel, ex-skieuse de freeride et désormais freestyleuse, et Mitch Tölderer, snowboardeur de freeride,ce film de 18 minutes est un coup de projecteur sur la lutte qui s’installe contre le projet d’aménagement du glacier du Pitzal, dans le Tyrol Autrichien. Activiste depuis ses débuts en 1972, Patagonia se positionnecontre l’ambition débordante de promoteurs immobiliers qui misent sur un tourisme de haute montagne intensif plutôt que responsable.
Avec 25 000 km de pistes skiables cumulées (soit l’équivalent d’un aller-retour entre Hawaï et Insbrück), les Alpes sont déjà le massif de montagnes le plus industrialisé du monde. S’il venait à se concrétiser, le projet de relier les stations du Pitzal à Ötzal détruirait l’équivalent de 116 terrains de football d’espaces naturels vierges, dont une majorité se trouve sur le glacier. “Une fois que cette destruction aura eu lieu, cette zone alpine naturelle sera perdue à jamais : perdue pour la nature, pour nous et pour les prochaines générations.” s’inquiète Mitch Tölderer. Vanishing Lines, à travers cet exemple local, est aussi un message d’alerte pour les nombreux autres projets d’aménagement de haute montagne à travers le monde : il faut impérativement protéger ces espaces naturels avant qu’il ne soit trop tard.
Vanishing Lines rend hommage au mouvement qui s’est organisé pour protéger ce qui peut encore l’être. “Notre vie quotidienne est de plus en plus organisée et mécanisée. Cela conduit à un désir de plus en plus fort de nature vierge, ce qui est au cœur de notre mouvement et de ce film majeur” soutient Dr. Gerd Estermann de l‘ONG Bürgerinitiative Feldring.
Les projets immobiliers d’extension d’infrastructures liées au tourisme de haute montagne n’obéissent à aucune logique environnementale et ne sont que le fruit d’une réflexion industrielle, loin d’un tourisme durable pourtant possible et plébiscité par les jeunes générations. Vanishing Lines illustre une fois de plus l’activisme de Patagonia en matière d’engagement responsable.
Nos arbres de vie sont longs et riches en événements. Ce sont des histoires personnelles, desrouleaux de film qui n’engagent que nous. Nous sommes le fruit de tout cela : une enfance, uneéducation, des expériences, des failles, des fêlures, des ratés, des omissions. Des échecs, desdrames, voire des tragédies, parfois. Ça, c’est bien sûr quand on voit le « verre à moitié vide » !
par Fériel Berraies Thérapeute, sophrologue, chercheuse en sciences sociales
Mais ce que nous avons vécu n’est pas immuable, il ne doit pas nous définir à l’infini. Ce n’est pas une fatalité, c’est le passage nécessaire vers un meilleur ailleurs, un meilleur soi, une meilleure vie à construire.
Parce que la vie est et doit être ce que l’on en fait. Elle nous apporte autant qu’elle emporte bien des choses sur son passage. À nous seul de décider de subir sans se battre ou pas. Il n’en tient qu’à nous de savoir tirer un apprentissage, même de ce qui peut paraître injuste, insurmontable, terrible ou intolérable. Et ce siècle que nous vivons a amené son lot de tragédies pré- et post-Covid.
Nous ne sommes pas nos douleurs, nous ne sommes pas nos échecs. Nous ne sommes pas un passé. Nous sommes le lien du passé vers un meilleur devenir.
Après avoir été spectateur, redeveniracteur !
Nos histoires passées ne sont pas un conditionnement à l’infini. Et pour cela, il faut accepter de regarder son miroir intérieur, même si cela fait hyper mal. Sans lunettes déformantes, sans victimisation, et sans se voiler la face. Ne pas rester sur la peur et se réfugier dans notre zone de confort où le syndrome de l’évitement aurait une place royale. Car cela serait le corollaire du sauvetage de notre âme blessée ou tourmentée.
L’enfer n’est pas les autres, l’enfer est bien souvent nous. Parce que nous nous nourrissons de nos névroses, alimentées par cette impression de ne pas être à sa place ou d’être inapte dans une situation de vie donnée.
Entre fatalisme, conditionnement,déterminisme et libre-arbitre,comment opérer le déclic ?
La peur peut éviter le danger, mais elle est dangereuse car elle nous conforte dans la couardise et cette zone de confort qui nous empêche d’explorer le mieux.
Il est important de ne pas rester sur l’échec ou la douleur. De ne pas rester dans la peur d’avancer de crainte de reproduire les mêmes schémas, quitte à devenir des névrosés de la vie.
Alors, sans angélisme ni hyper-optimisme, tout en restant dans la réalité objective, même si tout n’est pas prédéterminé, nous pouvons aussi influer sur la qualité de notre vie, pour la rendre plus belle.
Et si on voyait la vie en rose ?!
Toute réalité objective digne de ce nom vous dira qu’il faut aussi comptabiliser nos bienfaits. Toutes ces belles choses que nous avons réussies, qui nous ont construits ; car nous sommes aussi des réussites, des avancées, des acquis, des revanches, des tremplins. Et il suffit d’y croire !
RÉSILIENCE quand tu nous tiens
Décider de guérir et avancer, c’est avant tout une histoire personnelle. Un genre de déclic improvisé que nous ne décidons pas toujours de façon consciente, mais qui est crucial pour opérer le changement.
Il faut bien sûr faire un deal avec son conscient et son inconscient et savoir respecter certaines étapes : S’accepter tel que nous sommes S’accueillir avec bienveillance Lâcher prise de ce qui est douloureux etstérile Savoir rebondir pour passer à autre chose Et surtout tirer une leçon positive de ce quia été une épreuve
La résilience résume toutes ces étapes. Venant du latin resilire (« sauter vers l’arrière », le fait de reculer pour mieux sauter), elle signifie l’aptitude à rebondir. La résilience est autant physique que psychologique. Ce terme médical a été médiatisé par le neuropsychiatre Boris Cyrulnik, puis repris et vulgarisé dans notre langage commun.
Un voyage personnel et solitaire
Tout dépendra de notre arbre de vie émotionnel et de la sévérité de l’effraction psychique que nous avons subie.
Nous pouvons tous guérir si nousle voulons ou pouvons de façonconsciente… à quelques exceptionsprès.
La résilience existe en chacun de nous. C’est une stratégie qui nous permet de faire face aux épreuves. Elle est présente tant chez l’humain que l’animal.
Mais elle n’est pas innée pour autant, qualifiable ni quantifiable. La résilience n’est pas un coup de baguette magique. Même si l’on pense à dessein que la ressource est en nous et pas que chez le thérapeute ; quand on est face à un trauma violent, c’est plus compliqué.
Les repères ne sont pas les mêmes avec un trauma.
Beaucoup d’études sur le sujet renvoient à l’idée que, malgré les épreuves, il est possible de concevoir la reprise d’un nouveau développement de l’humain. Boris Cyrulnik a démontré le premier que même en étant un rescapé de la Shoah, on peut s’en sortir et prendre les choses « positivement ».
Bien sûr, cela a provoqué un tollé chez certains survivants ou rescapés tant l’horreur qui a été vécue est innommable. Pourtant, certains s’en sont sortis, dont Boris Cyrulnik…
Casser la spirale infernale de la douleurest une question de survie.
La facilité serait de se laisser aller,de se noyer dans la douleur et dene jamais se relever.
Pourtant, cela reste une fenêtre d’espoir de guérison qu’il ne faut pas négliger et qui permet justement de rejeter le déterminisme absolu d’un trauma transgénérationnel qui vouerait à la souffrance à l’infini.
Je me suis beaucoup appuyée dans mes recherches en criminologie [Enfance etviolence de guerre tomes 1 et 2, éditions L’Harmattan, 2015] sur la résilience des enfants soldats et ceux ayant vécu dans des situations de conflits endémiques pour faire ressortir justement cette capacité des enfants de guérir des situations les plus atroces.
Oui, il est possible de s’en sortirET NOUS N’AVONS PAS LE CHOIX !
Dans certaines thérapies comportementales, dont la sophrologie, la force de guérison est en soi et le thérapeute ne fait qu’accompagner, sans jugement de valeur, sans coercition.
Plus intrusives, la psychiatrie, la psychanalyse, la psychothérapie restent les sciences médicales traditionnelles qui sont habilitées ; toutefois, les médecines douces, en amont, peuvent aussi aider en bonne intelligence.
Donner le temps à la plaie pourse refermer
La cicatrice est le rempart ultime qui rappelle que tout est question de temps et de pédagogie.
Comme lorsque nous nous blessons, nous devons donner le temps à la plaie de guérir ; c’est la même chose pour l’émotionnel. Nous avons tous une capacité de résilience, mais il faut respecter le temps de guérison, sous peine que la plaie ne se réouvre.
Même si nous continuons à respirer, cela ne signifie pas que nous vivons pleinement.
Il faut prendre en compte le rythme de chaque individu. Le déclic n’est pas inné, on ne naît pas résilient, on le devient. Et pour cela, il faut une politique.
Digérer l’épreuve
L’état de sécurité émotionnelle antérieur à l’événement est important. La qualité de l’affect et la nature de l’attachement quand on était enfant pèsent dans la balance, bien évidemment lorsque l’enfance se passe normalement.
Deux facteurs sont nécessaires pour minimiser l’impact d’une épreuve traumatique :
– L’acquisition d’un attachement sécure.
– L’aptitude à la mentalisation.
Dans la réalité
Les statistiques le prouvent : 2 personnes sur 3 les ont !
Une sur 3 a acquis un attachement insécure, qui rendra, en cas d’épreuve, la résilience difficile. Et 2 sur 3 ont acquis une aptitude à se défendre grâce à cet attachement sécure ; ce qui, en cas de malheur, rendra la guérison moins lente.
On ne peut y arriver seul
Votre aptitude à vous reconstruire viendra autant de la qualité de la thérapie que de l’environnement dans lequel vous allez évoluer.
Votre rebond sera essentiellement tributaire de la qualité du rapport que vous avez avec votre environnement. Par exemple, un enfant qui a été couvé, éduqué dans l’amour et la protection aura plus d’aptitude à la guérison qu’un enfant qui a un arbre de vie émotionnel vide ou en dents de scie. C’est la même chose pour l’adulte.
Le baromètre du stress sera déterminant
On ne s’y attend pas, mais c’est vrai. Plus vous êtes stressé, plus cela prendra du temps.
Votre environnement vous aidera…ou pas
Il faut être bien entouré et rechercher les personnes positives et lumineuses.
Avec des liens sociaux positifs, vous diminuerez l’anxiété et favoriserez ainsi la communication et l’épanouissement.
Changez votre miroir
Apprenez à mobiliser vos ressources intactes et saines en vous recentrant (je redeviens le héros principal de ma nouvelle histoire).
Changez votre regard en travaillant la confiance (vous vous reconnectez avec ces qualités qui vont vous aider à rebondir face à l’adversité), exprimez vos nouveaux besoins pour aller mieux. Faites une liste de ce qu’il vous faudrait faire « pour vous réparer », misez sur vos qualités et passez à votre nouveau moi. Retravaillez votre estime, ce n’est pas de votre faute et vous ne manquez pas de courage, même si vous avez subi, puisqu’aujourd’hui vous choisissez de réécrire votre histoire.
Cultivez des émotions positives pour activer des actions positives en sortant du déni et de la souffrance subie, vous vous autorisez une nouvelle chance…
Votre résilience viendra notamment de la bonne connaissance des techniques de gestion du stress et de la mise en place d’une bonne hygiène de vie.
Faites du sport, de la méditation, alimentez- vous sainement, faites-vous accompagner de façon régulière par la personne adéquate (attention, les médecines douces seules ne suffisent pas en cas de trauma, de stress post-traumatique ou de grande souffrance morale ; il faut faire appel à la médecine conventionnelle, qui vous orientera, surtout s’il y a une prise en charge chimique nécessaire).
Retrouvez les conseilsde Fériel Berraies thérapeute : www.feriel-berraies-therapeute.com Sophrologue certifiée RNCP avec7 spécialisations. Praticienne en hypnoseericksonienne. Chercheuse ensciences sociales, experte genre etauteure Pour lui écrire : fbsophro@gmail.com
La crise sanitaire que nous traversons depuis 2 ans a fait prendre conscience à beaucoupd’entre nous de l’importance de se sentir bien chez soi, en créant une espace propice à laconcentration, à la zénitude et au bien-être. Bref, une bulledes plus sensorielle.
avec Sophie Mouton-Brisse Auteure, décoratrice et coach bien-être
Sophie Mouton-Brisse, auteure, décoratriceet coach bien-être, qui a travaillécomme journaliste pour de grandsmagazines déco pendant 25 ans (ElleDécoration, Le Journal de la Maison,Maison & Travaux). Souhaitant comprendreles mécanismes et les secretsde l’harmonie, elle a effectué de nombreusesrecherches sur le bien-être, adéveloppé des formations pour en enseignerles secrets et vient de sortir unouvrage passionnant aux éditions LeCourrier du Livre : La déco des émotions.
La décoration des émotions,kézako ?
Passer par le vivant, c’est-à-dire nos ressentis, nos émotions à vivre dans tel ou tel lieu, est pour moi essentiel. Personne ne dit : « Je me sens beau chez moi », mais « Je me sens bien. » Ma méthode expliquée dans La Déco des émotions consiste à considérer le ou les besoins de chacun chez soi pour pouvoir lui proposer les solutions en matière d’environnement perceptif, qui est composé des couleurs, formes, sons, odeurs. Nous pouvons ainsi choisir de chasser le stress ou de retrouver notre joie intérieure, de mieux dormir, de réveiller notre énergie, de nous ancrer d’avantage… grâce à l’énergie vibratoire d’un environnement bien choisi.
Quelle place tiennent les couleursdans cette décoration ?
Elles sont essentielles. Il faut savoir que la couleur est une onde électromagnétique, elle est vivante et dégage une énergie qui entraîne une sensation. Cette sensation peut être agréable, mais aussi désagréable. Il nous est tous arrivé de nous sentir mal dans un endroit, d’éprouver une sensation de tristesse, de lourdeur en entrant dans un appartement ou une maison et d’avoir envie de vite en partir… Au contraire, certains intérieurs nous captent agréablement, on a envie d’y rester, de profiter de la lumière, il s’y passe quelque chose de vivant et de très positif. Souvent, cela provient des couleurs présentes et de leur cohérence avec l’ensemble de la pièce. C’est ce sur quoi je travaille depuis presque 15 ans.
Le blanc est-il la couleur idéalepour se sentir zen chez soi ?
Non, pas forcément. Le blanc zen est pour moi un pur fantasme pour magazines de déco. En réalité, le blanc souligne le désordre et il faut être sacrément discipliné pour arriver à un rendu impeccable façon Elle Déco au quotidien. Le blanc peut être considéré comme vide, donc anxiogène pour certaines personnes, mais il peut aussi sembler reposant pour d’autres. Il s’agit donc de se poser la question : comment est-ce que je vis le blanc ? Je dis toujours à mes décorateurs stagiaires que le blanc est souvent nécessaire à ceux qui tournent une page de leur vie, comme une séparation, un déménagement, un changement d’activité, etc. C’est en quelque sorte la page blanche sur laquelle on reprend souffle pour créer un autre chemin de vie, qui aura d’autres couleurs, différentes souvent de la précédente.
Le bleu, la couleur antistress parexcellence ?
Oui, même si ce n’est pas la seule… Et toutes les nuances de bleu ! On peut d’ailleurs en associer plusieurs, en camaïeu, pour former une harmonie aussi reposante qu’une vue sur l’océan. Inspirez- vous de la nature, elle est notre source essentielle de bien-être et ne se trompe jamais !
Quels effets bénéfiques ont lesbleus sur notre corps ?
Ils ralentissent notre rythme cardiaque et abaissent la pression artérielle – bleus moyens et foncés –, peuvent nous rafraîchir et favoriser une respiration plus ample – bleus pâles.
Quelles formes privilégier chezsoi pour une action antistress ?
Les formes les plus fluides, les cercles, les ronds, les ondulations. Mon ami Alain Arrighi, qui enseigne les arts anciens et le pouvoir des formes-énergies, nous indique dans La déco des émotions les meilleures formes à inviter chez soi pour s’apaiser.
Comment travailler sur l’énergievibratoire de notre intérieur ?
En lisant La déco des émotions pour s’entourer des messages vibratoires dont nous avons besoin, c’est l’effet domino dont je parle : se ressourcer dans un intérieur qui nous fait du bien, c’est se donner la possibilité d’être renforcé pour vivre l’extérieur, qui n’est pas toujours facile en ce moment…
Quelles sont les couleurs à privilégierdans une chambre pour unsommeil réparateur ?
La couleur du sommeil la plus active est le violet, pour ses vertus sédatives ; c’est une couleur puissante et étrange. Si vous ne l’aimez pas, choisissez plutôt des bleus, des verts, des tons de terre, voire des bordeaux, parmi leurs nuances les moins lumineuses, donc les couleurs sombres qui auront un effet ralentisseur sur votre métabolisme.
Ce sont des bruits de fond légers, répétitifs et sourds qui nous endorment. Comme par exemple la pluie qui tombe dehors, l’orage au loin, les vagues… Dans mon livre, j’explique comment se les approprier pour en faire les alliés de votre sommeil ou du travail à domicile.
Parlez-nous de l’incroyable pouvoirde la couleur verte côté déco.
Oui, le vert est une couleur fabuleuse. C’est LA couleur de l’équilibre, un puissant pouvoir de régénération. Pour ses nombreuses vertus, on la retrouve dans les chapitres antistress, sommeil et équilibre de mon livre, chaque fois avec une nuance différente. Menthe, émeraude, jade… les verts sont vraiment précieux !
Quels conseils pratiques donneriez-vous à nos lecteurs pour quel’éclairage contribue à notre bien-être?
De bien l’adapter aux besoins, d’avoir plusieurs sources lumineuses à disposition pour tous les besoins du moment : certaines plus puissantes pour lire et travailler, d’autres plus tamisées pour le repos des yeux et baisser l’activité cérébrale. Qui dit lumière dit activité cérébrale, énergie mentale. Ce qui explique notre baisse d’énergie et le blues hivernal quand la nuit arrive plus tôt. Personnellement, je mixe chez moi des guirlandes lumineuses étoiles avec des lampes d’appoint et, au besoin, un éclairage au plafond plus puissant. Le côté poétique et symbolique de l’étoile est fort bien expliqué par Alain Arrighi dans mon ouvrage. Il existe aujourd’hui des ampoules de forme variées – étoiles, globes arc-en-ciel, cœur, etc. – que l’on utilise sans abat-jour et qui sont un petit bonheur pour les yeux, avec un éclairage doré très agréable en soirée.
Comment faire rentrer la joie chezsoi ?
Avec des couleurs chaudes et vives, pleines de lumière. Des couleurs qui nous évoquent des endroits heureux comme le turquoise, le rose indien, l’orange solaire… On les introduit chez soi en petites touches, ou en mur de couleur unique, dans une pièce blanche par exemple. La joie, qui peut être considérée comme une réaction chimique en chaîne, comme la plupart des émotions, peut être déclenchée avec certaines formes, des musiques ou des sons, mais aussi par certaines odeurs : dans mon livre, l’experte en aromachologie Patty Canac nous explique que l’huile essentielle de rose possède le taux vibratoire le plus élevé de toutes les huiles essentielles et qu’elle réactive l’énergie de la joie. C’est une bonne nouvelle, non ?!
Quels conseils pour créer un coinde bureau inspirant chez soi ?
Il est très important de se sentir bien et protégé pour réfléchir, élaborer, être créatif. En ville, nous n’avons généralement pas de pièce dédiée au bureau. Alors, les mesures de travail à domicile ont demandé des adaptations pas toujours évidentes. Pourtant, il est possible de se créer un espace de travail chez soi avec les conseils que je donne dans La déco des émotions : les bonnes couleurs pour le cerveau, les formes adéquates pour faire du coin bureau un univers à part et protégé, les sons qui mettent l’esprit en capacité de réfléchir, les odeurs qui boostent le cérébral et rendent les idées claires, comme la menthe poivrée, le citron ou le laurier noble, « plante des vainqueurs »…
Le mot de la fin ?
Je vais juste reprendre les mots qui concluent mon livre : « Votre intérieur agissant peut être le meilleur allié de votre équilibre, de votre joie ou de votre stabilité. Et puisque le “En-soi” et le “Chez-soi” sont des miroirs, il s’agit finalement de renaître dans votre intérieur jour après jour. Comme l’arbre ancre ses racines dans la terre pour s’élancer vers la lumière du soleil. Je vous souhaite le meilleur ! »
La sonothérapie – ou thérapie par les vibrations sonores – est une approche très intéressante pour optimiser son bien-être et sesentir mieux. Nous avons posé quelques questions aux deux experts français en la matière : Pascal et Muriel Lacombe, praticiensthérapeutesunis et inséparables, pionniers et créatifs, qui ont créé Cristal Vibrasons, un écosystème complet répondant auxbesoins des thérapeutes et de tous ceux qui souhaitent intégrer les sons cristallins dans leur quotidien.
avec Pascal et Muriel Lacombe Praticiens-thérapeutes
Comment définiriez-vous la sonothérapie?
Selon notre expérience, la sonothérapie est une pratique complémentaire au métier de thérapeute. C’est une spécialisation qui donne au praticien des moyens curatifs et éveillants supplémentaires pour accompagner les personnes. Le son est une énergie qui oeuvre grâce à des instruments et à la voix. Le son et ses fréquences sont des supports ou des véhicules de l’information.
Par quels mécaniques le son desbols en cristal impacte-t-il notrebien-être ?
Le son des bols chantants en cristal est singulier car il émane d’eux une énergie qui clarifie, purifie et élève le taux vibratoire du vivant. Les bols de cristal amènent le cerveau en mode alpha – état de relaxation profonde – pour atteindre des états de détente, voire des états de conscience modifiée. L’énergie cristalline, par son origine minérale, est la fréquence la plus puissante pour libérer les mémoires enfouies dans les corps physique, émotionnel, affectif et mental. Sur un plan spirituel, cette énergie reconnecte à la dimension cristalline de l’être. Elle révèle un sentiment profond d’unité.
Quels sont les effets positifs desbains sonores sur notre bienêtreet plus particulièrement surnotre moral ?
Les bains sonores permettent de se détendre, de lâcher certaines tensions et de vivre une forme de nettoyage des champs énergétiques. Ce sont des sessions qui, selon les pratiques, amènent à une plus grande clarté d’esprit, à un apaisement momentané du mental et donc du monde émotionnel. Bien pratiqué, le bain sonore peut aussi soulager certains maux du corps. Selon les jeux de fréquences utilisées, les personnes peuvent se sentir dynamisées, vivifiées et joyeuses.
Quels conseils donneriez-vous ànos lecteurs pour débuter la pratiquede la sonothérapie ?
Expérimenter sans attendre de solutions miracles, persévérer si la pratique convient et apprendre pour devenir autonome dans l’usage d’instruments simples et de la voix. Les changements profonds nécessitent des intentions clairement posées, des professionnels qui font un suivi après la session et la confiance dans leur propre parcours qui peut ne pas être toujours confortable.
Comment choisir des bols dequalité ?
Un bol de cristal de qualité est fabriqué avec du quartz naturel, pur, un chant long et un savoir-faire artisanal d’exception. Choisir son bol de cristal, c’est définir préalablement son usage (personnel et/ou professionnel) pour affiner ensuite la sonorité adaptée à sa sensibilité (grave, médium ou aigu) dans un budget déterminé.
Pour celles et ceux qui souhaitent plusieurs bols de cristal avec différentes notes musicales, les intervalles de notes et leurs impacts sur les états d’être doivent être connus pour réaliser un choix pertinent et adapté aux objectifs de la pratique.
Quelles sont les similitudes avecl’hypnose ?
La similitude se situe dans la création d’états de conscience modifiée et des cycles cérébraux hors champ de veille, afin d’accéder à des ressources intérieures insoupçonnées. L’auto-guérison est la voie majeure de ces pratiques.
Quels sont les effets bénéfiquesde la sonothérapie à long termeet plus particulièrement surnotre stress et moral ?
Sur le long terme, la sonothérapie place la personne dans une démarche d’accoutumance au bonheur… L’attention et la conscience posées sur les changements réalisés grâce aux sons rend cette démarche pérenne. En d’autres termes, ce n’est pas une pensée magique, mais bien un état de l’être qui se met en place et permet de changer pour prendre réellement soin de soi et modifier nos conditionnements face aux stress de la vie. La sonothérapie avec des bols de cristal est un médiateur efficace pour celles et ceux qui s’impliquent dans cette voie d’éveil.
L’ère où la beauté n’était que fonctionnelle se semble révolue. Nous avons toutes et tous expérimenté le fait de nous trouver différemment belles ou beaux selon les jours, et ce indépendamment de tous les cosmétiques que nous pouvons appliquer sur notre peau. C’est donc que nos émotions influencent grandement notre beauté et la perception que nous nous en faisons. A contrario d’un sourire qui illumine le visage, la tristesse ou le stress peuvent assombrir, voire même accélérer le vieillissement cutané, comme nous allons le voir dans le dossier du mois.
Découvrez nos conseils pour une beauté des plus joyeuse !
Au cours de sa vie, la femme ressent tout un panel d’émotions qui peuvent la rendre heureuse, irritable, hésitante, anxieuse, etc. Ces émotions, positives ou négatives, profondément ancrées au fond d’elle, influent sur sa beauté ou « l’estime de soi », car elles sont le reflet d’un rayonnement aussi bien intérieur qu’extérieur. Et c’est là que l’expression « se sentir bien dans sa peau » prend tout son sens.
Si l’émotion est bien gérée, alors celle-ci n’aura aucun impact sur son organisme. La sécrétion d’adrénaline liée à la bonne gestion de l’émotion générera un stress dit positif. En revanche, si l’émotion l’envahit trop fortement et qu’elle ne parvient pas à la contrôler et à la gérer, alors, celle-ci va générer un stress négatif et durable qui aura un impact important sur son vieillissement cellulaire. Les recherches du Dr Elizabeth Blackburn, prix Nobel de médecine pour ses travaux sur la télomérase* en 2009, montrent la corrélation entre stress et vieillissement prématuré de la peau.
Certes, avec l’âge, les télomères** raccourcissent et nos tissus se régénèrent plus lentement. Mais lors de son étude, Elizabeth Blackburn a démontré qu’une longue période de stress psychologique réduirait la vie des cellules et la taille de nos télomères, au point de provoquer un vieillissement prématuré entre 9 et 17 ans. Une bonne raison pour faire rimer beauté avec légèreté, joie et zénitude.
* Enzyme qui protège les chromosomes du vieillissement.** Séquences d’ADN répétitives qui préservent l’intégrité du patrimoine génétique des humains.
Comment ? En adoptant une beauté plus holistique prenant en compte nos émotions dans la beauté, en fusionnant les univers de la beauté et du bien-être. Car, être belle, n’est-ce pas se sentir mieux dans sa peau et rayonner ?
Concrètement, on fait quoi ?
1. On se met illico presto au brossageionique. Kézako ?
Bon, vous n’êtes pas sans ignorer que l’air est naturellement ionisé, avec un équilibre entre ions positifs et négatifs dans les espaces naturels. On compte communément plusieurs centaines à plusieurs milliers d’ions par cm3 dans l’air à l’état naturel. Alors que les ions négatifs tendent à disparaître en milieu pollué, et plus particulièrement dans les espaces fermés où l’air est conditionné, les ions positifs restent présents en milieu urbain et dans les espaces intérieurs. Bref, même si ce n’est pas vraiment logique, retenez que les ions positifs ne sont pas tip top et que les ions négatifs sont bienveillants à notre égard.
À titre d’exemple, les ions positifs sont omniprésents avant un orage, provoquant cette désagréable sensation d’électrisation, et les ions négatifs sont les ions salvateurs et libérateurs après l’orage.
En résumé, les ions négatifs, contrairement aux ions positifs, sont bénéfiques pour notre santé. Ils améliorent notre humeur, notre tonus, la qualité de notre sommeil, la concentration, l’oxygénation de nos tissus… Les ions négatifs nous rendent par ailleurs moins vulnérables face au stress.
Composées notamment de fils de bronze extra-fins (alliage étain et cuivre), les brosses ioniques stimulent la circulation sanguine et lymphatique, et rechargent le corps en ions négatifs.
On fait comment ?
Le massage doit se réaliser sur peau sèche.Attention, il ne doit pas faire mal et doitse pratiquer quotidiennement ou en cured’un mois.Commencez par masser les extrémités :les jambes, puis les bras, en partant del’extrémité. Appliquez la brossesur la cheville et remontez enligne droite jusqu’au creuxde l’aine. Puis partez despoignets pour remonterjusqu’à l’épaule. Brossezensuite le ventre en mouvementcirculaire dans le sensdes aiguilles d’une montre.
Connaissez-vous les gua sha ? Ce sont des outils de massage utilisés depuis des millénaires dans la médecine traditionnelle chinoise. Les gua sha relancent la micro-circulation sanguine et les énergies vitales, tout en redessinant les courbes du visage. Résultats ? La pommette est haute, la silhouette affûtée et la peau détoxifiée et drainée. Quant au choix de la pierre : vous pourrez, par exemple, privilégier le quartz rose si vous avez la peau mature, terne, fatiguée ou sèche ; l’améthyste si vous avez la peau sensible, irritée ou enflammée, le jade si vous avez la peau normale, mixte ou grasse.
3. On se fait des cosmétiquesmaison en y mettant unebelle intuition !*
Les baumes ou les crèmes ne sont pas juste des galéniques prêtes à être étalées sur la peau. Décider de se concocter un soin maison, c’est non seulement décoder de faire du bien à sa peau en prenant conscience que vous êtes le (ou la) mieux placé(e) pour la chouchouter, mais c’est aussi de se faire du bien tout court, pour se sentir bien dans sa peau. Alors, concoctez-vous une crème sur mesure, répondant à vos attentes du moment. Et si vous êtes triste, colorez vos crèmes en rose et incorporez-y des actifs qui agiront directement sur l’éclat de votre peau, tels qu’un extrait aqueux de bourgeons de hêtre oxygénant et dynamisant, de la vitamine C stabilisée, des acides de fruits, acides glycoliques, de l’hydrolat de géranium bourbon, de l’huile végétale d’argousier…
4. On croit au pouvoir de l’olfactothérapieen cosmétique
Certaines marques ont commencé à explorer les émotions suscitées par l’application d’un produit ou d’un ingrédient cosmétique. Les progrès importants réalisés par les neurosciences et les technologies disponibles, entre autres avec les outils d’imagerie cérébrale, ont permis de nouvelles découvertes, notamment que certaines odeurs cosmétiques ont un impact sur notre énergie, notre relaxation, notre pouvoir de séduction, notre joie ou encore l’estime de nous-même.
À titre d’exemple, l’huile essentielle d’hélichryse italienne (Helichrysum italicumssp italicum) agit à la fois sur notre peau et notre psychisme. Elle a une action favorable sur le vieillissement cutané, le relâchement cutané, l’acné dont l’acné rosacée mais ce n’est pas tout. Elle aide aussi à réparer les bleus de l’âme, notamment les blessures psychologiques, favorise la paix intérieure en luttant contre la nervosité et la dispersion spirituelle, aide à redonner confiance et à s’ancrer dans sa vie. N’hésitez surtout pas à en mettre dans vos cosmétiques maison.
Quand l’odeur devient émotion
Depuis le bulbe olfactif, l’odeur parvient, via le nerf olfactif, à d’autres structures du cerveau (primaire ou reptilien). D’abord au cortex olfactif primaire, puis au cortex olfactif secondaire sous la forme d’un message électrique. C’est dans ces structures cérébrales complexes qu’une odeur sentie est décryptée, déclenchant alors d’autres réactions en chaîne grâce auxquelles surgissent un souvenir et l’émotion associée à ce souvenir. Cet influx nerveux porteur de l’information rejoint enfin les zones cérébrales du système limbique : l’hypothalamus, l’amygdale et l’hippocampe. Reliées les unes aux autres, ces structures cérébrales profondes contrôlent le fonctionnement de la mémoire, ainsi que les comportements affectifs. C’est précisément pour cette raison que l’on parle d’une mémoire de l’émotion.
Connu pour ses pouvoirs antistress, antidouleur et antiinflammatoires, le CBD est souvent utilisé à des fins thérapeutiques ou bien-être. Mais, depuis peu, il est de plus en plus présent dans nos cosmétiques et est bénéfique pour résoudre de nombreux problèmes de peau : rougeurs, imperfections, sécheresse cutanée ou signes prématurés de vieillissement cutané, tout en dopant positivement l’épiderme.
Plusieurs marques en proposent désormais, mais vous pourrez bien évidemment vous confectionner un soin maison avec du CBD.
Il s’agit d’un sérum cosmétique holistique que vous pourrezutiliser à la fois pour ses vertus cosmétiques anti-âge, maisaussi comme rituel bien-être pour travailler sur le systèmenerveux.
Préparation : 5 mn
Prix de revient : moins de 6 €
Conservation : 3 à 6 mois à l’abri de la chaleur et de la lumière
Mon matériel
1 bécher gradué
1 mini-fouet
Flacon compte-gouttes de 50 ml
Dans mon panier
20 ml d’huile végétale d’inca inchi, apaisante, anti-âge et assouplissante
28 ml d’huile végétale de carthame, réparatrice et relipidante
30 gouttes d’huile essentielle de pamplemousse, harmonisante du système nerveux
3 gouttes de vitamine E (anti-oxydante pour prolonger la conservation du sérum)
La recette
Versez les 2 huiles végétales dans le bécher et mélangez.
Ajoutez les 2 huiles essentielles et mélangez.
Terminez par l’ajout de la vitamine E et mélangez une dernière fois.
Transvasez dans le flacon.
Rituel olfacto-émotionnel et beauté
Il consiste à réchauffer quelques gouttes de ce sérum dans le creux des mains, puis à humer la synergie olfactive.
Pourquoi ? Tout simplement parce que le premier sens impactant les émotions est l’odorat (ceci par le biais du système limbique, zone du cerveau où siègent les émotions).
À la fin de chaque inspiration, on reste poumons pleins pendant 5 à 7 secondes. Puis on souffle en conscience environ 4 secondes. On répète cette respiration 3 à 5 fois, en ressentant le plaisir sensoriel du parfum.
Ce rituel est à privilégier le soir.
Appliquez ensuite 4 à 6 gouttes de ce sérum sur le visage en prenant soin de masser votre peau pendant 2 mn.
Le manque de joie se caractérise au niveau du teint par une insuffisance d’éclat et de lumière. Des cernes et des poches peuvent être visibles. Au niveau des rides, celle du lion entre les yeux ou celles de l’amertume, de part et d’autre de la bouche, peuvent apparaître.
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Nov 3, 17:35