Définition. Les sceptiques avancent souvent l’argument de « l’effet placebo » pour expliquer les améliorations ressenties après le passage d’un géobiologue. Cela indique souvent indirectement qu’ils ne croient pas à l’influence de l’environnement sur les êtres vivants. Pour éliminer ce facteur « placebo », mais aussi pour se convaincre de l’impact du lieu de vie sur les organismes vivants, il suffit d’observer les animaux et les végétaux.
Les animaux : des troubles du comportement (agressivité, déprime, refus de pénétrer dans un endroit…) ou des problèmes de santé apparemment inexplicables peuvent être liés au lieu où ils se tiennent. C’est d’autant plus vrai pour les animaux en cage ou parqués dans des zones confinées.
Un simple changement de place ou, par exemple, des corrections de troubles électromagnétiques (comme dans certains élevages) suffisent parfois à modifier totalement le comportement, voire la santé, d’animaux perturbés. À noter toutefois que, si la plupart des animaux préfèrent les zones dites positives ou neutres, d’autres, comme les chats, recherchent au contraire les zones négatives.
Les végétaux : l’observation des arbres dans la nature ou des haies entourant les maisons permet de voir que certains sujets sont chétifs ou tordus, alors que d’autres de la même espèce sont en parfait état sur le même terrain. Ici, pas question de les déplacer.
Par contre, en cas de nouvelle plantation (et parfois après plusieurs remplacements sans succès), le simple fait de décaler un peu l’endroit de plantation suffit à régler la question. Dans une maison, il est facile d’essayer de déplacer une plante en pot pour la rendre plus vigoureuse.
Il faut toutefois être conscient que les animaux, et surtout les végétaux (totalement statiques), ont une résistance moins bonne que l’homme. Un lieu perturbant pour un végétal ne le sera pas forcément pour l’homme.
Mon conseil bien-être. Les animaux peuvent donc être d’excellents – et neutres – indicateurs de la qualité géobiologique d’un habitat et des changements apparus après une étude géobiologique. D’autant que les animaux sont sensibles à beaucoup de phénomènes, qu’ils soient subtils (comme le vécu du lieu) ou artificiels (comme les pollutions électromagnétiques).
Philippe Bouchaud – GCB Conseils
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