Saviez-vous que ?
- Une brosse à dents pèse en moyenne 20 g.
- Selon les recommandations des dentistes et en raison de la prolifération des bactéries, il faut changer sa brosse à dents tous les 3 mois. Cela fait donc 4 brosses à dents par an.
- Sur la base de 66,7 millions d’habitants en France au 1er janvier 2021 [sans compter les 740 000 enfants nés depuis 1 an], les brosses à dents représentent (20 grammes x 4) x 66,7 millions = 5 336 tonnes de déchets par an. Certes, il s’agit d’un chiffre théorique mais probablement assez juste, en prenant en compte le fait que certaines personnes ne renouvellent pas leur brosse tous les 3 mois, mais que d’autres la changent plus fréquemment.
- Sur les 200 millions de brosses à dents vendues par an en France, seules 8 millions sont de fabrication française.
- Sur les 50 millions de brosses à dents de marques distributeurs vendues chaque année en France, 100 % sont produites en Chine.
L’impact écologique d’un si petit objet de consommation courante est tout simplement colossal.
Vous êtes-vous déjà demandé d’où venait votre brosse à dents ?
À titre d’exemple, une brosse à dents en plastique venue de Chine (et il y en a beaucoup !) se sera payé le luxe de prendre l’avion ou des porte-conteneurs et finira à la poubelle sans aucun recyclage. Par ailleurs, toutes les marques de brosses à dents en bambou se fournissent en Chine, avec un « empoilage » réalisé sur place ou en Europe.
Il est donc plus qu’urgent d’adopter de nouveaux réflexes en choisissant une brosse à dents non seulement made in France (pour limiter son impact carbone), mais aussi à tête interchangeable (pour limiter ses déchets).
Par exemple, la jolie marque made in France Bioseptyl s’est fait remarquer avec la brosse à dents « Édith ». Grâce à sa tête interchangeable, Édith permet de renouveler seulement 20 % de la brosse : une consommation de plastique réduite et des matières éco-responsables, avec un manche en bioplastique fabriqué à base de liège français, lin français ou coquille Saint-Jacques de Normandie.
Bioseptyl récupère des bouchons en liège ayant servi à sceller des bouteilles de vin et de cidre, ainsi que des coquilles Saint-Jacques issues de l’industrie alimentaire, élevées sur les côtes de la Manche et principalement en Normandie.
Une belle initiative que l’on aimerait voir se développer de plus en plus…
Plus d’information sur : www.bioseptyl.fr