Nous pouvons avoir plusieurs regards sur l’être humain, sa vie, sa santé, son comportement. La médecine allopathique est brillante de par ses approches technique, mécanique et scientifique, et ne cesse de faire des avancées, notamment en chirurgie et en bactériologie… Bravo pour cela !
Nous ne pouvons pas ignorer l’autre regard, moins conventionnel mais non moins ancien, qu’est celui de la médecine ancestrale, comme les médecines chinoise, ayurvédique, chamanique, énergétique…
Ce regard-là est particulier car il appréhende l’être dans son entier, son histoire, son tempérament, ses cassures et cicatrices, ses deuils et ses difficultés. Cette prise en compte holistique est très importante grâce à son approche subjective d’attention, d’écoute et de considération.
UN PEU D’HISTOIRE : Le Docteur Bach l’avait compris très tôt, et ce plus précisément après avoir exercé la médecine classique de 1919 à 1930. Il a été chercheur, urgentiste, bactériologiste, généraliste, bien installé et réputé dans son cabinet et son laboratoire d’Harley Street à Londres. Mais, insatisfait des outils qu’il maîtrisait, il a quitté sa zone de confort en sortant des sentiers battus en 1930. Il faut se remettre dans le contexte de cette période de grands développements économique et industriel en ce début du 20e siècle en Angleterre. Beaucoup d’ouvriers et une classe sociale bien éprouvée par le travail à la chaîne et la dureté des horaires (la sidérurgie, les mines de charbon, etc.), un panel de pathologies rude et éclectique, où les divers maux et maladies restaient souvent sans guérison car encore un mystère.
Il a eu le culot – ou bien l’audace – de s’offrir, à partir de 1930, ce temps de réflexion dans la campagne au Pays de Galles, puis en Angleterre à Mount Vernon, dans l’Oxfordshire, sans beaucoup de moyens financiers (il échangeait souvent des œufs ou des lapins contre ses soins…), pour étudier et faire ses recherches sur l’impact des états émotionnels sur la santé de sa clientèle.
Le déséquilibre émotionnel étant pour lui le socle déclencheur et le terrain propice à la maladie, il avait deviné déjà qu’une thérapie « sur-mesure » et adaptée à chaque personne serait plus efficace que n’importe quel autre médicament !
À l’époque, il ne soignait pas un impatient comme il soignait un apathique… et, pourtant, avec les mêmes symptômes !
La demande du « naturel », le ras-le-bol des produits chimiques, des nourritures trafiquées poussent inexorablement vers une médecine à l’écoute, de prévention, au plus proche des besoins du patient car bénéfique aussi sur les plans psychologique et philosophique, en complément de la médecine allopathique. Celle-ci, sur ces aspects, ne répond plus à cette attente basique de l’échange dans la relation et du rapport humain, tout simplement. La course à la rentabilité, à l’immédiateté rend les hôpitaux exsangues et incapables de donner le temps nécessaire à ce regard-là ! Quel dommage.
Quelques fleurs dans ce contexte à titre d’exemple parmi les 38 du Dr Bach, divisées en 7 familles d’émotion :
– L’Impatiens, de la famille de la Solitude, pour contrebalancer l’irritabilité, la nervosité, en faveur de la détente, de la tolérance et de la douceur avec l’autre.
– Rock Rose, de la famille des Peurs, pour tempérer les peurs paniques et extrêmes. Composante du remède d’urgence Rescue, si efficace en cas de forte déstabilisation émotionnelle (examens de fin d’année, cauchemars, chocs, accidents, attentats…).
– Sweet Chestnut, de la famille du Découragement et désespoir, pour estomper les sentiments de détresse intérieure, d’abandon, d’atteinte de ses limites. Apporte la capacité de comprendre, d’accepter l’épreuve et d’en retirer du positif, de laisser le noir derrière soi et d’envisager la sortie du tunnel dans la lumière…
– White Chestnut, de la famille du Manque d’intérêt pour le présent, pour pallier le fait de ruminer, ressasser, tourner en boucle des idées noires, des conflits intériorisés. Aide au lâcher-prise, à travailler sur des idées claires et constructives, à se rendormir si nécessaire.
– Centaury, de la famille de l’Hypersensibilité face aux autres, pour remédier au fait de tout accepter, d’avoir une piètre image de soi au point de vouloir se faire aimer de tout le monde, au détriment de sa propre personnalité ! Parvient à défendre et à exprimer ses propres désirs et volontés, mettre une limite à sa gentillesse en sachant dire non !
– Hornbeam, de la famille du Doute et incertitude, pour compenser une grosse fatigue physique et mentale qui fait douter de sa capacité à y arriver. Fleur du dynamisme et véritable starter, elle aide à retrouver son entrain et sa capacité à faire face.
– Vervain, de la famille du Souci excessif au bien-être d’autrui, pour atténuer l’excès en tout, au « tout trop », à la nervosité et la révolte face aux injustices. Les Vervain veulent convaincre et emporter avec eux tout le monde. Ce sont des meneurs et porte-drapeaux. Quelques gouttes ramènent au calme, à la modération et à la détente.
Voilà, en quelques mots, la présentation de la florithérapie comme solution pour vous accompagner dans la gestion de vos émotions, en soutien et compatible naturellement avec tout traitement médicamenteux, pour : la ménopause, la fatigue, la dépression, les angoisses, les deuils, les difficultés d’ordres relationnel, professionnel, sociétal, familial… et un grand renfort dans votre quête de développement personnel aussi ! Alors, allons-y de bon cœur, en confiance. Une composition personnalisée pour vous et/ou vos proches, je suis à votre écoute.
Isabelle Bourdeau – Florithérapeute –
L’Apogée de Soi – 06 814 614 86
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