Le collagène marin contribue à réduire le vieillissement cutané
Le terme collagène est dérivé du mot grec kolla, signifiant colle. Cela évoque sa fonction, qui est d’assurer la cohésion des structures macromoléculaires des principaux tissus de l’organisme : la peau, les os, les muscles, les tendons, les ligaments, les cartilages articulaires, les cheveux, les ongles, les membranes oculaires, les tuniques artérielles et veineuses.
Un véritable matériau de construction
Le collagène a une action structurante qui permet l’édification de ces tissus, tel un véritable matériau de construction. C’est sa nature fibreuse qui confère au collagène sa capacité à constituer une armature consolidant les tissus et maintenant leur intégrité.
Sans entrer dans des détails relevant de la biochimie, c’est une protéine composée de chaînes alpha-polypeptidiques et, bien qu’il en existe plus d’une vingtaine, on distingue trois types fondamentaux : le collagène de type I, majoritaire dans la peau et les os. Celui de type II nourrit les cartilages et celui de type III se retrouve dans les muscles.
Non seulement le collagène permet la cohésion des tissus, mais il est également responsable de leur résistance mécanique à l’étirement, permettant leur flexibilité lors d’une tension.
C’est l’organisme qui en fait la synthèse à partir des protéines contenues dans l’alimentation quotidienne. Mais il y a un problème : dès l’âge de 20 ans, la capacité à opérer cette synthèse protéique diminue. Au-delà de 50 ans, cela devient un problème majeur en relation avec les processus dégénératifs qui affectent les tissus, et une supplémentation en collagène est vivement recommandée. Mais pas n’importe quel collagène !
Collagène marin hydrolysé
Les fabricants de compléments alimentaires ont pour source traditionnelle de collagène des carcasses de bovins. Mais les risques d’encéphalite spongiforme bovine ont incité, par sécurité, à rechercher d’autres sources de collagène ayant une innocuité toxicologique.
L’idéal est une source marine de collagène obtenue à partir de la peau des poissons, qui est riche de cette protéine structurale. Cette source marine a un premier grand intérêt : sa biocompatibilité avec le collagène humain.
Il convient de procéder à une hydrolyse de ce collagène marin, opération qui permet la fragmentation des chaînes alpha-polypeptidiques. Les molécules protéiques, au terme de cette hydrolyse, deviennent des acides aminés à faible poids moléculaire, ce qui facilite leur assimilation, l’interface étant les villosités de la muqueuse intestinale.
Après extraction de la peau des poissons, le collagène est purifié, hydrolysé, désodorisé, stérilisé et atomisé de façon à obtenir une poudre facile à diluer.
La biocompatibilité et la biodisponibilité de cet hydrolysat de collagène marin en font un apport nutritionnel recommandé aux gens qui vieillissent, dont la peau se ride, qui souffrent d’ostéoporose, qui ont de l’arthrose, qui perdent leurs cheveux…
Sans oublier les sportifs, dont les muscles sont sollicités avec une intensité supérieure. En effet, quand les muscles sont soumis à des microtraumatismes, c’est le collagène qui rend possible le colmatage des micro-brèches affectant leur structure, une supplémentation en collagène leur étant pour cette raison vivement recommandée.
Action antirides
C’est une grande indication du collagène : il contribue à accroître la beauté de la peau, qui trahit avant tous les autres organes du corps humain la lente et progressive érosion caractéristique du vieillissement, devenant peu à peu plus mince et plus sèche, ce qui la rend moins élastique, moins tonique, processus conduisant à la formation des rides.
Alors que l’épiderme est constitué de kératine, c’est le derme sous-jacent qui concentre le collagène sous la forme d’un maillage de fibres entrecroisées, dont il est le principal composant, associé à de l’élastine et à des glycosaminoglycanes. C’est ce collagène qui confère à la peau sa robustesse, sa capacité de résistance à la pression, sa souplesse, son élasticité.
Normalement, une alimentation diversifiée en apports protéiques suffit à l’organisme pour effectuer la synthèse de collagène à partir des acides aminés issus de la digestion des protéines. C’est à 20 ans que la synthèse de collagène est à son apogée, raison pour laquelle les femmes, à cet âge, ont une jolie peau sans avoir besoin de soins cosmétiques.
Les rides sont les marqueurs du vieillissement. Se forment tout d’abord de minces lignes qui se dessinent entre le nez et la bouche, au niveau des yeux et sur le front.
Puis surviennent les rides dites d’expression, qui correspondent aux mouvements du visage : rides péribuccales (de part et d’autre de la bouche), plis du front, pattes d’oie (rides divergentes à l’angle externe des deux yeux).
La peau devenant de plus en plus sèche et de plus en plus mince, elle perd de son élasticité et se relâche à cause du déficit en collagène. Cela accentue la marque des rides par simple effet de pesanteur : les rides ont tendance à s’orienter vers le bas.
Les paupières tombantes et les bajoues sont les autres signes de cet état, la peau, par manque de collagène, n’étant plus élastique pour compenser les effets de son relâchement.
Les radicaux libres caractérisant le vieillissement n’arrangent pas les choses, provoquant une désagrégation du maillage fibreux de collagène soutenant l’épiderme, avec pour conséquence un affaissement accru de la peau du visage et l’approfondissement des rides.
On comprend, en faisant le constat des stigmates du vieillissement de la peau, qu’un apport en collagène est nécessaire. La meilleure preuve est son intégration par nombre de laboratoires dans leurs formules anti-âge. Que ce soit en usage interne ou externe.
Traitement naturel de l’ostéoporose
L’ostéoporose est une indication majeure du collagène, qui est vivement conseillé pour freiner ce processus dégénératif affectant les personnes qui vieillissent, en particulier les femmes post-ménopausées. Pour faire prendre conscience de l’intérêt du collagène, il importe de préciser que l’ostéoporose est la diminution progressive et généralisée du tissu osseux, ce qui provoque une moindre résistance des os.
Or, le collagène est un composant essentiel des os, au même titre que le calcium, d’où la nécessité d’une supplémentation en collagène quand on prend de l’âge.
La perte de densité osseuse due à l’ostéoporose a nombre de conséquences :
- Une compression verticale, la taille de la personne diminuant sensiblement.
- Des fractures de tassement des vertèbres.
- Une lombalgie aiguë, aggravée par le port de charges.
- Une cyphose (déformation latérale excessive du dos).
- Une lordose cervicale (courbure inversée ou exagérée au niveau du cou).
- Une douleur provoquée par la tension sur les muscles et les ligaments.
- Des fractures du col du fémur (particulièrement vulnérable).
- Des fractures de l’extrémité inférieure du radius (poignet).
Il faut dire que, jusqu’à la fin de la croissance, le corps, chaque année, augmente sensiblement sa masse osseuse. Puis, jusqu’à la trentaine, cette augmentation se ralentit mais continue, alors que la masse osseuse se renouvelle dans la proportion d’environ 20 % par an, les tissus anciens se résorbant, de nouveaux les remplaçant. Les choses se stabilisent ensuite quant à la masse osseuse, jusqu’à la cinquantaine, le renouvellement équilibrant les pertes.
C’est ensuite que les choses se gâtent, principalement chez les femmes, car les œstrogènes ont entre autres fonctions celle de faciliter l’assimilation minérale.
Quand la sécrétion de ces œstrogènes se tarit, à la ménopause, la raréfaction de la masse osseuse commence, à raison de 1 % par an. Ainsi, entre 50 et 80 ans une femme perd 30 % de sa masse osseuse, ce qui est absolument considérable.
Les os deviennent poreux et se brisent à la moindre sollicitation, par exemple le seul fait de soulever un sac de commissions ! Une simple chute, un geste brusque mal contrôlé peuvent provoquer une fracture. Les os devenus très fragiles se brisent comme du cristal.
Il existe des facteurs de risques : immobilisation prolongée (plâtre, infirmité, alitement), tabagisme, prise de certains médicaments (dont les corticoïdes), carence nutritionnelle en protéines, certains régimes amincissants.
L’ostéodensitométrie osseuse permet une appréciation de la masse osseuse. On peut agir efficacement pour freiner ce processus dégénératif lié au vieillissement en faisant régulièrement des cures de PUR et NATUREL collagène marin hydrolysé.