Qui mieux que la femme elle-même pour se réapproprier son bien-être et décider de ce qu’elle souhaite vraiment et de ce qui l’accomplira dans sa quête du bien-être et du bonheur ? Reprendre possession de votre véritable nature : voici ce que nous vous proposons aujourd’hui, aux côtés de nos experts.
« La femme crée l’univers. Elle est le corps même de cet univers. La femme est le support des trois mondes. Elle est l’essence de notre corps. Il n’existe pas d’autre bonheur que celui procuré par la femme. Il n’est d’autre voie que celle que la femme peut nous ouvrir. Il n’y a jamais eu et il n’y aura jamais, ni hier, ni maintenant, ni demain, d’autre fortune que la femme, ni de royaume, ni de pèlerinage, ni de yoga, ni de prière, ni de formule magique, ni d’ascèse, ni de plénitude autre que celle prodiguée par la femme. »
Shaktisangama Tantra, II.52
Ces femmes qui choisissent de ne pas avoir d’enfant. Voilà un sujet encore bien tabou, bien trop peu traité dans les médias. Pour tenter de comprendre cette nouvelle donne anthropologique, nous avons posé quelques questions à Laurence Santantonios, qui a travaillé pendant plus de 30 ans dans l’édition et le journalisme littéraire et professionnel du livre, et qui est l’auteur de l’ouvrage Libre à elles – Le choix de ne pas être mère, aux éditions du Mauconduit.
Oser s’accomplir en tant que femme avec les Fleurs de Bach.
Une patiente (d’Isabelle Bourdeau) a lu Ta deuxième vie commence quand tu comprends que tu n’en as qu’une, de Raphaëlle Giordano. Cela lui a bien plu et lui a donné des idées : et pourquoi pas moi, pourquoi je n’irais pas développer ce que j’ai toujours voulu faire et être ?… Cependant, est-elle prête à bouger, à se transformer, à vivre ce qu’elle a à vivre, à s’affirmer, à faire passer ses envies avant celles des siens ?
La beauté des femmes n’échappe pas aux tabous… Si nous ne pouvons tous les citer aujourd’hui, il nous semble important de parler des vergetures, mais également de sexualité épanouie, capable de nous rendre belles, belles, belles…
On se rappelle tou-te-s des premiers émois de nos étreintes charnelles, de nos préliminaires, de la passion et des papillons dans le ventre lors des premiers ébats amoureux. Oui, cette sensation est incroyable, elle donne des ailes, elle exalte à l’infini. Seul bémol, elle ne dure pas, elle est conditionnelle, conditionnée par les contraintes du temps et l’habitude, par le quotidien. Et l’avancée en âge. Oui, une fois la conquête aboutie, la consommation faite, tout rentre dans la banalité… Sexualité et usure du temps, comment réinventer son intimité ?