Conséquence de l’industrialisation poussée à son paroxysme, de la politique du « toujours plus », de la surconsommation diverse et variée (alimentaire, médicamenteuse, énergétique…), d’une course effrénée à la rentabilité – suscitant un stress toujours plus fort, toujours plus dévastateur –, d’une chimie toute puissante, les pollutions sont partout, sournoises, tapies, prêtes à en vouloir à notre peau, tant leurs effets chroniques, immédiats ou ultérieurs sont dévastateurs. Résultat ? Les maladies de civilisation, notamment les troubles du comportement, problèmes d’infertilité et de nombreuses pathologies dégénératives, qui ne cessent de croître. Et ce n’est pas tout… Les activités industrielles génèrent des conditions susceptibles de modifier le génome de l’espère humaine et de la plupart des êtres vivants. Saviez-vous que, même avant la naissance, in utero, nous commençons à être pollués ?
Certes, nous sommes victimes de nombreuses pollutions, mais nous en générons également notre part tant nos modes de vie sont parfois peu respectueux de notre
corps.
Quelle que soit la nature des pollutions, celles-ci se répercutent directement et indéniablement notre santé. Si ce constat est alarmant, il n’en est pas pour autant une fatalité. À nous de transformer la situation pour rester en bonne santé.
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